Peut On Devenir Quelqu Un D Autre

Mes pensées m’appartiennent-elles ? Penser n’est autre qu’un ensemble de phénomènes produits par l’action de notre esprit. Employé dans un sens plus ou moins large, ce terme renvoie à toutes les manifestations de la conscience, quelle que soit leur nature, mais aussi à des phénomènes de connaissance, par opposition aux sentiments et aux volontés. Seulement voilà, que traduisent ces pensées ? Les ressent-on assez pour les considérer en notre propre possession ? Elles sont en réalité implantées

jeunesse (période ~399 - ~390), le Protagoras met en présence Socrate et l'un des plus célèbres Sophistes grecs. La discussion porte notamment sur la possibilité d'enseigner la vertu. Protagoras affirmera qu'elle n'est pas une science, mais qu'on peut l'enseigner; Socrate, à l'inverse, soutiendra qu'elle est une science, mais qu'elle ne s'enseigne pas. Cette rencontre entre Socrate et Protagoras pourrait avoir eu lieu vers ~430. Le dialogue renferme cependant des allusion à des événements postérieurs

SUJET : « Le désir peut-il se satisfaire de la réalité ? » Selon Hobbes, «L’objet du désir d’un humain n’est pas de jouir une fois seulement, et pendant un instant, mais de ménager pour toujours la voie de son désir futur». Le désir pourrait se définir comme l'ensemble des phénomènes qui m'obstine à vouloir posséder un objet en vue d'en tirer un plein plaisir. Dans cette problématique on voit apparaître le doute avec, «peut-il», exprimant la possibilité éventuelle que le désir se satisfasse de

philosophiques, en essayant de méditer le sens du monde. Ces gens ont essayé de formuler une certaine façon de percevoir le monde et l’homme. Le terme philosophie est un terme grec : phileo aimer, avoir une certaine passion envers quelqu’un ou quelque chose et sophia sagesse. Le sens de la philosophie n’est pas seulement une certaine façon d’intelliger le monde, mais c’est aussi une passion de la vérité. Il y a un affect fondamental qui fait que je cherche en chaque instant la vérité. Etre ami

n’invite pas pour autant à se délivrer de toute conscience. Car, si l’être de celle-ci est une illusion, son devenir ne l’est pas. Dépourvue de sens comme nature, elle en possède un comme action. Comme Descartes, Hegel s’accorde à reconnaître une importance au moi. Celui-ci pose l’homme et l’homme se pose par lui. Toutefois, si ce moi est par un biais celui d’une conscience réfléchissante, par un autre, il véhicule une passion d’être unique et, donc, d’absorber ou d’exclure tout ce qui n’est pas lui. Aussi

réalité. Et comment peut on interpréter que c'est une réalité quand cela ne sort pas directement de la nature et qu'aucune preuve ne peut être fondé. Les œuvres d'art sont elles des réalités comme les autres? Les œuvres d'art sont des créations sur divers supports et par diverses méthodes. elles peuvent être des imitations, des réinterprétations de la réalité mais aussi elles peuvent ne pas du tout s'en inspirer. Une réalité est une certitude, une exactitude, une vérité , quelques choses que est hotter

l'auteur, l'homme n'est pas un objet, il est surtout un sujet. C'est-à-dire que l'homme est un être doué de pensé, qui n'est, d'après Alain, que conscience, plus forte que le corps et qui doit le soumettre à sa pensé. Dans son texte, Alain emet une autre théorie qu est contraire à la théorie de Freud. Freud prétend dans thèse qu'il y a un Moi conscient et un Moi inconscient, alors que dans sa théorie, Alain prétend quand à lui qu'il n'y a qu'un seul Moi, c'est-à-dire que nous sommes maître de nous

pour être conscient de soi. Pourtant, la conscience ne peut se réfléchir sans être contrainte de réfléchir cette réflexion et ainsi de suite à l’infini. Dès lors, ne faut-il pas qu’autrui puisse me permettre de prendre conscience de moi ? Tel est le problème que résout Sartre dans cet extrait de L’être et le néant. Le philosophe y défend la thèse qu’autrui par son regard rend possible que j’ai un être, une nature dont je prends conscience. Ne peut-on pas plutôt penser qu’autrui me permet d’être conscient

musique Whiplash de Hank Levy. Ce long métrage suit le parcours de Andrew Neiman, un joueur de batterie qui est en première année à l’école Shaffer Conservatory à New York : le meilleur conservatoire de musique de tous les états unis. Son rêve est de devenir l’un des meilleurs batteurs du monde. Heureusement pour lui, le chef d’orchestre et professeur de musique Terence Fletcher repère son talent et l’autorise à rejoindre son orchestre. Cependant, Fletcher est extrêmement exigeant en matière de musique

est plus simple d’écouter la voie des passions que celle de la raison. C’est pourquoi il est dit communément que l’homme est un être de désir. Ainsi, le désir est souvent perçu comme quelque chose de négatif, fondamentalement lié au manque que l’homme aurait de quelque chose. Or dans ce texte, "Le désir porte sur un autre désir", Alexandre Kojève veut montrer que le désir n’est en aucun cas lié à un manque, et qu’au contraire c’est par le désir que l’homme est amené à prendre conscience de soi. Le désir