Peut On Croire Au Progrès

un deuxième temps, ses faiblesses. Adhérer, ou ne pas adhérer, à une religion est un choix personnel qui implique une réflexion au niveau des avantages et des inconvénients. La religion peut apporter un réconfort quotidien aux plus démunis, ainsi qu'une raison de vivre ; et peut aussi servir de guide. Elle peut en effet aider les gens à faire leur deuil, à accepter plus facilement ce qui leur arrive ; leur apprend la résignation et les aide à passer à autre chose. Il est plus facile, lorsque l'on

mettant par écrits toutes leurs connaissances concernant les aspects sociaux, politiques, économiques, religieux et culturels. Les philosophes sont donc animés par leur considération pour le genre humain et par leur foi dans sa marche vers le progrès. Si l'on peut tout connaître, ne pourrait-on pas aussi transformer le monde selon sa volonté ? La recherche du bonheur individuel en rapport avec l'ordre social favorise le développement et le goût pour les écrits mythiques. Les esprits philosophiques

siècle. Sur quels principes les philosophes du XVIIIe siècle fondent-ils leur réflexion ? Le XVIIIe siècle marque un tournant dans l'histoire de la France et de l'Europe. Le XVIIIe siècle est l'époque de la remise en question, du progrès scientifique et de la découverte du monde. Les penseurs de ce temps ont laissé leurs empreintes dans l'histoire par leur engagement contre les oppressions religieuses, morales et politiques mais également en combattant l'irrationnel et l'obscurantisme

INTRODUCTION Dans les années 1950-1960, les villes de France voient apparaître de grands ensembles appelés communément des « cités ». A cette époque ces tours étaient un symbole de modernité et de progrès au niveau du confort de l’habitat mais aussi vecteur de promotion sociale A partir des années 70, la crise économique et l’intensification de l’immigration a transformé de façon durable le paysage des grands ensembles. Ils deviennent une concentration de difficultés sociales diverses : chômage

Ainsi, tout au long de votre paragraphe, vous ferez mine de comprendre le sujet à la manière de tel ou tel philosophe. Imaginons comment utiliser le texte de Merleau-Ponty donné dans l’exercice 2.1 de la séquence 2, p. 26, en fonction du sujet « Peut-on dire que la connaissance scientifique est la connaissance commune devenue plus rigoureuse ? ». Le plan de votre devoir serait :             I. Est-ce en rigueur que la science gagne sur le sens commun ?             II. La connaissance scientifique

Principales idées : - Sa méthode est le doute méthodique : douter de tout; notamment des sens qui sont trompeurs quelques fois, des savoirs établis (pouvant reposer sur des raisonnements pas véritablement assurés) et de la réalité du monde extérieur (peut être confondue avec le rêve). - Le cogito : « Je pense donc je suis », Je suis une chose qui pense. (Descartes s’impose de douter de tout, sauf qu’il doute, du fait qu’il doute, il pense et puisqu’il pense, il est.) - Dieu existe (L’idée en moi

toute religion répond en premier lieu à un sentiment de peur (peur de la nature, de la mort), qu’elle est favorisée par l’ignorance, et qu’elle se construit sur des valeurs qui conduisent à des pratiques cruelles et arbitraires qui entravent tout progrès dans le bien-être de l’humanité. La plupart des grandes religions ont été conçues à des époques qui ne disposaient pas des connaissances qui ont été acquises depuis lors. Certaines connaissances que l’on trouve par exemple dans le Bible (le lapin

écrit par Ellul, ce dernier dénonce qu’il est absurde de jugé positivement ou négativement un besoin techniquement nécessaire. Le texte d’Ellul est cependant paradoxal dans la mesure où il nous invite à dépasser ce préjugé en pensant justement qu’il peut être normal de juger une opération techniquement nécessaire. L’auteur soutient que le jugement d’une opération technique n’est pas normal, qu’il est absurde vu qu’il est nécessaire, obligatoire ; il s’agit pour Ellul de faire prendre conscience à

demander si l'histoire, considérée comme l'ensemble des évènements se déroulant dans le temps, répond à un devenir logique, ce qui fait l'objet du travail de l'histoire comme discipline. Le problème de ce sujet sera donc de savoir si l'esprit humain peut soumettre le cours des événements à une grille d'analyse logique, de façon à en traduire un ordre vraisemblable. Ce sujet recouvre ainsi un paradoxe selon lequel le mot même d'histoire désigne une totalité d'évènements qui possède déjà une unité :

nous assure la plus grande maîtrise technique qui soit car elle est comme « un instrument pour des instruments ». Elle est bien faite, bien agencée naturellement. Avec elle, on peut tout faire : on n'est pas limité comme les autres animaux. Elle est divisée en plusieurs parties, qui peuvent constituer un tout. On peut donc l'utiliser « comme une chose une, double ou multiple ». L'articulation des doigts nous permet de prendre, de presser. b.Nous sommes par nature des êtres capables de