Ndiambour

contre les Maures et les Marabouts islamistes spécialistes du Djihad et enfin contre les Européens ; avec la colonisation. Mais son indépendance et sa puissance furent marqué par une guerre sainte appelée Djihad qui opposa le Cayor à la province du Ndiambour car celle-ci ne supportait pas l’appartenance à la religion traditionnelle des souverains du Cayor . 2 - La Population. Les habitants du Cayor étaient appelés Adjor ou Adior. Dans le royaume, C les ethnies étaient très

ceci n'est possible, que grâce au message du Cheikh, il est profondément resté enraciné dans le substrat négro-africain, qui exalte le travail. Voilà également pourquoi la réussite de ceux qu'on appelle aujourd'hui les " Baol-Baol " et " Ndiambour-Ndiambour ", identifiés comme talibés mourides ou du moins en majorité , apparaît d'abord comme un état d'esprit. Elle est également inspirée par une organisation, car il n y pas que leur ardeur au travail, il y aussi des formes collectives de travail

des références mondiales en matière de produits laitiers frais, de biscuits et d'eaux minérales, est passé, en trente ans, de l'industrie du verre depuis son fief sénégalais du Ndiambour à l'industrie agroalimentaire sur les cinq continents. C'est en février 1976 que deux entreprises de verreries, les Glaces du Ndiambour — une société implantée dans le nord du Sénégal produisant essentiellement du verre plat pour le bâtiment — et Sen Verres, société dakaroise qui fabrique bouteilles et pots en verre

demi-frère. Les Européens lui demandent la permission d'installer une ligne télégraphique entre Saint-Louis et Dakar. Il refuse d'abord, mais, compte tenu de la situation du Cayor en proie à la guerre civile, et de la sienne, menacée par les musulmans du Ndiambour exigeant son départ, il accepte finalement, croyant qu'ainsi les Européens l'aideront, lui et sa famille, à conserver le pouvoir. Birima meurt en 1859, avant la signature de l'accord. Après la mort de Birima, un nouveau damel est élu par le conseil

théocratique triomphait au Fouta-Toro. Les échecs constatés au Kajoor et au Bawol ne les dissuadèrent pas de reprendre la lutte au XIXe siècle. /p. 41/ Le Waalo connut en 1825 un soulèvement maraboutique qui fut sans lendemain. En 1859 les marabouts du Ndiambour ne furent guère plus heureux dans leur tentative de renverser la royauté. Toutefois Ahmadou Cheikhou de Wouro Mahdiyou parvint, entre 1869 et 1875, à créer une entité autonome au Fouta. En 1860 Maba Diakhou avait créé la théocratie du Rip. Ainsi

famille dite sénégalo-guinéenne. Ila le statut de langue nationale au Sénégal qu’il partage avec d’autres langues comme le séreer, le joola, le pulaar, le mandingue, et le soninké, etc. Implanté essentiellement dans le Baol, le Cayor, le Diolof, le Ndiambour, le Saloum, le Walo et la presqu’ile du Cap-Vert, le wolof est en nette expansion à travers le pays ; il est utilisé comme langue de relations et d’échanges par plus de 80% de la population. Donc, il constitue une langue véhiculaire. Grace à cette

Kaolack (1865) Plus tard à Kaolack, Maba et Lat Dior ont été vérifiés par une force combinée de Français sous Pinet-Laprade l'infanterie 2000 de la cavalerie et 4000 coloniale, allié avec la cavalerie 1000 l'infanterie et 500 des états de Waalo, Ndiambour et Ndiander. ------------------------------------------------- Mamadou Lamine Dramé Mamadou Lamine Dramé (ou Demba Dibassi), né vers 1840 a goundiourou région de Kayes au Mali1, décédé en 1887, est un maraboutsoninké qui lutta contre la colonisation

MBACKE qui sera plus connu sous celui de «Momar Anta Sali». Suivant la tradition familiale qu’était l’enseignement du CORAN et des Sciences Religieuses, Momar Anta Sali, futur père de Cheikh Ahmadou BAMBA, dut entamer ses études dans les écoles du Ndiambour , notamment à Kokki sous l’autorité du Cheikh Massamba Anta DIOP descendant de l’illustre Mukhtâr Ndoumbé. A l’issue de sa formation littéraire, Muhammad MBACKE dut, pour parfaire ses connaissances théologiques, se rendre chez un autre Cheikh éminent

de la Demi-finale Coupe du Sénégal à Kaolack entre le Saloum et le Guédiawaye F.C. un supporter a eu les deux mains amputées. * * Pendant la saison 2000-2001, à l’occasion du match de championnat national de Football opposant la SONACOS au Ndiambour, un groupe de supporters lougatois avait semé la terreur dans la ville avant, durant et après le match. Cette violence a débuté suite au refus des supporters d’honnorer la note après s’être restaurés. * * Le 14 septembre 2001, le match navétane

Mbacké est revenu solliciter auprès de Mame Cheikh Mbaye, un an après sa disparition, de lui donner le nom de son fils. Le recours au calendrier historique a permis de situer la naissance de Serigne Mbaye au mois de février 1922 à Louga dans le Ndiambour. Les nombreux témoignages recueillis sur sa date de naissance indiquent en effet qu’il serait venu au monde au lendemain des rappels à Dieu de Mame Elh Malick SY (RTA) et de son homonyme Serigne Mame Mor Diarra Mbacké en 1921. Serigne Ibrahima Mbaye