Peut On Renoncer Au Bonheur

1. L'origine des sociétésLe problème consiste à se demander comment les hommes ont pu passer d'un état nul de société à des rapports sociaux organisés et comment ils firent ce pas. La formulation du problème peut paraître étrange : ne doit-on pas dire que l'existence humaine suppose un minimum d'existence sociale ? L'homme n'est-il pas, comme le disait Aristote un animal politique ou n'est-il pas immédiatement engagé dans des liens sociaux comme l'abeille dans la ruche ? La logique de cette problématique

SUJET : Peut-on renoncer à sa liberté Malgré les différent sens que le mot « liberté » peut avoir, il paraît quasi impossible de renoncer a cette dernière. On pourrais éventuellement envisager perdre notre liberté mais se ne serait que sous contrainte. Mais il ne faut pas oublier que la liberté est le premier droit universelle, ce dernier dit :  « Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration » c’est dont « dérisoire » de penser

dit que les deux frères sont deux voyous. Il affirme qu'Oepide était un orgueilleux et que les rites religieux sont absurdes et il lui dit qu'elle est proche d'atteindre le bonheur car elle va se marier à Hémon qui l'aime mais Antigone ne veut pas céder. Malgré ses efforts pour pouvoir étouffer l'affaire, Antigone ne renonce pas à son choix qui est de suivre la loi des dieux même si elle doit mourir pour cela. 9) Antigone accorde une haute importance aux rites religieux car elle va entrerrer

pour comprendre. Je suis là pour vous dire non et pour mourir. » Cependant, Antigone, ébranlée, renoncerait alors. Mais Créon commet l’erreur de lui dire qu’elle doit être heureuse avec Hémon et consentir à la vie qui n’est en fin de compte que le bonheur. Or elle ne veut ni être heureuse ni même vivre. Créon doit donc la condamner à être enterrée vivante. Mais elle se pend dans le tombeau. Son fiancé se donne la mort à ses côtés. Eurydice, la reine, se tranche la gorge de désespoir. Analyse

les autres, alors que la prudence permet d'agir en dirigeant la volonté en vue du bonheur comme l'ataraxie. Dès lors, qu'est-ce que bien vivre ? Chaque personne a son opinion personnelle sur sa façon d'appréhender sa vie et de la vivre mais pour Epicure, bien vivre est le fait d'acquérir du plaisir et pouvoir parvenir au bonheur. Il défend sa thèse en parlant des désirs, et des plaisirs qui peuvent amener bonheur menant à l'ataraxie, l'absence de troubles. Mais aussi en disant qu'il y a des plaisirs

Le Bonheur, Désespérément : une utopie accessible par la sagesse De André COMTE-SPONVILLE Abstract Le bonheur, Désespérément n’est pas un livre écrit mais la retranscription revue par l’auteur d’une conférence-débat organisé le 18 octobre 1999 dans le cadre de Lundis Philo au piano’ckail à Bouguenais. André COMTE-SPONVILLE est le seul intervenant lors de cette conférence et explique comment il est possible à son sens d’accéder au bonheur et à quel le bonheur est un sujet complexe et intéressant

L'homme ayant effectué une action non conforme peut être après coup submergé par des remords . Ce que nous saisissons de nous même est toujours saisie de manière rétrospective. C'est par cette existence de la conscience que nous portons une reflexion sur notre comportement pour en tirer des conséquences. si elles s'averent négatives, notre attitude nous interpelle et nous désirons réparer notre faute tout en sachant que c'est impossible. ainsi nous endurons une souffrance psychologique difficilement

qu’inviolable, peut être réduite pour une raison quelconque. L’homme doit donc être vigilant, et il doit conserver le plus de liberté possible. Comme le disait Montesquieu : « La liberté est le pouvoir de faire tout ce que les lois permettent ». Ainsi, dire non nous aiderais à profiter pleinement de notre liberté. Mais est-ce que le fait de dire 'non' fait de nous un homme libre ? Il semblerais que dire 'non', remplirais une des conditions nécessaires à la liberté. Mais suffit-il de renoncer à certaines

tellement ici de déterminer si l’ordre du monde peut être vaincu, ou si nos désirs sont invincibles, mais de décider entre deux options selon ce qui paraît raisonnable et recommandable. On ne demande pas aux candidats de signaler que la question réfère explicitement à Descartes (« Ma troisième maxime était de […] changer mes désirs plutôt que l’ordre du monde », Discours de la méthode, III) ; mais, employée à bon escient, une telle érudition peut favorablement influencer le correcteur. 1.3.

il cite « imbéciles erreurs » pour prévenir le crime, que l’au-delà a été inventé. Il pense que les esprits « faibles » sont ceux qui croient en Dieu « la raison, mon ami, oui, la raison toute seule doit nous avertir que de nuire à nos semblables ne peut jamais nous rendre heureux » (ligne 6). Les libertins eux, ne peuvent pas croire en Dieu, ils n’y croient pas car ce sont des personnes de raisons. Cela ne prend pas les âmes fermes (voir ligne 10). Ces âmes n’y croient pas car ce n’est pas cette