Peut On Désirer être Immortel

Ainsi l'âme, immortelle et plusieurs fois renaissante, ayant contemplé toutes choses, et sur la terre et dans l'Hadès, ne peut manquer d'avoir tout appris. Il n'est donc pas surprenant qu'elle ait, sur la vertu et sur le reste, des souvenirs de ce qu'elle en a su précédemment. La nature entière étant homogène et l'âme ayant tout appris, rien n'empêche qu'un seul ressouvenir (c'est ce que les hommes appellent savoir) lui fasse retrouver tous les autres, si l'on est courageux et tenace

grottes profondes, desirait qu’il devînt son époux. Mais lorsque dans le cours des années arriva le temps marqué par les dieux pour son retour dans Ithaque, où ce héros, quoiqu’au milieu de ses amis, devait rencontrer d’inévitables dangers, tous les immortels prirent pitié de lui, hors Poséidon ; il resta toujours courroucé contre le divin Ulysse, jusqu’à ce que ce héros parvint dans sa patrie. Cependant Poséidon s’était rendu chez les Éthiopiens, habitant des terres lointaines, les Éthiopiens qui, placés

lui dit que les dieux lui ont envoyé un ami. Il formera avec lui un attelage irrésistible. Un jour, un chasseur apprend à Gilgamesh, qu’une force puissante qui lui ressemble existe. Gilgamesh comprend que c’est l’homme annoncé dans ses songes. Le désir de s’affronter d’abattre cette puissance arrive à Gilgamesh, qui décide de monter un plan. Chapitre 3 : Gilgamesh envoie dans la steppe Ishtar chargée de séduire Enkikou, afin de lui faire perdre sa force sauvage. Le plan réussit, Enkidou découvre

n'est pas non plus un dieu, Diotime et Socrate en conviennent. Les dieux sont beaux et heureux, Socrate ne le nie pas. Diotime définit le bonheur comme le fait de posséder des choses bonnes et belles. Si l'Amour désire ces choses, il en a besoin et ne les a pas. Il ne peut donc pas être un dieu puisqu'il ne possède pas de choses bonnes et belles. Socrate lui demande alors ce qu'il est, ce à quoi elle répond qu'il est entre le mortel et l'immortel, un esprit. L'amour est un messager entre les moyens

Médée, corneille, acte 1 scene 4 Souverains protecteurs des lois de l'hyménée (1), Dieux garants de la foi que Jason m'a donnée, Vous qu'il prit à témoin d'une immortelle ardeur (2) Quand par un faux serment il vainquit ma pudeur, Voyez de quel mépris vous traite son parjure, Et m'aidez à venger cette commune injure : S'il me peut aujourd’hui chasser impunément (3), Vous êtes sans pouvoir ou sans ressentiment. Et vous, troupe savante en noires barbaries, Filles de l'Achéron (4), pestes

gestes (atteler, dételer les mules, manier le fouet, conduire le char, piétiner le linge, courir après un ballon, se disperser en criant, revenir en se transmettant un ordre, ) les regards (vision horrible de l’homme nu, puis regard d’admiration et de désir vers l’homme « brillant de grâce ») l’ouïe (des rires, des cris, la voix douce et suave, le bruit des sabots des mules (82) le flot tourbillonnant du fleuve, les vagues sur les galets) le toucher : peau encrassée, linge sale, eau fraîche et claire

Le désir peut-il se satisfaire de la réalité ? La réponse à la question posée semble immédiatement négative. En effet, le désir naît d’abord d’une insatisfaction face à la réalité et rencontre cette dernière bien souvent comme obstacle. Nous désirons ainsi avant tout ce qui nous manque, ce que nous ne possédons pas et c’est d’ailleurs généralement cet écart entre ce que nous offre la réalité et nos aspirations qui est source de malheur. Mieux encore, le désir semble n’exister que par son insatisfaction

1) Le choix du thème de la mort 2) Le choix des poèmes c) Biographie des auteurs d) Analyse des trois poèmes et comparaison 1) Le Mal d’Arthur Rimbaud 2) Je n’ai plus que les os de Pierre Ronsard 3) Mémoire immortelles de Rhita Benjelloun 4) Comparaison des trois Poèmes Conclusion II) Deuxième Thème : L’amour a) Présentation des textes b) Justification du choix 1) Le choix du Thème de L’amour

Est-il absurde de désirer l’impossible ? Analyse du sujet : Il ne s’agissait pas de se précipiter pour restituer son cours sur le désir, en partant du fait que l’on désir ce qui nous manque etc. On peut partir ici d’un constat simple : L’impossible est ce qui ne peut pas être, on le distingue alors de ce qui est possible c’està-dire de ce qui peut être, même si cela n’est pas encore. Il est possible qu’il pleuve, c’està-dire qu’il n’y a aucune contradiction à ce qu’il pleuve demain. Mais par contre

d’esprit, même si leurs définitions respectives varient selon la conception de la réalité où elles prennent place, sont corrélatives l’une de l’autre, en effet elles se définissent le plus souvent l’une par opposition à l’autre: l'âme est immaterielle, immortelle, pensante et libre, elle est une substance spirituelle appartenant au monde intelligible alors que le corps physique, processus ou substance matérielle dénuée d'intériorité est présente dans le monde sensible est devient par conséquent mortelle