Peut On Justifier La Vengeance N

SON ALTESSE SÉRÉNISSIME MADAME LA DUCHESSE DU MAINE Madame, Vous avez vu passer ce siècle admirable, à la gloire duquel vous avez tant contribué par votre goût et par vos exemples ; ce siècle qui sert de modèle au nôtre en tant de choses, et peut-être de reproche, comme il en servira à tous les âges. C’est dans ces temps illustres que les Coudé, vos aïeux1, couverts de tant de lauriers, cultivaient et encourageaient les arts ; où un Bossuet immortalisait les héros, et instruisait les rois

est considérée comme la fille de Zeus exclusivement. Donc elle n’a jamais eu de mère. Elle ne sera jamais mariée et n’aura pas d’enfants. Elle tient une place élevée parmi les dieux de l’Olympe. Elle est la préférée de Zeus et il ne peut rien lui refuser. Elle peut lancer la foudre et le tonnerre tout comme Zeus. Déesse de la cité (Athènes) et de la sagesse elle a comme emblème la chouette et l’olivier. Athéna est une déesse protectrice des héros tel qu’Ulysse et Télémaque. Elle protège les travailleurs

sans toutefois devoir se soucier de toutes les angoisses du pouvoir. Le Garde vient alors informer le roi de la violation de son décret, sans toutefois connaître l'identité du coupable. Le Coryphée suggère à celui-ci que son interdiction était peut-être excessive (« Cette affaire-là pourrait bien être envoyée par les dieux »). Créon se fâche et lui ordonne le silence. Le Garde, lui, est accusé d'être complice de l'auteur du forfait rapporté, de cacher son identité, et cela « pour de l'argent

les uns que les autres ; des personnages caricaturaux (don Guritan, la duchesse d’Albuquerque, la duègne et un valet) qui apporte une note comique. • Intrigue : don Salluste, grand d’Espagne et homme de pouvoir, médite dans l’ombre une terrible vengeance contre la reine qui l’ disgracié. Après avoir surpris les confidences amoureuses de Ruy Blas à son ami Zafari (alias Don César de Bazan) et s’être débarrassé de celui-ci en le faisant vendre aux barbaresques, il imagine de donner, tout en

je l'ignore et je n'ai point la vaine curiosité d'éclaircir des questions inutiles. » Il confirme par la suite ses propos précédents : « Que m'importe ce que deviendront les méchants? Je prends peu d'interêt à leur sort. » Par ces deux citations on peut d'ores et déjà prouver ce rejet que Rousseau éprouve envers les « méchants ». ( Jean-Jacques Rousseau laisse à penser qu'il eut été victime de méchancetés? ). L'auteur poursuit sa thèse en ayant un doute sur les punitions que devraient subir les «

curieuse coïncidences : au moment où se réouvrait avec force incidents d'audience le procès des terroristes d'Action directe, la télévision passait "Le Juge Rives", téléfilm précisément consacré aux crimes et à l'arrestation des dits terroristes. On peut d’ailleurs signaler qu’au moment où l’un des condamnés d’Action directe, Rouillan, mis au bénéfice d’une semi-liberté, se laissait aller à des déclarations pour le moins ambiguës et réintégrait sa prison, d’aucuns y voyaient une atteinte insupportable

» « S’écria » (Italique + exclamation)Ligne 8-9· La dimension tragique atteint son apogée avec l’épée,· Epée= symbolise l’honneur de la vengeance et la mort.· Le complément du nom « du Moyen-Age » dans « vieille épée du Moyen-Age » souligne la connotation chevaleresque héroïque du geste de Julien « Vielle » et « conservée dans la bibliothèque »

faire y règne absolument. » (v. 192- 193). En effet, la passion que lui porte Angélique l’accable : « ce n’est qu’en m’aimant trop qu’elle me fait mourir » (v 195-196). Il convient alors de se questionner sur la nature de cette souffrance. Alidor justifie son malheur par la volonté d’être « libre au milieu de ses fers » (v. 213). Comparant les liens de l’amour à une prison, il craint d’être menacé dans la liberté à laquelle il aspire. Cette considération de l’amour n’est pas propre à sa seule relation

peuple a peur que si les prussiens arrivent et qu'ils ouvrent les prisons, les prisonniers se rallieront à eux). Robespierre, le 5 novembre), peut après, répond à un député Girondins qui s'inquiète de ces massacres : "On assure qu'un innocent a périt, [...] citoyens, pleurez cette méprise cruelle [...] pleurez mm les victimes coupables, réservées à la vengeance des lois [...] mais que votre douleur ait un terme comme toute .... pleurer 100 000 patriotes immolés par la tyranie (la monarchie bien sûr)

premier temps l’importance des aveux sera étudiée, par la suite l’importance du hors-scène et enfin l’interaction des deux. * En effet, tous les aveux dans la pièce n’ont pas la même importance et sont différents, à partir de leur observation on peut ainsi donc les graduer, l’aveu de Phèdre à Hippolyte est évidemment le plus important, il y a ensuite celui d’Hippolyte à Aricie puis enfin l’aveu de Phèdre à Thésée. Après l’annonce de la mort de son époux, Phèdre rencontre Hippolyte pour l’entretenir