Peur(s) du noir

mouvement artistique qui a pour but de déformer la réalité visuelle ou sonore pour donner au spectateur ou a l'auditeur une sensation d'angoisse. Ce courant dans le domaine de la peinture se caractérise par des couleurs dominantes : le rouge et le noir, des traces de pinceau très marquées. Les personnages placés le plus souvent au premier plan attirent fortement l'attention. Analyse du tableau Ce tableau est une peinture a l' huile réalisée en 1893. Munch l' a représenté d'une cinquantaine de

la première guerre mondiale Thématique privilégiée Art, créations, cultures Art, espace, temps Arts, Etats et pouvoir Arts, mythes et religions Arts, techniques, expressions Arts, ruptures et continuités Type d’œuvre: photographie (noir-blanc) Date et lieu de création : photo prise lors de la première guerre mondiale a Verdun entre février 1916 et décembre 1916 sur la « Voie Sacrée » Dimensions: probablement à partir d'un négatif 4,5 x 5 cm compte tenu de l'époque Lieu de

jouaient au piquet. Mme Aldonza, une très vieille danseuse, aux jambes emmaillotées, souffrait de rhumatisme déformant, et portait de travers sa perruque d'un noir laqué. En face d'elle, et la dominant d'une tête et demi, la baronne de La Berche carrait d'inflexibles épaules de curé paysan, un grand visage que la vieillesse virilisait à faire peur. Elle n'était que poils dans les oreilles, buissons dans le nez et sur la lèvre, phalanges velues... »page 68 Cet extrait de description faite par Léa au

l’Amérique ? 2. Portrait de Christophe Colomb ainsi que sa biographie. Ce document est un portrait de Christophe Colomb. Sur cette photo il a le regard dur, les traits du visage sévère. Il a un chapeau noir avec un habille de navigateur noir au col blanc. Il est Génois d’origine, né en 1451. C’est un navigateur, formé par les Portugais. Il réalise son premier voyage en 1492, au service des rois catholiques d’Espagne, car son pays d’origine n’a pas voulu financer son

communes et tout le monde perd espoir. Le père Paneloux pense que c’est Dieu qui a envoyé le fléau. Seul Cottard est heureux pendant la peste et fait des trafics au marché noir. En janvier, la peste régresse Tarrou meurt chez Rieux et le père Paneloux meurt également. Grand cependant guérit mystérieusement. Après de solitude et de peur, les portes de la ville s’ouvrent enfin et la vie de tout le monde redevient comme avant. P318 la libération, « les portes s’ouvrent » Thèmes : -La révolte/la solidarité

s’élancer par bonds et me poursuivre à travers champs. Et, somme toute, ces abominables imaginations me faisaient payer bien cher mes dix sous mensuels. Mais, en dépit de la terreur que m’inspirait l’homme de mer à une jambe, j’avais beaucoup moins peur du capitaine en personne que tous les autres qui le connaissaient. À certains soirs, il buvait du grog beaucoup plus qu’il n’en pouvait supporter ; et ces jours-là il s’attardait parfois à chanter ses sinistres et farouches vieilles complaintes de

chant présente de façon anonyme la résistance, or ce sont des hommes et des femmes, de tous horizons politiques et religieux, qui n’ont pas hésité à sacrifier leur vie pour lutter contre l’occupant nazi Strophe 1 : « Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ? Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne ? Ohé, partisans, ouvriers et paysans, c'est l'alarme. Ce soir l'ennemi connaîtra le prix du sang et les larmes.» Rappel de la situation désespérée de la France

couverture du livre. En lisant le titre du livre et en regardant la couverture rouge de ce roman, on pourrait penser qu’il s’agit d’une histoire passionnelle peut être sentimentale et certainement tragique ou compliquée à cause de toutes ces courbes noires qui ont l’air de suivre un chemin difficile : loin de la ligne droite et simple. En fait, une couverture rouge pour le roman de J.D.Salinger est très bien pensée. Le choix de cette couleur n’est pas anodin car le rouge est une couleur vive souvent

s’extérioriser. L’angoisse et la peur nous rendent, la plupart du temps, sombre et maussade. La poésie permet de les manifester et d’y trouver éventuellement une raison ou un sens. Baudelaire s’en prend à un Dieu moqueur dans « les ténèbres » pendant que Paul Verlaine s’enferme dans sa dépression refusant toutes formes de réalité dans « l’angoisse » et que Victor Hugo vit l’apocalypse au travers de « Mors ». Les poètes jouent des sens et des contre-sens, nous montrant que la peur se lit et se ressent. L’angoisse

n'éblouit pas les yeux des Partisans Vous aviez vos portraits sur les murs de nos villes Noirs de barbe et de nuit hirsutes menaçants L'affiche qui semblait une tache de sang Parce qu'à prononcer vos noms sont difficiles Y cherchait un effet de peur sur les passants Nul ne semblait vous voir français de préférence Les gens allaient sans yeux pour vous le jour durant Mais à l'heure du couvre-feu des doigts errants Avaient écrit sous vos photos MORTS POUR LA FRANCE Et les mornes matins en étaient