Peut On Réduire La Morale Aux Moeurs

Béline, seconde femme d'Argan, belle-mère d'Angélique. Toinette manifeste son opposition à ce mariage ridicule. Argan, exaspéré, court après elle avec un bâton pour la réduire au silence Dans cette tirade le protagoniste explique à son valet combien il est peu amusant de se donner pour un seul quidam et que seule la diversité peut donner du goût à la vie. Dom Juan commente à Sganarelle que ce sont les autres qui sont dans l’erreur à aimer toujours la même personne et que le dévouement ne fait pas

pensée éthique contemporaine I/ Précision terminologique sur l’Ethique 1. Signification élémentaire de l’éthique Le mot Ethique apparaît en Grèce il y a 2500ans. Il vient de « Ethos » qui signifie « coutumes mœurs ; plus générale conduite, action » Définition : Etudes des mœurs des coutumes des conduites et des actions pour différencier celles qui sont bonnes. 2. Problématique savant Définition savante : discipline traditionnellement philosophique qui traite les questions fondamentales

soustraire. Mais la question du fondement se pose : Possible de concilier liberté et se soumettre au devoir ? Seul un individu libre peut obéir donc le devoir présuppose la liberté. # Entre devoir, contrainte, obligation, nécessité. Quand je dis je dois mourir : nécessité. On peut rattacher le devoir à la conscience : morale / psychologique. L’animal ne peut pas être un être de devoir. Le devoir repose sur un sentiment naturel. Qu’est ce qui m’empêche de faire du mal à autrui ? Pourquoi je ne

(ce qu’on peut faire ou non) besoin de justice (droit juste) Rousseau (1755) instauration de la propriété , vient remedier a 1 état peu satisfaisant , assoir sa propriété I , gagner en sécurité & paix ( droit de propriété) une norme doit être juste ? -> P du D à D naturel / idéaliste : la règle de droit à son fondement dans la justice à Positivisme : le droit doit e séparé de la morale & du critère de justice . Autorité de celui qui édicte la règle . Amoral : détaché de la morale . 1) L’école

Ce type est purement intelligible ; il n’en est pas moins vivant ; il est même seul vivant, car ses copies, toujours changeantes et périssables, méritent à peine le nom d’êtres, et, parce qu’il existe réellement, qu’il est éternel et immuable, il peut être connu et être objet de science. Platon a illustré sa théorie des Idées dans la célèbre allégorie de la Caverne, où les hommes sont comparés à des prisonniers enchaînés qui ne peuvent tourner le cou et n’aperçoivent sur le fond de leur prison

Jestaz, Pouvoir juridique et pouvoir moral, RTD civ. 1990, p. 625 et s. Pouvoir juridique, pouvoir moral, ces deux notions sonnent comme des fanfares, mais dont l'expérience indique qu'elles ne jouent pas forcément le même air, ni au même moment, ni dans le même registre. Pourtant on ne se lasse pas de les évoquer ensemble, ce qui paraît être le signe d'une relative harmonie dans la dissonance. Va-t-on reprendre ici l'éternelle question des rapports entre la morale et le droit ? Oui et non. Si cette

Le mouvement scientifique, qu'avait lancé Descartes, s'est épanoui au XVIIIème siècle. De grands écrivains ont travaillé à développer des études nouvelles, parmi lesquels on peut rappeler Bayle et Fontenelle qui ont contribué à la diffusion de la science de l'astronomie et qui ont affronté la croyance au surnaturel; et Montesquieu et Buffon qui se sont intéressés à l'étude de la société et l'histoire naturelle. Montesquieu:- Homme de lettre et philosophe français, Montesquieu a inspiré les

convient de l’analyser pour établir en quoi elle consiste. La force politique des religions A. Le pouvoir est religieux par nature Si l’on admet que le religieux consiste toujours en une relation de l’homme à la sphère sacrée du divin, on peut en déduire que par nature l’expérience religieuse est celle d’une soumission à une autorité supérieure. La croyance religieuse institue la divinité en position hiérarchique de souverain. Il faut obéir aux injonctions divines. Inversement, tout pouvoir

d’en déchoir. Dans l’entreprise, on retrouve cette logique de l’honneur à l’intérieur de chaque service. L’honneur n’est "défini ni par la raison, ni par la loi, ni par le prince". Il est fixé par la tradition et établit des devoirs précis et des mœurs particulières pour chaque groupe. Plus tard lorsque la bourgeoisie veut s’élever, elle doit s’ennoblir en quelque manière (bienséance, etc.). Le mouvement des métiers est de même sorte : non seulement obtenir de bons salaires mais en plus une condition

sens générique, les lois sur les délits et les peines. Les lois politiques sont donc postérieures aux lois civiles, et sont infiniment plus variables. De là, il résulte que les meilleures lois civiles sont celles qui aident le mieux au règne de la morale la plus pure, et que les meilleures lois politiques ou constitutionnelles intérieures sont celles qui servent le mieux à faire exactement observer les lois civiles ». 5 Napoléon Bonaparte, intervention au Conseil d’Etat (8 mai 1802) « On a tout