Peur rouge

La peur que provoque la propagande : La propagande a toujours permis d’accentuer les peurs et les mises à l’écart de la population par rapport à un groupe social, un autre pays ou même des membres de confessions religieuses différentes (Exemple :propagande anti-juif que les allemands ont diffusée avant et pendant la 2nd guerre mondiale) C’est ce qui s’est déroulé aux Etats-Unis avec la compagne de propagande anti Communistes et la campagne russes anti Etats-Unis Dans les années 50 le communisme

« une hache passa »l19. Le peuple a une grande volonté, il semble invincible, il est armé et veut sa vengeance, de plus l’évocation de la guillotine est une référence à la révolution de 1789. Ce champ lexical s’associe à celui du sang avec les mots « rouge » , « charrier du sang » l.30, « saignant comme des bouchers en pleine tuerie »l.31, renforçant l’image de cette masse inquiétante. De plus l’effet de masse est amplifié par la description plus détaillée aux lignes 15- 16 (c’est un changement de plan

L’auteur nous donne dans l’extrait, le point de vue des bourgeois dont la peur va crescendo, ce point de vue nous permet de faire une hypotypose, on se croit dans le feu de l’action, et les modalités exclamative qu’il utilise dans leur dialogue nous montre qu’il sont stupéfait par l’ardeur des mineurs. La première parole des bourgeois semble être de l’humour « prenez vos flacons, la sueur du peuple qui passe ! », puis la peur s’installe progressivement « quels visages atroces »(l22), Négrel les comparent

____________________________________________________________ ____________ Compétences : N°23 : Croiser ses connaissances avec les informations extraites d’un document. Vert Orange Rouge /10 N°30 : Rédiger en utilisant le vocabulaire de la discipline. Vert Orange Rouge /5 N°32 : Rédiger un paragraphe argumentatif cohérent. Vert Orange Rouge /5 /20 Prénom : Nom : Classe : 3ème A / 12.11.2008 Fournis deux arguments précis pour démontrer que le régime politique

raconte le passage des trois mousquetaires et de d’Artagnan qui essayent d’interroger l’homme au manteau rouge. Sans résultat l’homme les accompagna de son plein gré. Sur la route ils rencontrèrent Grimaud qui l’obligera à avouer ou se cachait Milady. Ils allèrent chez la jeune femme pour l’accuser de plusieurs meurtres et tentatives d’empoisonnants. La jeune femme en voyant Athos avait très peur. Ils décidèrent de la juger d’eux même aux lieux de la tuer sans lui laisser la chance de s’exprimer.

L’affiche Rouge  Période : XXe siècle Problématique : Représentation et mise en scène du pouvoir : la propagande . à Quels procédés sont utilisés du régime au pouvoir? Contexte : Posée dans toutes les rues de Paris le 21 février 1944, ces affiches annoncent l’exécution de 23 « terroristes » du groupe de Michel Manouchian membre de la FTP ( Francs Tireur Partisant ), qui organisait des actions de guérilla contre les allemands. L’affiche a été accompagnée de Tracts dans Paris ( au recto

d’abord que le titre écrit en rouge et en italique , d’une manière assez tremblante prédit du sang , toujours en rapport avec l’action de ce film ( par exemple le meurtre de Philipp Vandamm à la fin du film ) , mais aussi des larmes ( la tristesse de Eve Kendall, au milieu du film , étant amoureuse de Roger O. Thornhill mais ne pouvant pas lui montrer ) . Le casting est bien mis en évidence avec les noms des 3 acteurs principaux en rouge , pour représenter la peur , mais aussi pour attirer l’attention

nazie, appelée depuis « L’affiche rouge » annonça aux Français que les 23 membres du groupe Manouchian étaient condamnés à mort. En 1955, à l’occasion du baptême d’une rue « Groupe Manoukian », à Paris, Louis Aragon écrit ces « Strophes pour se souvenir », en une période où le souvenir de la guerre et de la Résistance s’estompe. Réseau Manouchian : 23 résistants dénoncés et exécutés. On les fait passer pour des terroristes à travers les « affiches rouges » (rouge=communisme). A l’aide de la propagande

CAUCHEMAR EN ROUGE:     C’était un vendredi de pluie, je revenais du travail et il se faisait tard. Très tard… Les rues étaient désertes. Aucune voiture, aucun civil, aucun lampadaire ni même une mouche… On aurait dit la fin du monde dont j’étais le seul survivant. J’avais très froid et j’avais hâte d’arriver pour écouter un bon film sur le canapé avec un gros bol de maïs soufflé. C’est alors que des feux d’artifices apparurent dans le font de l’horizon montréalais. J’étais surpris de voir que

Epreuve d’Histoire de l’Art, brevet des collèges. Le cri, (The scream), Edvard Munch A propos de son œuvre, Edvard Munch écrit : « Je me promenais sur un sentier avec deux amis — le soleil se couchait. Tout d'un coup le ciel devint rouge sang. Je m'arrêtais, fatigué, et m'appuyais sur une clôture. Il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir et de la ville. Mes amis continuèrent, et j'y restais, tremblant d'anxiété. Je sentais un cri infini qui se passait à travers