Peut On Penser Librement

Sujet : La conscience est-elle un privilège ? L’homme depuis toujours est doté d’une facilité à penser, il ne peut s’empêcher de se questionner. L’humain à ces réflexions du fait qu’il a conscience de son existence. La conscience peut se définir de plusieurs façons. Elle peut représenter cette simple capacité de perception de l’environnement, se que l’on pourrait appeler, discerner des objets, qui aurai donc comme sens contraire l’inconscience, dans le sens d’une personne

n'existe pas une bonne signification de la liberté, elle peut définir l'état d'une personne, d'un peuple qui ne subit pas de contraintes, de servitudes exercées par une autre personne ou encore l'autonomie et la spontanéité d'une personne douée de raison. Finalement elle peut aussi être la possibilité de pouvoir agir selon sa propre volonté dans la mesure où l'on ne porte pas atteinte aux droits des autres et à la sécurité publique. La liberté peut être vue de façon différente selon les croyances ou les

II, 4 : Le bonheur Intro : On peut définir le bonheur comme le désir des désirs puisque derrière tous les désirs se cache le désir final est celui du bonheur donc le bonheur est le plus grand des biens mis alors comment i arrivé. On peut penser que le bonheur c’est uniquement le résultat du hasard (chance ou malchance). On peut aussi penser que le bonheur dépend de notre destin (c’est décidé par une force supérieure, c’est déterminé) il y a deux variantes a cette notion : le destin impossible à

inconscients d'une histoire qui les dépasse ? I) LE VOLONTARISME HISTORIQUE L'histoire peut d'abord être conçue comme le résultat des actions humaines. C'est l'homme qui fait l'histoire, qui transforme le réel de l'extérieur par le libre arbitre de sa volonté, en incarnant ses projets dans le cours des événements. Cette thèse, qui est celle du volontarisme historique, se décline de deux façons : on peut d'abord penser que tous les hommes, sans exception, font ou sont à même de faire l'histoire, chacun

ligne oubliés, sont facilement exhumées, des années plus tard, par le moteur de recherche Google . Tout commence fin 2008 lorsqu'un journaliste de la revue Le Tigre décide de faire le portrait d'un internaute, choisi au hasard à partir de ce qu'il peut apprendre de lui sur Internet. C'est tombé sur Marc L. Pas de chance ! Voyages, petites amies , loisirs , vie professionnelle, et même numéro de portable, Le Tigre sait tout sur la vie du jeune homme depuis dix ans et, plus grave, révèle tout, sans

les valeurs personnelles et culturelles. En contrepartie, l'universalité de certains droits et libertés sous-tend l'idée de la nature humaine. Les droits La conception des libertés et droits fondamentaux a changé selon les époques. De manière schématique, on peut dire que, dans un premier temps, on a favorisé des droits individuels qui étaient des droits-libertés, pour y ajouter dans un second temps des droits collectifs et des droits-créances. 1. Les droits individuels, des droits-libertés Les premières

titre est « Réponse à la question : qu’est-ce que les lumières? ». Dans ce texte, il explique brièvement ce que sont les lumières (au sens philosophique, car il ne parle pas des vertus de l’ampoule), mais traite surtout de l’inaptitude de l’homme à penser par lui-même, à avoir le courage d’oser savoir. Mais est-ce que Kant avait raison d’affirmer que l’homme préfère se faire dicter la voie, par paresse? C’est en examinant ses propos qu’il sera plus aisé de le découvrir. Premièrement, je vais me pencher

Ce texte pourrait constituer un sujet d'examen. En classe, il peut également permettre l'instruction d'un problème élémentaire touchant à la notion de liberté : croire en l'indépendance, n'est-ce pas faire preuve d'égarement ? Si oui, faut-il renoncer à la liberté ? Selon Épictète, l'homme vraiment libre ne recule pas devant la réalité. Il ne veut pas modifier ce qui ne dépend pas de lui. Aussi, il veut les contraintes sur lesquelles il n'a pas de prise. Pour cette raison, « la liberté consiste à

Tout aussi instinctivement nous ne pouvons nous empêcher de penser que dès que nous voyons une femme ainsi recouverte que le port du niqab lui est forcément imposé. Ce vêtement représente pour nous enfermement inéluctablement nuisible, et nous en concluons aussitôt que aucune femme ne peut réellement vouloir être ainsi emprisonnée dans un morceau de tissu. Mais ce n'est peut-être pas aussi simple que cela. Ce qui surprend c'est ce que disent certaines jeunes femmes, nées en France, parfaitement

a- Nous ne sommes pas en dehors de la réalité. Refuser la résistance du réel est absurde. Irrationnel. Tout ne dépend pas de nous ! Si nous nous laissons emporter par nos désirs, et si nous voulons que les événements « arrivent comme nous les avons pensés », alors nous privilégions nos représentations au détriment de l'ordre des choses réelles. Nous aspirons à changer cet ordre. Une telle attitude est infantile. Elle rappelle l'enfant qui crie pour commander à un objet de venir à lui. Elle est absurde