Peut On Ne Pas être Soi Même

Le bonheur est-il dans tous les plaisirs? On peut considérer le bonheur comme étant la quête de toute une vie. L'homme est toujours à la "recherche du bonheur" et de plaisirs, ce qui montre l'attitude active de l'homme à vouloir trouver le but de sa vie. En effet, le bonheur est un état de pleinitude totale, cet état de satifaction durable, de consentement du corps, du coeur et de l'esprit. On associe souvent le bonheur au plaisir car ils sont perçus comme étant complémentaires. Mais le plaisir

conditionnement social et culturel ? «L'homme est-il un être d'artifices ?» Nous verrons tout d’abord la manière dont la culture nous conditionne, avant de montrer que nous sommes aussi produits d’un dépassement de ce conditionnement initial ; enfin, si nous sommes des êtres en devenir, peut-on nous enfermer dans le cadre étroit d’un déterminisme culturel ? 1/ Nous sommes des êtres artificiels, définis par notre culture, dans la mesure où notre être n’apparaît qu’au sein d’une société qui nous forme

revendiqué la responsabilité morale de l’homme à l’égard de ses agissements. Etre responsable c’est en effet pouvoir répondre de soi, être le sujet libre de son action. Or l’homme étant par nature un être libre, ses actes ne peuvent s’expliquer par une contrainte extérieure et intérieure, mais relèvent de son initiative. Pourtant si l’homme peut maîtriser ses passions puisqu’il en est conscient peut-il en revanche être responsable de ce dont il n’a pas conscience ? L’hypothèse de la psychologie

dedans, de lui-même est animé, puisque c'est en cela même que consiste la nature de l'âme >(Platon). Aristote, après Platon, considère l'âme comme réalisation de la vie. En effet, pour lui, tout vivant possède une âme (anima) qui anime le corps. L'être vivant serait donc celui qui est animé de l'intérieur et peut être défini comme ce qui possède la propriété d'être en vie. Par conséquent, il est fondamental de définir la vie pour pouvoir définir le vivant. Toutefois, même s'il peut être aisé de considérer

Peut-on penser par soi-même ? Introduction : La vie offre de larges domaines où la pensée semble s'exercer, cependant on peut se demander s'il ne s'agit pas d'une autonomie illusoire. Ainsi nous allons disserter sur le problème suivant, est-il juste de dire que l'homme peut penser par lui-même ? Il existe de nombreuses définitions du fait de penser. Pour certain la faculté de penser se résumerait par le mot sentir, regroupant les sensations, les souvenir et les désirs. Mais pour d'autres

questions, de Dieu et de l’âme, étaient les principales de celles qui doivent plutôt être démontrées par les raisons de la philosophie que de la théologie : car bien qu’il nous suffise, à nous autres qui sommes fidèles, de croire par la foi qu’il y a un Dieu, et que l’âme humaine ne meurt point avec le corps ; certainement il ne semble pas possible de pouvoir jamais persuader aux infidèles aucune religion, ni quasi même aucune vertu morale, si premièrement on ne leur prouve ces deux choses par raison

exactement d’après nature et dans toute sa vérité. » Rousseau prétend alors être le seul autobiographe sincère. Il sous entend que les autres auteurs mentent, ne disent pas la vérité. Pourtant, toute personne usant de l’écriture autobiographique se présente comme sincère. Rousseau affirme-t-il cela par orgueil, pour se distinguer ? Peut-être, mais toujours est-il qu’il n’est pas le seul à sous entendre cela. En effet, Michel Leiris va même jusqu’à dire : « Je me montre mais c’est pour mieux me cacher ». Nous

SUJET : Peut-on prendre conscience de soi tout seul ? Intro Peut-on prendre conscience de soi uniquement tout seul ? Si le « soi » désigne la personne et est ainsi unique, peut-on en prendre conscience uniquement dans la solitude ? N’avons-nous pas besoin du monde extérieur pour prendre conscience de ce que nous sommes vraiment ? La conscience se définit, au sens général, comme la perception chez l'homme de sa propre existence et du monde qui l'entoure. Elle est aussi définie comme la faculté

l’origine et les fondements de l’inégalité des hommes, la différence entre l’homme est l’animal est la perfectibilité de l’homme. Perfectibilité : aptitude humaine à tout devenir, le pire comme le meilleur. « nous pouvons devenir plus bas que la bête même ». Un animal est déjà quelque chose à sa naissance, il a donc des qualités (au sens caractéristiques) inscrites dans son corps La thèse de Rousseau est qu’au contraire, un homme n’est rien si ce n’est l’aptitude à tout devenir (on ne sait pas ce

Peut-on refuser le réel ? Je rêvais… J’avais cette illusion d’être invincible, tellement forte que cela semblait être réel ; jusqu’au jour où j’ai eu le rhume. Jorge Luis Borges a dit « Personne ne peut savoir si le monde est fantastique ou réel, et non plus s'il existe une différence entre rêver et vivre. » La réalité c’est le caractère de ce qui a une existence concrète, par opposition aux apparences, aux illusions ou aux fictions de notre imagination. C’est l’ensemble des choses et des faits