Petites sœurs des pauvres

30 questions 16. Quel verbe faisant partie d’un argument d’Ismène destiné à Répondez aux questions en respectant les consignes. faire peur à Antigone en insistant sur la violence et la douleur Quand passe-t-on d'une scène à une autre ? que les deux sœurs doivent supporter ? 2. Sur quels arguments portant sur le physique d’Antigone, Ismène tente-t-elle de s’accrocher ? 3. Qui est le personnage qui mène le dialogue et qui avance les arguments ? 4. Par quel mot Antigone qualifie-t-elle tous les

mère, ses deux frères, ses deux sœurs, et une tante dont la fortune consistait en pensions, vivaient sur la petite terre de Rastignac. Ce domaine d’un revenu annuel d’environ trois milles francs était soumis à l’incertitude qui régit le produit de tout industriel de la vigne, et néanmoins il fallait en extraire douze francs pour lui. L’aspect de cette constante détresse qui lui était généreusement caché, la comparaison qu’il fut forcé d’établir entre ses sœurs, qui lui semblaient si belles dans

aux tâches ménagères et fermières. Alors que le marchand part récupérer le chargement d'un vaisseau pour sortir ses enfants de la misère, les deux sœurs aînées, très prétentieuses, lui demandent de leur rapporter des bagatelles. Belle demande une rose. Malheureusement, les créanciers ont précédé le marchand : arrivé au port, il est toujours aussi pauvre. Sur le chemin du retour, le père découvre un château désert mais accueillant : la table est mise. Il dîne puis s'endort. Le lendemain matin, en

FaqAccueil Note 5.0 4 votes Résumé du roman "Le fils du pauvre" de Mouloud Feraoun Publié le 04/03/2008 à 16:46 par Brise_d_Algerie Source : http:// Premier roman de l'écrivain algérien, Mouloud Feraoun, "Le fils du pauvre" retrace la vie de Fouroulou Menrad, personnage principal du récit. De dimension autobiographique, ce livre peint l'enfance et l'adolescence de l'auteur dans un village de cette Kabylie montagneuse où il fut tour à tour berger, élève studieux, puis instituteur. Ce

père pasteur. Sa mère meurt d'un cancer alors que Charlotte est encore jeune. La sœur de sa défunte mère vient soutenir son père dans son éducation et celle de ses cinq autres frères et sœurs. Cependant, en 1824, les quatre filles aînées de la famille sont envoyées au pensionnat des sœurs Cowan Bridge. Les deux sœurs aînées y meurent de tuberculose, Charlotte en est marquée à vie. Les quatre enfants survivants sont Charlotte, Branwell, Emily et Anne. En 1831, Charlotte est envoyée dans une école

arrive avant Halloween pour vous mettre dans l'ambiance ! »:rire satanique : → Pour continuer sur une note un peu plus joyeuse, chères victimes, je vous présente le SOMAIRE de cette semaine : ♦ Josh Halder arrivé, les files à ses pieds. ♦ Les sœurs jumelles Carter contre le reste du monde. ♦ Drake ou « le gars sans vie sociale ». ♦ Alexie Fernandez et Jonathan Hawkins : début d'une Love Story ou simple fantasme ? ♦ Quel rapport entre la météo et le chant ? Découvrez la voix d'Alexie Fernandez

1-REFERENCE BIBLIOGRAPHIQUE Le Fils du pauvre FERAOUN M, Le Fils du Pauvre, Paris, Seuil, 1954 2. Résumé a-biographie de l’auteur Mouloud Feraoun est né en 1913 à Tizi-Hibel dans le department de Tizi-Ouzou en Kabylie. Il appartient à une famille de paysans pauvres. Son père,analphabète, connut déjà des épisodes d’émigration pour subvenir aux besoins de sa famille : émigration interne dans la région de Constantine, émigration externe en Tunisie, en France, dans les mines du Nord

: Harmattan (L') Pays d'édition : France ISBN : 978-2-296-03091-6 Genre : études littéraires, critiques Collection : Classiques francophones Prix : 16.00 EUR Nombre de pages : 176 Parution : mai 2007 Mouloud Feraoun commence à écrire "Le Fils du pauvre" dès 1939, l'achève en 1948, mais ne réussit à publier ce récit pour la première fois qu'en 1950. Parmi les littératures du Maghreb et, plus largement, les littératures francophones, l'oeuvre a acquis un statut de classique, notamment auprès de la

1) Son influence au point de vue social. L'Eglise se souciait de la charité. Les religieux s'occupaient des pauvres et leur fournissaient le nécessaire pour vivre: de la nourriture et un logement. Ensuite, d'un point de vue médical, les gens de l'église s'occupaient des malades et les soignaient, ils ont donc installé des hopitaux ou des petites maisons de soins. 2) Politiquement, l'Eglise dirigeait tout ce qui touchait au couronnement et également détronnement des rois, ce qui lui permettait de

des vagabonds (sale/peur…) qui représentaient un véritable danger. Au 15ème siècle, les lois législatives répriment les pauvres .On distingue les vrais et les faux pauvres. La crainte d’une concentration de pauvres va engendrer une peur. Ces pauvres « valides » sont envoyés dans les travaux publics. En 1554, un grand bureau des pauvres est créé à Paris pour éloigner les pauvres/malades mentaux/ moins indisciplinés de la population. L’Etat pense que ce problème relève plus du public que du religieux