Peut On Obéir

langage suit logiquement. On veut associer ces idées, ces différentes notions à des mots pour que tous puissent parler de la même chose. Avec la création d’un langage, vient naturellement le raisonnement, car comme on reconnait différentes formes, on peut les associer à d’autres. Par exemple, si tous les chats sont des mammifères, tous les mammifères sont vivants, alors tous les chats sont vivants. En effectuant plusieurs raisonnements de la sorte, on crée une banque de donnée que la mémoire retient

A) Les différents critières possibles comme fondement à la règle de droit Règle de D : besoin de sécurité (ce qu’on peut faire ou non) besoin de justice (droit juste) Rousseau (1755) instauration de la propriété , vient remedier a 1 état peu satisfaisant , assoir sa propriété I , gagner en sécurité & paix ( droit de propriété) une norme doit être juste ? -> P du D à D naturel / idéaliste : la règle de droit à son fondement dans la justice à Positivisme : le droit doit e séparé de la morale

fatalement. En outre le terme « n’importe quoi » reste ici flou. Il souligne l’incohérence d’un acte ou d’une pensée : l’irrationnel. Cela nous renvoie à tout ce que l’on peut faire de bien ou de mal, c’est à dire faire ce que l’on veut sans aucune contrainte. Mais si faire n’importe quoi renvoie à faire ce que l’on veut, il peut s’agir aussi de ce que l’on ne maîtrise pas comme les pulsions inconscientes (la respiration, les battements du cœur. Donc, comment un « être de raison », comme Aristote

Obéir, c’est consentir à se plier à la volonté d’autrui, comme l’enfant obéit à un parent, le sujet au seigneur, l’individu à la loi. Cela semble donc indiquer qu’il y a dans toute forme d’organisation sociale des rapports d’autorité, que l’établissement de cette autorité soit consenti par les divers partis ou tacite. Bien qu’il soit écrit ici « par les divers partis », l’obéissance consisterait plutôt en réalité en l’acceptation de l’autorité par celui qui est en position de subordonné. En effet

des lois, dans l'irrespect du voisin, de son concitoyen. On ne peut pas simplement dire: "Je n'aime pas cette loi-là." Il y a une question de vie en société qui est maintenant au cœur du débat.» L'utilisation de moyens illégaux afin de demander la modification d'une loi qu'on juge injuste n'est pas une solution. Cela donne une illusion à celui qui enfreint la loi, comme s'il avait des droits en plus, qui lui permet de ne pas devoir obéir et respecter la même structure sociale que les autres, qui assure

MANDERRIER 22/02/11 Océane TCFME Philosophie Une loi peut être injuste ou juste, cela dépend de celles-ci. Par exemple, nous pouvons prendre une loi où l'injustice règne comme la loi sur le droit des femmes sur le point de vue historique et de maintenant. Auparavant, comme pour toute injustice, on se basait seulement sur leurs différences envers les hommes, de nature, de fonction, pour

et ses fondements. La question est de savoir si l’État est le garant de la société pacifiée et juste, le protecteur de ses intérêts ou s'il représente un pouvoir dont toute société qui aspire à la liberté devrait se méfier? Peut-on dire avec Spinoza que «nulle société ne peut subsister sans un pouvoir de commandement et une force,et conséquemment sans des lois qui modèrent et contraignent l'appétit du plaisir et les passions sans frein.» Traité Théologico-politique? I – Les spécificités de l’État

questionnements mettent en doute l’autorité du gouvernement et donc de la loi et nous permettent de nous demander : peut-il être raisonnable de désobéir à la loi ? Est-ce qu’il y a de situations où le bon sens est de nier l’autorité et commettre un hybris, désobéissant les lois fruits du pouvoir souverain ? Dans un premier temps, on peut remarquer l’utilisation du modalisateur ‘peut-être’, ce qui fait une distinction importante. La problématique ne fait pas référence à la désobéissance de la loi

La conscience est-elle source de liberté ou de contrainte ? Prendre conscience de ce qui nous entoure nous permet de nous sécuriser et nous amène ainsi à être libre d’entreprendre des démarches utiles. Mais prendre conscience peut également nous faire rendre compte de certaines vérités susceptibles de heurter notre personnalité et notre comportement. Ainsi la conscience est-elle source de liberté ou de contrainte ? Les animaux n’ont pas la conscience que possède l’homme et se comportent donc

limite (à moins de vivre seul, en autarcie) et de ne pas se plier aux lois mêmes de la nature. Il faut distinguer l'obligation par contrainte et l'obligation morale qui est la liberté du devoir. Mais alors si être libre c'est obéir à la loi que l'on se donne soi même on peut s'interroger sur la possibilité d'une désobéissance à la loi comme condition même de la liberté ?
 Etre libre n’est-ce pas en réalité se déterminer soi-même ? Garder son libre arbitre? L’homme libre n’est pas celui qui se laisse