Peut On Maîtriser Le Progrès Technique

l'Entreprise doit - fabriquer des produits, créer des ouvrages, offrir des services (produits, ouvrages, services souvent conçus par elle) - les vendre - prospérer (au minimum survivre) en conciliant au mieux les aspirations des hommes et les contraintes techniques et économiques, c'est-à-dire en créant de bonnes conditions de travail. 1-3 Buts : Pour remplir la mission qu'elle s'est assignée, l'Entreprise se fixe des buts ou objectifs. Ils sont exprimés et précisés par les directives de la Direction générale

bonne », lui attribue une valeur. Or, « ce qui est » ne peut-il encore être une croyance ? Affirmer l’objectivité des connaissances n’est-ce pas encore un objet de croyance ? Définir la notion de « croyance » : 1) simple opinion (croire que) : le fait de juger, donner une valeur, etc. 2) Foi (croire en) : surplomber la simple description par une entité qui lui donnerai une valeur. Ex : Dieu. Si nous pensons ordinairement que le progrès des sciences a repoussé les frontières de la foi, qu’en

capitaliste. Avec la multiplication des plans de sauvetage publics et des mises sous tutelle des grands établissements financiers, on peut se demande si les principes libéraux se suffisent à eux-même, si le marché peut amortir les déséquilibres sans l’aide de « la main invisible de l’État ». En définitive la question est de savoir dans quel mesure la croissance peut –elle être juste, c’est à dire profitable au maximum de personnes possible. La croissance économique est un phénomène durable que l’on

Travail écrit N°7 Sujet : c’est une utopie de croire que l’on peut maîtriser la nature. Thèse : On ne peut pas maîtriser la nature Antithèse : On peut maîtriser la nature Introduction : Pourquoi est-ce si important de comprendre la nature ? L’étymologie du mot « nature » est bien plus vague que l’on ne pense. Parfois la nature fait bien les choses, parfois non, c’est la raison pour laquelle l’homme préfère essayer de prendre de l’avance sur la nature mais cela est-il facile d’avoir prise

* progrès : Evolution de l'humanité ou de la civilisation vers un état supérieur. Au sens strict, ce mot implique une amélioration, un perfectionnement. * art : 1) Au sens ancien, tout savoir-faire humain, toute pratique produisant un résultat non naturel (artificiel). 2) Au sens esthétique moderne, production ou création d'oeuvres destinées à plaire (beaux-arts), c'est-à-dire à susciter par leur aspect, une appréciation esthétique positive. L'art progresse en utilisant de nouvelles

horreurs humaines les plus frappantes : la science et le progrès sont mis au service d'idéologies comme le nazisme ou le stalinisme. Par ailleurs, le monde capitaliste fondé sur la surexploitation des ressources terrestres et des animaux déshumanise l'humain et détruit la planète. Ainsi, aujourd'hui, l'une des questions majeures est de savoir si l'humain n'a pas franchi les limites de l'acceptable, s'il n'y a pas un frein à mettre, si le progrès humain ne conduit pas, 7nalement, à la perte de l'humanité

d’une activité humaine, d’une intervention de la technique. Comment distinguer le naturel de l’artificiel ? Les traces de cette artificialisation sont devenues indiscernables. D’autre part, si la technique introduit des choses que la nature n’aurait pas produites elle-même, objets de nos innovations, ce quelque chose de nouveau apporte avec lui la nouveauté de son propre avenir naturel. La nature, en un sens, est enrichie par tout ce que la technique met en circulation dans le monde. […] Combien

Le travail et la technique Le travail sera d’abord une nécessiter vital s’imposant à l’Homme, il faut travailler pour survivre. D’ailleurs celui qui n’a pas de travail tombe souvent dans le désespoir. Le travail consiste donc à fournir un effort afin de gagner sa survie et de subvenir à ses besoins. Le problème est qu’il s’agit de survivre en souffrant car le mot travail renvoi au latin «  tripalium » qui signifie instrument de torture. Comment est-il donc possible de chercher à survivre tout

et préjudiciable, c’est un vaste sujet et ses origines sont nombreuses .Mais pouvons nous affirmer que le mal est l’œuvre de l’Homme ? Le mal est l’œuvre de l’Homme. Grâce aux progrès des techniques et leur lien de plus en plus étroit avec les sciences, l'homme occupe une nouvelle place dans l'univers. Sa maîtrise de la nature toute entière lui accorde une position surplombante par rapport à la terre elle-même. L’homme ne serait –il donc pas le principal coupable de certaines catastrophes

Dire qu'il existe une « culture technique» au sens où il existe une culture littéraire ou musicale c'est parler improprement. En effet, la culture au sens classique d'humanitas désigne l'effort et le résultat de l'effort par lequel un individu réalise ses ressources latentes. A ce titre, l'homme cultivé diffère du rustre mais tout autant du pédant et du spécialiste : ce sont les savoirs et les moeurs propices à satisfaire les aspirations les plus radicales de l'homme en tant qu'homme qu'il a assimilés