Peut On Définir Le Beau

à l’époque classique, le dictionnaire philosophique de Lalande donne t-il comme définition de l’art ; «  L’art où les arts désignent toute production de beauté par les œuvres d’un être conscient. »L’art sera également défini comme la création d’œuvre qui cherche à manifester le beau  et c’est en effet l’opinion de la doxa. Des hommes sont capable d’exprimer et de communiquer des sentiments à travers l’art (chant, peinture, sculpture,…) ces hommes sont appelés artiste. Mais qu’est-ce qu’un artiste 

La poésie est un genre littéraire qui se défini notamment par un travail particulier apporté sur les mots. En effet le langage poétique transforme en quelque sorte la langue, qui n'est plus un élémentaire moyen de communication mais devient un outil pour transmettre des émotions, des sentiments, une nouvelle vision des choses. Ainsi, comme le dit Eugène Guillevic, « Nous liquiderons la peur/ de la nuit/ Nous ferrons du jour plus tendre » et ceci par le pouvoir des mots qui permettront donc de rendre

un souci de présentation. Dans le langage courant, on dirait aisément, pour définir la cuisine, l’art d’accommoder, de préparer les mets. Toutefois cela pourrait relever d’une conception simpliste de l’art, car l’art est certainement une tout autre chose. On pourrait alors se pencher sur la valeur artistique de la cuisine, se demander où est la frontière entre l’art et une pratique artisanale. A quel moment la cuisine peut-elle être un art ? L’art renvoie à une technique ou un ensemble de techniques

corrigé : Introduction : Nous nous demanderons si l’art peut se passer de maîtrise technique et par conséquent, en quoi consiste la nature de la création artistique. Dans le cadre de notre étude, nous nous interrogerons sur l’opposition entre l’artiste, créateur libre, a priori désintéressé, cherchant exclusivement la beauté et le technicien assimilé à l’artisan ou à l’ouvrier qui produit divers objets ayant des buts bien définis, des objets de consommation, utilitaires qui supposent une certaine

Supervielle Introduction : Hommage à la vie est un poème de 40 vers de 6 syllabes en une seule strophe. Il est structuré par l’anaphore de l’expression « c’est beau », ligne 1, qui ouvre le texte et est reprise au vers 25, et par la récurrence d’infinitifs précédés de « de ». Le poème est ainsi entièrement construit sur le jugement « c’est beau », suivi d’une longue énumération d’éléments coordonnés par « et ». La même idée se formule donc en une multitude de variations, même structure mais domaines

L’art est-il moins nécessaire que la science ? Tout d’abord, il est important de définir ce que l’on entend par le mot « nécessité ». Il y a différents points de vue, d’une part la nécessité commune à chaque être vivant, une nécessité vitale qui existe dans le but de « survivre ». Et d’un autre coté une nécessité spirituelle qui elle est beaucoup plus personnelle, ce que chacun a besoin pour se sentir heureux, définir un sens à sa vie. A travers ce sujet, il s’agit alors de démontrer quelle nécessité

autrement, l’imitation du vrai, ne peut en aucune manière s'assimiler au vrai. Pour le second, l’art est le lieu de la révélation de la vérité ; elle est une imitation, mais une imitation vraie. Imiter, nous dit-il, est naturel aux hommes. Pour le troisième ─ même s’il pense que l’objet esthétique est un « exemplaire » et non une imitation ─ l’imitation est, selon lui, tout à fait possible dans l’art mais seulement à partir du maintien de la différence ; car il ne peut y avoir de confusion entre le modèle

L'ART Introduction : L'usage restreint du terme « art » ,pour désigné le domaine artistique est très récent. Jusqu'au 18ème siècle, le terme « art » est pris au sens de technique. Pour distinguer l'« art », de la « technique », on peut utiliser le terme de « beaux arts » Les artistes ne sont pas d'accord parce qu'on les rangent du côté des techniciens (manuel) Eux voudraient être classé dans les arts libéraux (intellectuel = plus reluisant) Il y a une différence entre un artiste et un artisan

représentation qui lui correspond, chacun aurait face à une œuvre un sentiment différent. Pouvons-nous alors démontrer qu’une œuvre d’art est belle ? Pouvons-nous lui transmettre objectivement et de façon raisonnée une appréciation aussi subjective que le beau, une appréciation qui ne répond pas à des données scientifiques mais à un ensemble de ressentis ? Quelles en seraient les conséquences pour autrui, qui est à la fois notre égal, notre alter ego, mais aussi et avant tout un autre, une personne différente

On se remémore Aragon et ses « Strophes pour se souvenir », on ressent « Le mal » dans les Poésies de Rimbaud, on ne peut oublier Vian qui pleure et chante dans « À tous les enfants », on se souvient de Desnos et de « Ce cœur qui haïssait la guerre »… depuis sa création et surtout à partir des XIXe et XXe siècles, la poésie se trouve une mission. De grands événements de l’Histoire ont incité de nombreux poètes à se servir de leur plume pour témoigner, rassembler ou dénoncer, suite au devoir de l’engagement