Peut On Parfois Désobéir Aux Lois

nous remettons en cause tout ou une partie de l'idéal de justice ou de l'application particulière de cet idéal. "Il est nécessaire que ce qui est le plus fort soit suivi". Il faut prendre ici "force" comme "force d'oppression". Cette force-là, on ne peut pas s'y soustraire. On la suit nécessairement, c'est-à-dire inévitablement, sans possibilité de choix. Ainsi, justice et force s'opposent en théorie comme l'obligation s'oppose à la nécessité. Mais, paradoxalement, force et justice s'associent en

philosophie ------------------------------------------------- Sujet : L'état est-il l'ennemi de la liberté ? L'état incarne les lois qui garantissent nos libertés cependant ces lois et ces règles ne nous permettent pas de faire absolument tout ce que nous voulons, nous ne sommes donc pas totalement libre. Ici s'installe un paradoxe, comment un état peut-il être l'oppresseur et la garantie de nos libertés ? C'est deux thèses s'affrontent et s'opposent cependant aucune des deux ne semblent

autres : le pouvoir souverain. C’est lui-même qui élabore ses propres règles. * Bodin «  Il faut que ceux […] qui sont souverains ne soient aucunement sujets au commandement d’autrui et qu’ils puissent donner loi aux sujets et casser ou anéantir les lois inutiles pour en faire d’autres. * Jelinek «  L’Etat a la compétence de ses compétences » * Max Weber «  l’Etat à le monopole de la violence légitime » : il est le seul à utiliser la force . Sauf pour la légitime défense : autorisation implicitement

c'est ». Au contraire, il faut définir le droit. Le principe du droit c'est de définir les termes utilisés pour savoir ce dont on parle. D'un point de vue technique on ne fait pas que définir le droit car le droit est quelque chose qui se pratique, ou on peut se limiter à dire que le droit est un ensemble de règle à appliquer. Chez les praticiens, chacun à sa propre définition du droit. Chez les théoriciens, aucun n'a la même. La revue « Droits » à demandé à des universitaires « qu'est ce que le droit 

d’éviter la guerre. Mais je (Machiavel) réponds qu’il ne faut jamais laisser arriver un désordre afin de fuir une guerre », parce que si on ne la fait point, on ne fait en réalité que la différer et en reporter les dommages dans le temps. Ainsi l’auteur peut tirer sa conclusion, qu’il juge lui-même « presque infaillible », « que le prince qui en rend un autre puissant, se perd lui-même. Car celui qui est devenu puissant se défie toujours de l’industrie ou de la force de celui qui l’a rendu tel. » .

relations de l’aristo et du pouvoir. -Laisse entrevoir les traces des évènements et des débats qui l’ont vu niatre -La noblesse avait déjà perdu depuis longtemps l’essentiel du pouv polit, elle résistait et s’agitait encore confusément, violemment parfois -Les évènements contemp des tragédies de C, ctd les diverses péripéties des ministères de Richelieu et Mazarin : épisode aigu, tardif de la vieille lutte qui mettait aux prises la royauté et les grds. - coté aristo : multiples complots+ rébéllions+

qui nous conduisent à juger d’une façon particulière comme nos instincts animaux nous poussent à agir d’une façon particulière, ce n’est pas une nécessité que les premiers soient plus infaillibles dans leur sphère que les deuxièmes dans la leur. Il peut aussi bien arriver que de mauvais jugements soient occasionnellement suggérés par ceux-là et de mauvaises actions par ceux-ci. Mais, quoique ce soit une chose de croire que nous avons des sentiments naturels de justice et une autre de les reconnaître

effrénée, sans entrave de tous nos désirs Dans son sens premier la licence désigne un permis, une permission, exemple la licence de taxi ou professionnelle. Par extension un comportement licencieux est un comportement égoïste, individualiste qui peut être chez les enfants capricieux qui n'admettent aucune compromission. C'est le comportement par exemple libertin de Don Juan qui en désirant toutes les femmes renonce à l'engagement et a la fidélité. Qu'est ce qui permet de justifier que nous identifions

en Sicile, il y était établis plusieurs règles que la Cosa Nostra ne devait pas transigées, mais devant les mafias russes, albanaises, turques ou irlandaises qui elles n'avaient pas de règles de morale, l'organisation sicilienne à été obligée de désobéir à certaines règles afin d'assurer sa survie, seule une règle n'a pas été transgressée c'est celle de procéder à des enlèvements afin d'obtenir des rançons. Le proxénétisme, le trafic de drogue où l'utilisation d'enfants on été acceptés à l'encontre

texte qui nous est proposé. Dans un premier temps, nous verrons comment il décrit la conscience accompagnée de son juge intérieur, puis nous aborderons le problème de l’objectivité de ce juge intérieur. Enfin, nous examinerons la question de savoir qui peut se tenir derrière cette figure du juge. Kant se penche sur le fait d’être conscient qui caractérise notre espèce. Nous vivons, nous sommes affectés, nous pensons, et nous savons que nous vivons, sommes affectés, pensons. En latin, cum scientia signifie