Peur rouge

fois à la télévision. D'ailleurs, l'illustration du roman m'y a fait penser, étant donné que la fois où j'ai vu le groupe à la télévision, le chanteur avait une tête d'oiseau sur sa tête.L'illustration de la couverture est assez attirante, avec ce rouge et cette originalité de costumes. Le titre me fait penser plutôt à une histoire qui ne peut être totalement réelle, et aussi à une histoire qui n'est peut-être pas très joyeuse, qui a l'air triste et parle de la mort.Ce roman a l'air de renfermer le

rappellant qu'il n'est pas véritablement tout seul. Il le sait, sa quête le menera à sa propre autodestruction, teintée d'épique et de pathétique, versant parfois une larme sur sa laine souillée par l'orgueil et l'envie, préférant la froide fierté à la rouge chaleur du coeur. Il pense à tout ce qu'il aurait pu accomplir, à toutes les relations qu'il aurait été à même d'entreprendre, et réparer tous les coeurs brisés qu'il a laissé derrière lui. Il est un petit poucet semant des morceaux de fille sur son

où la sage-femme pose sur le ventre d’une nouvelle maman, un enfant, si proche, un inconnu à découvrir. Ma Luna, je pense à elle. Ma Luna, je pense à toi. Tes cheveux fous, que tu ne parviens pas à discipliner, ton rire si bruyant, tes cris de peur quand tu rates la dernière marche des escaliers, ton odeur sucrée ! Je me souviens. Il pleuvait averse ce jour-là et comme tu le sais, nos pluies tropicales font des ravages. La ville était déjà occupée par vos troupes. Un véritable déluge semblait

nous le fait sentir à plusieurs reprises ,nous noterons les états de tension à chaque fois qu’une présence allemande paraissait et sa crainte que la guestapo puissent attraper son ami. Il utilisera le rouge seulement par le rouge à lèvre de sa maman,pour exprimer la crainte ,la révolte et la peur ET par la goute de sang de la main du petit Julien pour nous faire penser à la mort et aux massacres d’innocents par milliers dus au racisme et l’antisémitisme de l’époque . Tout le long du film l’auteur

un nazi. Thierry et Eric conclurent que pour faire arreter Andreas, une seule chose était possible, le tuer dans le jeu. ( + extrait de n'importe quelle scene fantastique ) La peur : au début, les 3 potes sont confiants d'entamer le jeu mais au fil du temps, la peur, l'inquiétude les envahit ( + extrait d'une peur ) La sanction ou conclusion : Thierry et Eric ont fini par battre Andreas au jeu, l'interdisant de rejouer au jeu de la guerre civile. Andreas était fou de rage et s'isola pendant

: la vue au niveau des couleurs : « brunâtre » « rouge » « céruléen »,  l’odorat « pourrisant » « poissons morts » , l’ouïe : pas de Robinson et touché « noueux  »  ­​        ​ Antithèse entre « silence » et « bruit »     Personnages ­​        ​ Personnage ​ : Robinson est sujet quand l’autre cas c’est l’île « horizon » « mouettes » «  vague »  «  L’enchevêtrement .. filet gigantesque » phrase importante ​ ligne 37  ­​        ​ Sentiment de Robinson ​ : « Frisson de peur » « colère » « peur » ​ ligne 53  ­​        ​

brèche entre le réel et le fantastique se fissure. Par un cri strident, la mouette s’attaque à Mélanie comme pour la punir de ce qu’elle tentait de faire a Mitch Benner. Ainsi, la première montée d’angoisse est montrée dans l’image du sang coloré d’un rouge vif de Mélanie, après l’attaque, en gros plan sur son doigt colorée : il fallait y croire, c’était du vrai sang et c’était bel et bien un oiseau qui lui avait fait ca. Bizarre et inquiétante ce qui venait de se passé a cause de l’envie de séduire

poèmes ont beaucoup de références à l'hiver pour montrer l'angoisse qu'éprouve le personnage de leur poème. Le poème de Baudelaire est rempli de ces références hivernales : «Et, comme le soleil dans son enfer polaire, / Mon cœur ne sera plus qu'un bloc rouge et glacé. / J'écoute en frémissant chaque bûche qui tombe; » (v. 7-9) Dans le poème Maison fermée, l'angoisse est représentée à travers l'hiver: «Je songe à la désolation de l'hiver»(v.8-9) L'antithèse du premier vers de la citation du poème de Baudelaire

impressionnant de tous marcher côte à côte, j’avais l’impression que rien ne pouvait nous arrêter, je me sentais forte et courageuse. Mais lorsque nous arrivâmes au Palais, la bataille éclata et aussitôt je sentis fondre mon courage, remplacé par la peur et l’horreur. Les balles sifflaient de partout, j’entendais les cris des hommes blessés et les plaintes des mourants, je voyais des personnes tomber au milieu des détonations et du fracas des vitres brisées. Quelle horreur ce fut pour moi ! J’essayais

n’était plus valide depuis 1937) sur lequel est écrit en rouge en français et en flamand : juif. - au 2nd plan : on voit un mur gris et plus haut que le personnage. - à l’arrière-plan : on remarque un immeuble, deux arbres (l’un fleuri, l’autre coupé), et un coin de ciel bleu cerné par des nuages sombres. d) Interprétation de l’œuvre - au centre du tableau : le peintre se représente comme un fugitif (manteau et chapeau pour se cacher) qui a peur (regard mal assuré / regard de biais). Il présente son