Peur rouge

L’annonce de la date de mort : 1-un sentiment de colère A l’annonce de la date prévue de mourir, à savoir le 17 octobre Noëlle Chatelet, le narrateur éprouve plusieurs sentiments d’abord celui de la colère comme en témoigne l’expression : « Rouge de colère, j’étais, mais aussi de honte ». » (p. 12) ou encore : « mes tentatives de colère ne t’alarmaient plus » (p. 15). En effet, même si sa mère Mireille Jospin avait déjà auparavant envisagé de mourir par l’acte d’euthanasie, Noëlle Chatelet

» (l.15) ne sont-elles pas une métaphore des divagations de la conscience du personnage ? Quant à Gervaise, elle a peur (l.14) de retrouver son amant Lantier mort, elle se morfond dans sa tristesse et sa douleur. Elle broie du noir et tout ce qui l’entoure reflète sa tristesse. Le Paris n’est que « puanteur », muraille grise », « coins sombres »…ce champ lexical exprime toute la peur et la tristesse de Gervaise. Le personnage de Bardamu débarque à New York et ne connaît pas le quartier de Broadway

n’était plus valide depuis 1937) sur lequel est écrit en rouge en français et en flamand: juif. - au 2nd plan: On voit un mur gris et plus haut que le personnage. - à l’arrière-plan: On remarque un immeuble, deux arbres (l’un fleuri, l’autre coupé), et un coin de ciel bleu cerné par des nuages sombres. Interprétation de l’œuvre - au centre du tableau: Le peintre se représente comme un fugitif (manteau et chapeau pour se cacher) qui a peur (regard mal assuré / regard de biais). Il présente son passeport

Cécile coupa la parole de son père : - Papa, non je ne veux pas épouser un homme pour son argent et encore moins un homme que tu as choisi, je veux connaître mon destin par moi même, je ne veux pas que tu me l’inflige. Son père devient rouge de colère, il se leva de son fauteuil et haussa le ton : - Ah ma pauvre fille, tu crois que la vie est faite de fleur et de couleur ?, crois tu que je suis devenu riche par hasard ?, bien sur que non, j’ai épousé ta mère pour cela ! Cécile

combat sont traités de violence, de peine, dans plusieurs scènes je vois beaucoup de rouge, qui représente le sang, plein de soldat sont fusiléou ont perdu un de leurs membres, il est vrai que, les soldat ont très peur, certains sont assourdit à cause du bruit des mitrailleuses, ou des obus. Beaucoup d'entre eux ne savent pas quoi faire: Tiré? Courir? Se cacher?! D'autre pleure, vomise et tremble d'inquiètude et de peur. Pour terminer Le réalisme sert à ce rendre compte de la réalité, cela peut expliquer

fantastiques. Dans cette analyse je vous ferai par de certaines particularités de ce genre, dont la folie, la peur, le fait qu’il utilise un champ lexical propre au fantastique et qu’il y est toujours une tension entre le réel et l’insolite. Paragraphe 1 : Dans le Horla, Guy de Maupassant développe deux thèmes particuliers et très significatifs du genre fantastique. Ceux-ci sont en fait celui de la peur et de la folie. Tout au long du journal, l’auteur travail le fond et la forme d’une manière effrayante

moment. Toutefois la peur ne venait chez lui qu’en seconde ligne ; il était surtout scandalisé de ce bruit qui lui faisait mal aux oreilles. L’escorte prit le galop ; on traversait une grande pièce de terre labourée, située au-delà du canal, et ce champ était jonché de cadavres. – Les habits rouges ! les habits rouges ! criaient avec joie les hussards de l’escorte. Et d’abord Fabrice ne comprenait pas ; enfin il remarqua qu’en effet presque tous les cadavres étaient vêtus de rouge. Une circonstance

confiance en vous. 2 - Soyez parfaitement préparé Toute faiblesse sera source d’angoisses supplémentaires, et, sous le coup de l’émotion et de la peur, vous risquez d'oublier instantanément tout ce que vous n'aurez pas parfaitement intégré ! Mieux vaut donc être fin prêt ! Pour une réunion de travail, préparez des fiches résumées avec quelques mots-clés en rouge qui vous aideront pour démarrer votre intervention, ou si vous perdez le fil de votre exposé. Si vous devez connaître votre texte par coeur (pièce

passe de la curiosité à une peur diffuse et finit par ressentir de la terreur face à cette machine inconnue. On nous dit aux premières lignes du texte qu’elle « eut la curiosité d’aller regarder, au fond, derrière la barrière de chêne, le grand alambic ». L’alambic représente alors pour elle, un objet tabou, inaccessible, puisque caché au fond de la cour, mais paradoxalement fascinant, qui excite sa curiosité. Puis, au fur et à mesure des explications de Coupeau, la peur semble se diffuser en elle

imprudent grilla un feu tricolore à toute vitesse. Malgré un très grand freinage , elle ne peut l’éviter. La jeune mère de famille se retrouva coincée à l’intérieur de sa veille voiture rouge, en ne pouvant plus sortir a causes de la carosserie qui était tout plier.Elle se trouvait dans un carrefour où il y avait un feu rouge certes mais personne ne passer, elle voyait a l'horizon des arbres qui se plié avec le souffles du vents , elle apercevait quelques colines quelle n'avait jamais eu vraiment l'occasion