Peur(s) du noir

Le corpus proposé, se compose de trois textes dont Le Rouge et le Noir de Stendhal, Les Trois Mousquetaires, d'Alexandre Dumas et La Condition humaine d'André Malraux. Ces trois textes sont des romans dont deux, Les Trois Mousquetaires et Le Rouge et le Noir sont du dix-neuvième siècles, ainsi faisant partie du réalisme. Les deux auteurs de ces deux textes cherchent alors, à décrire la réalité de leur époque. Le troisième texte est du vingtième siècle, son auteur André Malraux est influencé par l'existentialisme

pour effrayer la jeune mendiante, "errant dans ce désert architectural" ligne 3 , et où le poète fait allusion à la ville. Il la compare à un désert architectural de grande étendue de bâtiments, de maisons. Il dit “qu’ils errent”, cela renforce la peur car le mot utilisé est dépréciatif. “errer” fait référence au fait d’être perdu et de ne pas savoir où nous allons ; le mot désert fait comprendre à la mendiante qu’il y a très peu de vie, et qu’ils sont seuls. La ligne suivante, "au milieu de la

guerre. Il montre un paysage bien triste. Les couleurs présentes sont celles du malheur, le noir « noir de barbe » évoquer aussi avec l’image de la nuit « nuit hirsute », le rouge « l’affiche qui semblait comme une tache de sang », le gris « tout avait la couleur uniforme du givre ». Un sentiment de tristesse sort du poème. De plus le poème est rempli de termes faisant référence à la mort. Il souligne aussi la peur a laquelle était soumise la population. L’affiche rouge est comparée à « une tâche de sang »

plusieurs jours , comme si elle n'était pas heureuse d'être ici. Je lui demandait tous les jours ce qui n'allait pas mais elle ne me répondait jamais. Un soir en rentrant très tard du boulot je vit ma fille assise sur la table de la cuisine dans le noir , entrain de parler toute seul , comme si elle parlait à quelqu'un, mais il n'y avait personne dans la pièce. « Alicia, à qui parle-tu !» Elle ne me répondait pas et continuait à parler comme si je n'étais pas intervenue «Eh , oh ! Alicia reprend

s en forme d'éclairs qui est l'emblème des SS. Nous remarquons aussi en arrière-plan, un drapeau noir lui aussi imprimé du symboles SS. Nous étudions maintenant plus particulièrement, le soldat SS représenté sur l'affiche. Il est au garde à vous, menton relevé, fixant des yeux le jaune de l'affiche, qui doit représenter la lumière, qui est en contraste avec le noir, représentant l'obscurité, la peur. En fixant cette lumière, le soldat laisse sous entendre qu'il est confiant en la victoire de l'Allemagne

un sourire, Lorsque je ne souhaite que mourir. Ma vie est un miroir, Où se reflète mon désespoir. ________________________________________________________________________________ Je suis seul Seul dans une salle Dont les vitres teintées de noires Effacent jusqu'à mon existence Je me morfonds dans un coin Telle la larve que je suis Les feuilles rattachées aux branches Sont suivis d'un arbre Elles n’ont qu'un choix de vie Mourir et flétrir sous un soleil radiant Et une lune glacée

n'éblouit pas les yeux des Partisans Vous aviez vos portraits sur les murs de nos villes Noirs de barbe et de nuit hirsutes menaçants L'affiche qui semblait une tache de sang Parce qu'à prononcer vos noms sont difficiles Y cherchait un effet de peur sur les passants Nul ne semblait vous voir français de préférence Les gens allaient sans yeux pour vous le jour durant Mais à l'heure du couvre-feu des doigts errants Avaient écrit sous vos photos MORTS POUR LA FRANCE Et les mornes matins

n'éblouit pas les yeux des Partisans Vous aviez vos portraits sur les murs de nos villes Noirs de barbe et de nuit hirsutes menaçants L'affiche qui semblait une tache de sang Parce qu'à prononcer vos noms sont difficiles Y cherchait un effet de peur sur les passants Nul ne semblait vous voir français de préférence Les gens allaient sans yeux pour vous le jour durant Mais à l'heure du couvre-feu des doigts errants Avaient écrit sous vos photos MORTS POUR LA FRANCE Et les mornes matins en

demande conseil au devin Tirésias, le thébain. Ulysse et Tirésias le thébain II. L'évocation du monde des morts : les Enfers Les grecs avaient peur de la mort et de la vie dans l'au-delà. Dans les textes antiques, les auteurs essaient de représenter les Enfers. Par exemple dans l'Eneide de Virgile, ou encore dans les Métamorphoses d'Ovide. Ils avaient aussi peur de l'avenir, c'est pourquoi ils consultaient des oracles, tel que celui de Delphes, et des devins. Le rite est complexe. Il est évoqué deux

heureux qu’un intelligent altruiste). C’est évident, j’en ai toujours eu peur, j’ai toujours voulu l’éviter, je me suis battue contre, je l’ai enfouie, niée, mais elle est bien là, je n’arrive pas à le dire, à prononcer ce mot. ça fait 4 ans que je la nargue en me disant que pas une fois je n’ai pleuré à chaudes larmes en pensant à ce grand trou noir. Mais j’avoue, les larmes n’étaient plus là mais le grand trou noir, si. J’ai essayé tout à l’heure, entre la colère, la tristesse profonde avec