Peur(s) du noir

Usbek est parti car il ressentait de la curiosité à l'égard des autres cultures. Il demande à Rustan de lui faire parvenir les échos de son départ. II - Lettre II - Usbek au premier eunuque noir (Ispahan) Usbek possède un sérail (=harem) et, lors de son départ, il en a laissé la direction au premier eunuque noir. Dans cette lettre, il lui réitère les recommandations : répondre aux besoins de ses femmes, mais tout en les traitant fermement (comme lui) et les cacher des autres hommes. III - Lettre

tente malgré tout de lui attribuer un sens. Plan en trois parties. Première partie : une obsession de définir la mort ; deuxième partie : la mort définie comme vie dans deux mondes : sur Terre et céleste ; troisième partie : un poème révélateur de la peur de Baudelaire envers la mort. Pourquoi et comment Baudelaire attribue t-il une définition positive de la mort alors que cette notion abstraite est indéfinissable ? Développement : I. Une obsession de définir la mort. 1. L’expression « C’est » :

inquiétude, son regret et sa peur . En deuxième lieu, le récit qui est séduisant suscite plusieurs sentiments chez le lecteur notamment la pitié « souffre-douleur »l.10,  « la famine fut si grande »l.12, « se défaire de leur enfants »l.13, « mourir de faim »l.17, « grande pauvreté »l.21, « mes pauvres enfants »l.67. Le bûcheron et sa femme n'ont plus de quoi nourrir leurs enfants et songent à les abandonner dans la foret ce qui suscite la compassion Ensuite,il y a la peur car les parents ont abandonné

« L’Etudiant noir » en 1934. C'est dans ces pages qu'il exprimera pour la première fois sa conception de la négritude, notion introduite par Aimé Césaire, dans un texte intitulé « Nègrerie ». Césaire la définit ainsi : « La Négritude est la simple reconnaissance du fait d’être noir, et l’acceptation de ce fait, de notre destin de Noir, de notre histoire et de notre culture ». Senghor explique en ces termes le concept de Négritude « la Négritude, c’est l’ensemble des valeurs culturelles du monde noir, telles

tient une lumière. Enfin, à l’extrême droite, une femme lève les bras au ciel. Le choix du noir, du gris et du blanc met en valeur la gravité du sujet. Ce sont des couleurs tristes. Le noir est l’absence de couleur et symbolise la mort, le deuil. De plus, le noir et le blanc rappellent que Picasso a suivi les événements à travers la Presse. Les images qu’il a eu des bombardements étaient, elles-aussi, en noir et blanc. Picasso représente ses personnages à la fois de face et de profil. Il veut les représenter

D'une passion mortelle, Thésée est parti avec votre indigne sœur. L'amour les a réunis sous un ciel plein d'horreur J'ai bien peur que votre cœur ne cesse de battre Après un tel chagrin que vous ayez à combattre Ariane Que me dis-tu Aegine? Je ne me soutiens plus, ma force m'abandonne Que les Dieux me pardonnent, Je veux qu’un noir chagrin à pas lents me consume Et de cet horrible rage, m'allume Un feux si redoutable Que je puisse oublier l'inévitable

tient une lumière. Enfin, à l’extrême droite, une femme lève les bras au ciel. Le choix du noir, du gris et du blanc met en valeur la gravité du sujet. Ce sont des couleurs tristes. Le noir est l’absence de couleur et symbolise la mort, le deuil. De plus, le noir et le blanc rappellent que Picasso a suivi les événements à travers la Presse. Les images qu’il a eu des bombardements étaient, elles-aussi, en noir et blanc. Picasso représente ses personnages à la fois de face et de profil. Il veut les

documentaire. La couverture rouge du livre est un élément intertextuel, qui fait référence au Petit Chaperon Rouge avec le loup noir, qui dévore le lapin (et le livre ?). De plus, le loup apparaît déguisé en « mère-grand » dans l’album. Les couleurs dominantes de l’album sont le rouge (qui rappelle la couleur du sang) et le noir (qui évoque la mort ou provoque la peur ?). Les illustrations de l’album alternent dessins, photographies (paillasson, le livre rouge déchiqueté) et collages. Le personnage

masque et regarde la scène. * Un homme mort suspendu par deux branches d’arbres, pendant au-dessus du nazi, il montre du doigt, la pile de cadavre. Au 2eme plan : * Un village détruit par des bombardements Au 3eme plan : -Un gros nuage noir Le peintre exprime ses sentiments de révolte face à la guerre et aux souffrances des hommes, en s’appuyant sur la réalité, mais aussi en la caricaturant. 2) LES JOUEUERS DE SKAT En général : -

production écrite, vous allez trouver ci-dessous une liste d'expressions pour exprimer la peur, la joie et la tristesse. Ainsi, vous ne rencontrerez plus de clichés entre vos lignes mais plutôt de nouvelles idées qui méritent d'être retenues!... I- Comment exprimer la peur ? La panique me prend- Je frissonnais de peur - J'étais horrifié. Mon cœur battait la chamade- J'avais la chair de poule - J'avais une peur bleue Mes cheveux se hérissaient- Je n'arrivais à me tenir sur mes pieds Aucun son ne