Peur rouge

Une ivresse de sensation brutale Le texte est constitué d'un ensemble de sensation que l'absence du narrateur rend encore plus brutale. Les sensations visuelles reposent d'abord sur deux couleurs contrastées et franches: le noir de l'herbe et le rouge des forges. C'est donc une scène de nuit, sans repères, un univers angoissant dont la lueur de la lune est absente. Les sensations sont soudaines et brusques, le buisson qui "gifle l'oeil" se comprend comme une marche dans une nature hostile ou comme

qui vient d'Hollande, il est fondé en 1917, et aussi rappelé « Néoplaticisme ». Avant, je n'ai jamais vue de pientures de ce genre en vrai. Pour les caractérisations de ce style, je remarque qu’il utilise toujours des couleurs primaire comme le rouge, le jaune, le bleu, le blanc, le noir...etc, en plus, elle sont appliquées aplat, sans mélange ou dégradé. Pour la composition, il utilise uniquement des lignes droites et orthogonales en les formant de rectangles et des carrés. Dans cette exposition

citronniers et des cathédrales de marbre blanc, dont les clochers aigus portaient des nids de cigognes. On marchait au pas, à cause des grandes dalles, et il y avait par terre des bouquets de fleurs que vous offraient des femmes habillées en corset rouge. On entendait sonner des cloches, hennir les mulets, avec le murmure des guitares et le bruit des fontaines, dont la vapeur s'envolant rafraîchissait des tas de fruits, disposés en pyramide au pied des statues pâles, qui souriaient sous les jets d'eau

passa si près que le chapeau tomba
Et que le cheval fit un écart en arrière.
“Donne-lui tout de même à boire”, dit mon père. Victor Hugo Le Cauchemar Vers le vide
il se précipite, cet homme
dans les rues de cette ville sans nom Sous un ciel rouge de flammes, de bruits
il ne s’arrête pas pour regarder autour de lui
il n’a pas le temps Un cri, «tourne vite
non, pas par-là
vite! rejoins les autres, quels autres?» Tête basse, il suit les lignes
il suit son ombre
ne voyant même pas les bâtiments

« sorcière » ou encore « d’ensorcelée » du fait également des nombreux habits noirs qu’elle portait, car oui, Veronica ne vivait pas une adolescence des plus paisibles. Souvent insultée, maltraitée et même battue une fois, elle n’a cessé de vivre dans la peur et le rejet. Les filles l’ignoraient, les garçons la traitaient de repoussoir et ne trouvant compagnie auprès de quiconque, elle trouvait refuge sous le chêne de la grande cours du Lycée, à lire l’un de ses nombreux bouquins sur les serpents qu’elle

c'est une métaphore péjorative Les crachats représentent les armes qui ne cessent d'envoyer leur mitraille-> elles craches du feu sonorité dure (coup de feux) c'est aussi le dégoût, la guerre est un univers de vulgarité et de déshumanisation le rouge = métaphore, conséquence de la mort des soldats Par extension on peu dire que les soldats crachent leur sang - mise en scène apocalyptique soulignée par "une folie épouvantable" qui montre l'absurdité de la guerre. Mais les morts ne sont pas présenté

semaines. J’arrive à Paris le 6 septembre 1914. Les allemands sont en France, la guerre commence mal pour notre peuple français. J’ai très peur de tout ce que je vois, j’ai déjà vue la mort déjà dès le premier jour. Je vais vivre ma première bataille qui se nommera la bataille de la Marne. Les français ne sont pas malins car il nous donne des tenues bleu et rouge au couleur du pays qu’on repère au loin. Alors que les allemand eu sont en tenue de camouflage. eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee-

nanananananlsks idekjkbdoçecv Voici le texte tout d'abord: Les animaux, autant que l'on peut deviner, n'ont point de passions. Un animal mord ou s'enfuit selon l'occasion ; je ne dirai pas qu'il connait la colère ou la peur, car rien ne laisse soupçonner qu'il veuille résister a l'une ou a l'autre, ni qu'il se sente vaincu par l'une ou par l'autre. Or c'est aussi pour la même raison que je suppose qu'il n'ont point de conscience. Remarquez que ce qui se fait par l'homme sans hésitation, sans doute

L’affiche rouge Introduction : Cette affiche de propagande produite par l’occupant allemand et le régime de vichy est destinée à la population française. Elle a été crée en février 1944 lors de l’arrestation du groupe Manouchian. Elle a été placardée sur les murs de Paris dans le but de présenter la résistance sous les traits d’étrangers communistes, juifs, terroristes et dangereux nuisibles à la France afin que la population française s’en détourne. Elle annonçait également l’arrestation du

la galerie nationale d’Oslo. C’est une allégorie, c’est à dire que pour représenter une idée on prends autre chose. Il à écrit sur son oeuvre que « Je me promenais sur un sentier avec deux amis — le soleil se couchait. Tout d'un coup le ciel devint rouge sang. Je m'arrêtais, fatigué, et m'appuyais sur une clôture. Il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir et de la ville. Mes amis continuèrent, et j'y restais, tremblant d'anxiété. Je sentais un cri infini qui se passait à