Peut On Fonder La Morale Sur La Recherche Du Bonheur

et les atrocités. Dans ses pérégrinations, il est accompagné de son valet, Cacambo, de Martin le manichéen et du philosophe Pangloss. Des escales émaillées de rencontres fortuites enrichissent ses rapports avec l’homme. Il parcourt le monde à la recherche de l’amour perdu, Cunégonde. Un jour, on l’annonce ici, déception, elle n’est plus là. Le lendemain, on l’annonce ailleurs. L’espoir s’accordant avec désolation, Candide optimise à de prochaines retrouvailles. Constantinople, fin du voyage, Cunégonde

tâche à se tromper, en se repaissant de fausses imaginations ; car tout le plaisir qui en revient, ne peut toucher que la superficie de l’âme, laquelle sent cependant une amertume intérieure, en s’apercevant qu’ils sont faux. INTRODUCTION Faut-il préférer une vérité qui dérange à une illusion qui réconforte ? Faut-il apprendre à se satisfaire de ce qu’on a ? Y a-t-il d’autre chemin vers le bonheur que l’exigence de perfection ? Telles sont quelques-unes des questions, plus ou moins paradoxales

BONHEUR et CONNAISSANCE DE SOI (notion liée : la liberté) Questions sur le corpus de textes de SCHOPENHAUER (+ texte de Bergson ) 1/ Quelles sont, selon Schopenhauer les trois éléments constitutifs du bonheur et pourquoi le premier est-il le plus important ?2/ Pourquoi selon Schopenhauer est-il indispensable de chercher à se connaître pour être heureux ?3/ Pour Schopenhauer, peut-on changer délibérément ce

BONHEUR et CONNAISSANCE DE SOI (notion liée : la liberté) Questions sur le corpus de textes de SCHOPENHAUER (+ texte de Bergson ) 1/ Quelles sont, selon Schopenhauer les trois éléments constitutifs du bonheur et pourquoi le premier est-il le plus important ?2/ Pourquoi selon Schopenhauer est-il indispensable de chercher à se connaître pour être heureux ?3/ Pour Schopenhauer, peut-on changer délibérément ce

afflictions. > Ce ne peut être que par la connaissance de l’h et de ses mœurs, c à d de sa nature profonde et de sa conduite. > Pascal : ramener l’h à la connaissance de soi. - Déf de l’honnête homme : Homme sociable par excellence => valeurs de courtoisie, de civilité, d’urbanité, de politesse. L’Honnête homme ou l’Art de plaire à la cour Nicolas Faret (1630). XVIIe siècle : dvpmt de la vie mondaine. Plaire : objets de ttes les actions de l’honnête homme. Valeurs morales pour valeur sociale

Rousseau [22] La conscience morale est naturelle, innée et universelle et ses actes sont des sentiments. Critique du relativisme sceptique de Montaigne. « Jetez les yeux sur toutes les nations du monde, parcourez toutes les histoires. Parmi tant de cultes inhumains et bizarres, parmi cette prodigieuse diversité de mœurs et de caractères, vous trouverez partout les mêmes idées de justice et d’honnêteté, partout les mêmes notions de bien et de mal. L’ancien paganisme enfanta des dieux abominables

décorations le style – très important (art de conversation, culture, les moeurs,…); salons/clubs littéraires; impressioner les autres (loquacité) le philosophe (pas dans le sens antique) pose des questions pratiques; veut améliorer le société, achever le bonheur le prestige – salons littéraires (pour les dames) et clubs littériares (pour les messieurs – idées politiques, commerciales,…); les individus intellectuels; la masse de connaissance XVIII siècle le vrai début du siècle: a) la révocation de l'Édit

est le premier grand philosophe à donner un enseignement universitaire régulier. Ses cours, tout comme ses publications à cette période, sont très diversifiés : mathématiques, physique, apprises chez Newton, théorie des fortifications, pyrotechnie, morale chez Rousseau, Shaftesbury, Hutcheson et Hume, et encyclopédie philosophique. À partir de 1760, ses cours ont pour nouveaux objets la théologie naturelle, l'anthropologie, et surtout la critique des « preuves de l'existence de Dieu » ainsi que

spirituel, comme découverte d’un bonheur sans angoisse ni vertige, « à ceux qui le cherchent de tout leur cœur ». Résumés des sections du livre a. Pensées sur l'esprit et sur le style Pascal distingue les esprits logiciens dont les géomètres, pour qui tout doit être clair et suivant un ordre rigoureux, des esprits intuitifs, qui se laissent guider par leur spontanéité. La pensée de chaque individu dépend de ses principes, de ses habitudes, puisque « naturellement l’homme ne peut tout voir » ([401], Pensée 9)

préalablement pensés. D’un autre côté nous avons vu que cette opposition entre la nature (comme ce qui existe et se développe indépendamment de l’intervention humaine) et la culture (ce que les hommes transforment en eux-mêmes et en dehors d’eux-mêmes) peut paraître arbitraire dans la mesure où elle revient à supposer que l’homme ne fait pas partie de la nature, alors que, comme espèce, il est apparu en elle suivant un processus semblable à celui qui y a fait apparaître les autres êtres naturels, et que