Pétrarque

conservera de l’humanisme son admiration pour la poésie latine, néo-latine et celle de Pétrarque (du Bellay), ainsi que pour l’hellénisme (Ronsard, du Baïf). Mais, sous l’influence de Dolet, Rabelais et Marot, elle innovera en abandonnant la langue latine au profit du français : «J’écris en langue maternelle / Et tâche à la mettre en valeur / Afin de la rendre éternelle» (J. Pelletier du Mans). L’HÉRITAGE DE L’ITALIE : Pétrarque, le maître de la poésie lyrique d’amour pendant la Renaissance italienne est

« Sonnets », Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie ------------------------------------------------- Haut du formulaire Bas du formulaire Le sonnet Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie est publié en 1555, et s’inscrit dans la tradition Pétrarque de la poésie amoureuse : c’est un sonnet en décasyllabe à rimes embrassées. Ce sonnet lyrique a pour sujet l’amour, mais il prend toute son originalité par la variété des émotions que l’auteur évoque et opère à l’intérieur d‘une forme fixe. De quelle

exclamatives : expression des sentiments => lyrisme - "Tristes plaints" (vers 5) => désespoir Ce sonnet est une élégie (élégie : Poème lyrique qui exprime de la tristesse). Conclusion Ce sonnet est pétrarquiste (= qui imite le genre poétique de Pétrarque - le thème principal du poète est la passion pour une femme, exacerbée par l'absence ou le refus de l'aimée) dans le fond et la forme. Ce sonnet est une élégie : il exprime une plainte amoureuse de façon lyrique. Problématique : Comment la

exclamatives : expression des sentiments => lyrisme - "Tristes plaints" (vers 5) => désespoir Ce sonnet est une élégie (élégie : Poème lyrique qui exprime de la tristesse). Conclusion Ce sonnet est pétrarquiste (= qui imite le genre poétique de Pétrarque - le thème principal du poète est la passion pour une femme, exacerbée par l'absence ou le refus de l'aimée) dans le fond et la forme. Ce sonnet est une élégie : il exprime une plainte amoureuse de façon lyrique.

variations, peut faire ressortir les caractéristiques atemporelles du texte originel comme sa modernité. -Mise en avant de valeurs nouvelles par emprunts, mais aussi apport de nouveauté. Labé reprend des éléments pétrarquistes ( du poète italien Petrarque) tout en apportant un "nouveau" avec son écriture féminine. -Accent sur la véracité et l'universalité de certaines idées, certaines oeuvres sont atemporelles, parfois ce sont des idées que chaque auteur postérieur va retransmettre. Conclusion

cherché dans toute son oeuvre poétique à imiter les Anciens, à enrichir et à réhabiliter les langue française. Le Prince des Poètes célèbre ici une jeune paysanne, Marie de Bourgueil ainsi que l'amante d'Henri III, Marie de Clèves. Fidèle à Pétrarque et à ses maitres antiques, il se livre ici dans un registre lyrique à la conquète amoureuse cherchant à séduire Maris à l'aide d'un anagramme. Mais Ronsard nous livre aussi sa propre conception de l'existence. I. La virtuosité du poète de la Pléiade

Ronsard, Le premier livre des amours. Introduction Ronsard est un poete du XVIe siecle. Ce dernier avec DuBellay ont appartenu la pléiade et on introduit le sonnet en France. Ronsard s'inspire du style de Petrarque et de sa muse Cassandre pour écrire des poèmes. ''Cent et cent fois'' est le sonnet 22 des premiers amours de Cassandre Publié en 1552. Ce poète fait 14 vers, composd'une seule phrase ample. Dans le premier quatrains les rimes sont embrasspuis sont dispose rimes suivies dans les

Labbé est considéré comme un auteur du débat et non pour sa poésie. Dans les sonnets, nous avons affaire à une voix féminione qui s'adresse à un homme, elle dit l'amour qu'elle porte à cet homme ansi que sa beauté. Le modèle à cette époque est Pétrarque avec le Canzoniere qui avoue son amour pour Laure. C'est un poéte courtois avec le fin'amor. Quand un poéte chante l'amour qu'il a pour une personne, tout l emonde sait que cette personne fait de la littérature ; dans la littérature, la question

poétique fixe, le texte appartient au mouvement littéraire de la Renaissance. Louise Labé à fait partie de l’école Lyonnaise qui a favorisé la poésie féminine. Il s’agit donc d’une femme d’exception. Elle s’inspire des poètes italiens, en particulier Pétrarque. Elle présente l’amour comme une passion complexe. Son amour pour Olivier de Magny est à l’origine de nombreux poèmes. Elle publie Élégies et sonnets en 1555. « Je vis, je meurs » est le 8ème sonnet d’une série de 24. Le thème dominant est l’amour

reprend en effet la passion et la description de sentiments contraires. Elle développe pourtant dans le même temps un style de poème qui est tourné vers le lyrisme, plus particulièrement vers l’Amour. En quoi ce poème est-il marqué par les idées de Pétrarque mais aussi par le lyrisme ? Nous nous pencherons tout d’abord sur les conventions pétrarquistes reprises par Louise Labé dans ce sonnet puis nous nous demanderons pourquoi il est un bel exemple de lyrisme. Tout d’abord, le pétrarquisme