Peut On Penser Sans Douter

philosophie : Peut-on penser sans préjugés ?Le siècle des Lumière est un siècle s’opposant à l’obscurantisme, c’est-à-dire le fait de poser des restrictions dans la diffusion des connaissances, rester dans l’ignorance et les préjugés. Le siècle des Lumière nous a alors habitué à écarter ces préjugés, à considérer que la pensée consiste à les affronter, voire à s’échapper de leur emprise. On peut alors affirmer par évidence dans un premier temps que l’on peut penser sans préjugés. En effet

familières sont rejetées avec mépris. Dès que nous commençons à penser conformément à la philosophie, au contraire, nous voyons, comme il a été dit dans nos premiers chapitres, que même les choses les plus ordinaires de la vie quotidienne posent des problèmes auxquels on ne trouve que des réponses très incomplètes. La philosophie, bien qu'elle ne soit pas en mesure de nous donner avec certitude la réponse aux doutes qui nous assiègent, peut tout de même suggérer des possibilités qui élargissent le champ

ouvre-t-il la voie à un art de penser ? [Introduction] Hume : philosophe anglais, dont l’empirisme débouche sur un scepticisme. S’interroger par exemple sur la validité de l’idée de causalité : lien nécessaire entre cause et effet. Cette nécessité est mise profondément en question par Hume, ce qui « réveille Kant de on sommeil dogmatique ». Rien, pour Hume, dans la succession des constats opérés ne permet de conclure à un lien nécessaire. Ce n’est que par habitude qu’on peut admettre la causalité de

Selon Descartes, l’évidence est le critère le plus parfait de certitude : ainsi, tout ce qui peut être considéré comme vrai est soit évident, soit déduit à partir d’évidences premières. Descartes ferait donc de l’évidence un critère de vérité, tout comme le ferait l’opinion commune : en effet, lorsqu’une idée s’impose immédiatement à l’esprit, on lui attribue la plupart du temps le statut de vérité. De nos jours, qui douterait par exemple du fait que deux et deux font quatre, ou encore que la Terre

libération, comme le sujet le présuppose, est-elle la seule ? Étymologiquement, « conscience » vient du latin cum scientia, qui signifie : avec savoir, accompagné de savoir. La conscience est la faculté proprement humaine de ne pas seulement agir, penser, parler, mais, en même temps, de savoir que l’on agit, que l’on pense ou que l’on parle. Prendre conscience, c’est donc saisir par la conscience, c’est-à-dire s’apercevoir d’une chose, sans être entièrement immergé dans l’action – c’est, en d’autres

discutable, soit parce que l’auteur pourrait paraitre s’auto contredire soit enfin parce que l’on va demander à l’auteur des éléments d’éclaircissement, s’approfondir. Faire la différence entre ce qui est certain et ce qui ne l’est pas peut être le viatique de toute existence que ce soit d’un point de vue pratique ou théorique. Viatique ; latin « via » : la voie le chemin, va nous aider pour cheminer. On appelle pratique du grec praxis : action morale, le choix

-Religion et violence ? -Religion et valeurs ? -Religion et liberté ? Peut-on choisir une religion ? -Importance des religieux/doute de l'existence des ou de Dieu(x) -Religion et existence -Que nous apporte la religion ? -L'homme a t-il besoin de la religion ? -Faut-il croire pour douter ? -Faut-il douter pour croire ? Il s'agit de considérer ici la religion comme un fait et même comme un fait indubitable (on ne peut pas en douter). Il s'agit d'interroger la religion comme fait observable, comme

Dans un premier temps, Alain aborde la définition de l’inconscient de « Qu’est ce qu’un inconscient ? » à « ni de penser Moi », puis dans un deuxième temps, Alain nous dit qu’une des étapes pour devenir conscient c’est d’abord une réflexion sur soi-même à partir de « En sorte que… » jusqu’à «ou à ce qu’il fait » et pour finir, Alain nous dit qu’il faut tout remettre en question, douter de tout pour repérer ce qui est vrai et faux de « c’est se méfier de soi » jusqu’à la fin soit « ce n’est pas fuir

Descartes débute son discours par « Je ne sais si je dois vous entretenir des premières méditations que j’y ai faites car elle sont si métaphysique et si peu commines qu’elles ne seront peut-être pas au goût de tout le monde. » Il débute donc son discours par nous maître en garde contre sa philosophie qui peut paraître compliqué au yeux des gens dit « normaux ». Il décide tout de même d’en parler car un philosophe qui ne partage plus ses idées n’est plus telment philosophe. Il commence par expliquer

distanciation entre le sujet et l’objet extérieur à lui-même. - Elle est “perceptive“ et elle porte que des faits - Aperception plus ou moins immédiate du sujet de ce qui se passe en lui ou en dehors de lui. La conscience morale  - Elle peut évaluer ce qui est (les faits) d’après ce qui doit être (les valeurs) - C’est aussi un jugement pratique par lequel le sujet distingue le bien du mal. - Elle est “évaluative“ et elle porte sur des valeurs. Les niveaux de conscience :