Peur De La Liberté

perte de confiance conduit à la méfiance, c'est-à-dire à la peur (de l’autre) et la peur peut conduire à la colère, puis à la violence, qui provoquent souffrances et tristesse. L’isolement est aussi une conséquence de la méfiance qui établit une rupture du lien sociétal, comme est installée une rupture avec la sauvegarde de l’environnement. Et les peurs constituent un solide prétexte à la lutte contre l’insécurité, qui elle-même fait peur. Même si les causes peuvent se décliner en nombre, il semble

régime totalitaire. Durant l'occupation Allemande en France, peu de personnes les ont combattu. La cause était la peur d'être perçu comme un ennemi de la république qui en effet, dirigé par le maréchal Pétain a passé un accord avec le fondateur du 3ème Reich, Adolf Hitler. Même si un majoriter de la France n'appréciait pas cet accord, peu de personnes intégrèrent la résistance ; par peur d'être isolés par la société. Les résistants était contre cet idéologie des races qui tente de s'immicer dans la

être celui qui peut faire changer les choses pour rendre les gens heureux «J’ai les moyens de les faire vivre dans la vérité. Car je sais ce qu’il leur manque» (page 27) «Réjouissez-vous, il vous est enfin venu un empereur pour vous enseigner la liberté.» (page 38) 2. Un comportement et une attitude démesurés chez Caligula 3.3 Un comportement cruel et violent 3.4.6 Caligula fait preuve de cruauté envers son empire «Toutes les personnes de l’empire qui disposent de quelque

nucléaire, l’essor industriel ou encore les nouvelles technologies appliquées aux domaines médical ou informatique… Mais doit-on avoir peur de la technique ? Le problème est donc le suivant : ou bien la technique en tant que savoirfaire propre à l’homme est l’expression de son intelligence et de sa liberté, mais alors craindre la technique serait douter et avoir peur de ce qui fait la © Hatier 2007 156 C O R R I G É 21_PHI070450_01C.fm Page 157 Mardi, 24. juillet 2007 10:32 10 B. La technique

certaines choses qu'on ne peut pas réellement évoquer. On manque de mots, ou on ne sait même pas expliquer ce qu'on ressent. Qui peut se targuer de raconter une émotion ? N'importe quoi, me direz-vous ? Sinon, comment pourrait-on, par exemple, raconter la peur ? C'est bien une émotion, qui pourrait le nier ? « Il sentait ses jambes se dérobaient sous lui. Il ne contrôlait plus les tremblements de son corps. Sa peau se hérissait comme sous une caresse immonde, et il sentait ses cheveux le tirailler sur sa

prêté serment devant le maire de Paris, Bally. Louis XVI rappelle Necker. On entame la période révolutionnaire du peuple (la phase sociale). Les récoltes sont mauvaises de ce fait il y a de forte famine. Insécurité chronique on parle de Grande Peur, peur des Brigands. « La double propriété féodale » double parce que cela renvoi d’une part à la propriété du seigneur et d’autre part au pouvoir que le seigneur exerce sur le paysan. Destruction des preuves matérielles des servitudes paysannes.

à la ligne 25 de l'expression « Ils sont en train de faire dans leurs culottes, se dit Angelo. Aidons-les » montre qu'Angelo fait preuve d'attendrissement et de pitié face à la peur des habitants. C'est donc facile pour le lecteur de s'identifier dans cette circonstance car il inspire vraiment la peur pour les villageois. Dès le début, il essaye de passer les remparts et de pénétrer dans la ville, sans être arrogant. Il est le maître de la situation, pour lui, tout se déroule

Au nom de la liberté individuelle peut-on admettre le racisme au sein de la société ? Hitler et Maurras se sont trompés. Le concept de race est un non-sens : Jacquard montre que c’est un raisonnement d’ordre passionnel et que donc les arguments logique (les différences sont au sein du groupe) et biologique (homogénéité du patrimoine génétique humain), qui sont par ailleurs juste, ne peuvent convaincre le raciste. Ce dernier cultive un mépris pour l’existence des autres groupes car il a un manque

savoir, substituer la raison à la superstition, assurer l'autonomie de l'éthique par rapport à la religion, rendre l'idée de Dieu indépendante de toute religion particulière. Ses concepts-clés sont : "oser", "humanité", liberté", "préjugés", "révolution", "despotisme", "réforme", "liberté", raison, "usage privé de la raison", "usage public de la raison", "savant", "progrès", "droits sacrés de l'humanité", "volonté générale", "despotisme clérical", "critique". Emmanuel Kant définit les Lumières comme

chapitre(s) (10 lignes). Identifier tous les personnages en précisant pour chacun d’eux une de ses actions. Choisir le personnage important et expliquer comment il aurait pu agir autrement. Trouver des indices (des mots ou expressions) de joie, de peur, de doute, de bravoure et d’amitié. Découvrir deux ou trois phrases-clés du ou des chapitre(s). Établir l’ordre chronologique des événements et préciser lequel est le plus important dans le récit. Nommer son personnage préféré et donner la raison de