Peur(s) du noir

Pure souffrance j'ai toujours eu peur du noir ,ce noir si vide qui vous attire d'une certaine manière ,je trouve ça effrayant .C'est bizarre tout de même d'avoir une aussi grande frayeur de ce monde plongé dans l'obscurité .Par contre j'ai toujours eu un fin plaisir de vouloir tuer .Le sang ne me fait pas peur mais j'aime le contempler lorsqu'il sort de la plaie .Les esprits et autres bestioles pour moi n'existent que dans le fin fond de notre imagination . C'est à cause de nous que tout ça paraît

dans le Montana, aux États-Unis. Il a réalisé des courts métrages, des longs métrages ainsi que des séries. Il a suivi des études de peinture, et d'arts plastiques, et s'intéresse très tôt au cinéma. Ainsi, en 1976, il réalise Eraserhead, tourné en noir et blanc et c'est en voyant le film que Mel Brooks lui confiera la réalisation d'Elephant Man, sorti en 1980. Pour ce film, David Lynch fut nommé trois fois meilleur réalisateur aux Academy Awards. Elephant Man connait un grand succès et reçoit le

Extrait 03 – Le Rouge et le Noir Intro : - Stendhal, auteur du 19ème, est l’un des plus grands romanciers français. Il est connu pour avoir écrit le Rouge et le Noir, et la Chartreuse de Parme. - Le Rouge et le Noir, roman d’apprentissage, inspiré d’un réel fait divers publié dans la gazelle des tribunaux (tentative d’assassinat d’une jeune femme, amante et bienfaitrice de Berthet), retrace l’évolution sociale de Julien Sorel, jeune paysan qui rêve de gloire durant la Restauration

signifiante 601-ZAA-04 Chapeau : Nell Harper Lee est née le 28 avril 1926 à Monroeville en Alabama. Elle entreprit des études de droit qu’elle abandonna et remplaça par l’écriture. En 1960, au cœur de la lutte pour les droits des populations noires américaines, elle publia son seul et unique roman intitulé Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur. À cette époque, les Afro-Américains étaient maltraités et perçus comme une race inférieure. Dès sa publication, les ventes furent explosives. L’année suivante

A • Ablutophobie - Peur de se baigner. Cette phobie est plus une peur de la noyade qu'une peur de l'eau. • Acarophobie - Peur des parasites de la peau, des acariens. • Achluophobie - Peur de l'obscurité. • Acrophobie - Peur des hauteurs ; s'accompagne souvent de vertiges. • Aérodromphobie - Peur de l'avion, des voyages en avion. • Agoraphobie - Peur des espaces libres et/ou des lieux publics. • Aichmophobie ou Achmophobie - Peur des aiguilles et des objets pointus

La peur au cinéma En quoi la peur est liée aux peurs de l’enfant ? La peur est liée aux peurs de l’enfance car elle fait remonter des peurs anciennes. Elle nous montre que les peurs comme la peur du noir, la peur d’aller dormir, la peur des ogres, ne sont pas totalement oubliées. Dans le cinéma, on retrouve le fait de l’interdiction qui crée l’envie de désobéir, comme en étant enfant. Ils vont chercher l’enfant tout au fond de nous-mêmes et montrent que nos peurs enfouillies de notre enfance

différents, ne leur offrant aucune chance ? Est-ce que la société a en elle une sorte de xénophobie ? La société a souvent tendance à avoir « peur » des personnes autres qu’elle en se basant sur des critères variés : la religion, le physique, le sexe, la culture, l’idéologie, les valeurs. Qui n’a jamais vu un enfant avoir peur d’un homme juste parce qu’il était « noir » ? Qui n’a pas vu un enfant un peu joufflu seul parce que les autres ne voulaient pas jouer avec lui ? Les personnes différentes sont bel

donné leur vie pour la liberté, des résistants, afin qu'ils ne tombent pas dans l'oubli.      Le poème « Strophes pour se souvenir » évoque un temps de guerre. Il dépeint un paysage bien triste. Les couleurs présentes sont celles du malheur, le noir « noir de barbe » évoqué aussi avec l’image de la nuit « nuits hirsutes », le rouge sanglant « l’affiche qui semblait comme une tache de sang », le gris « Tout avait la couleur uniforme du givre ». Un sentiment de tristesse et de désolation émane du poème

le côté économique. Les couleurs sont plutôt sombres (bleu, noir, gris) sauf pour le soleil qui est orange, symbole de la joie et de l’optimisme. Les formes sont simplifiées et géométriques et l’affiche ne retient que les éléments de décor important, elle cherche avant tout la fonctionnalité. La deuxième affiche se compose de 3 parties. En haut à gauche de l’affiche, il y a un ouvrier au bord du précipice, il est représenté en noir et on le reconnait à sa casquette. Il y a un point fermé derrière

emprisonné, qu’il ne sent pas la peur et qu’il croit qu’il pourrait s’échapper. Le dispositif scénique est présenté de telle sorte que le spectateur est coincé, qu’il n’a aucun moyen de s’enfuir. Et même si, certains spectateurs essayent de se protéger, de se créer une carapace pour ne pas être atteint par la force des mots et du jeu des deux actrices, d’autres se laissent toucher, se laissent être questionnés et se laissent être pénétrés par le doute, l’angoisse, la peur, l’incertitude,… Il y a un