Peut On Sans Contradiction Désirer Ne Pas Avoir De Désirs

mieux se perdre dans le désir qu’avoir perdu tout désir ? » Introduction : « J’avais risqué ma vie et j’avais gagné. De nouveau, j’étais un homme. », s’écrie le héros du Joueur de Dostoïevski. Mais comment considérer le joueur ? Est-ce un homme volontaire, déterminé, prêt à tout sacrifier pour arriver à ses fins, ou le jouet de son désir ? Le joueur ne perd-il pas plus qu’il ne gagne à se livrer aveuglément au jeu, à commencer par lui-même ? Notre rapport au désir semble tout à la fois complexe

LA CONSCIENCE Introduction : Le sujet peut être un thème, mais il signifie ici « l’individu ». La conscience est donc une personne, ou le « Je ». Une personne humaine capable de dire « Je » a une conscience de soi, et est également conscient d’être un acteur. L’enfant acquiert la conscience de lui-même en bas âge. La conscience est une caractéristique essentielle. Il y a la conscience morale et la conscience psychologique. Le mot conscience a deux sens : il désigne notre capacité à juger

Peut-on se mentir à soi-même ? 1 Peut-on se mentir à soi-même ? Reformulations : - Est-il concrètement possible de se dissimuler à soi-même, volontairement et consciemment, une vérité que l’on connaîtrait ? - Si cela est possible, avons-nous pour autant le droit, que ce soit moralement ou légalement, de nous cacher volontairement et sciemment la vérité ? Problématique : - Mentir implique nécessairement, à première vue, que qq1 connaisse la vérité, ie soit capable de dire ce qui est

Peut-on désirer sans souffrir ? Introduction Tout ce qui vit a des besoins, si tant est que vivre, ce n'est pas être autosuffisant, mais au contraire dépendre, pour sa propre survie, d'un milieu extérieur : la plante a besoin d'eau et de lumière ; l'animal de manger, de boire et de dormir. De ce point de vue, l'homme ne saurait faire exception ni constituer ce que Spinoza nommait « un empire dans un empire » : parce qu'il vit, l'homme connaît la pression du besoin et la nécessité vitale de

faire quoi qu'il nous en coûte. De ce fait, il entre souvent (pour ne pas dire toujours) en contradiction avec nos propres désirs : ce que je dois faire n'est pas ce que j'ai envie de faire, ce pourquoi d'ailleurs grande est la tentation de ne pas le faire, en d'autres termes de m'en dispenser. Alors, qu'avons-nous à gagner à faire notre devoir ? Rien semble-t-il, sinon endurer la frustration de nos désirs. À moins toutefois que l'obéissance à ce que le devoir prescrit ne soit elle-même la source

Termes importants : moralité, bonheur, désir, contrainte, devoir, volonté, raison Definition de bonheur : Le bonheur (étymologiquement la bonne fortune - entendre dans "fortune" : ce qui arrive de bien ou de mal -) est un état durable de plénitude et de satisfaction, état agréable et équilibré de l'esprit et du corps, d'où la souffrance, l'inquiétude et le trouble sont absents. Nous cherchons tous à être heureux, mais est-ce un devoir d’être heureux ? En d’autres termes, y a-t-il un devoir

que l’on veut :  Faire ce que l’on désire ; suivre nos impulsions sans rencontrer d’obstacle ou de contrainte. Cette définition rejoint la précédente.  Faire ce que l’on veut, ce que l’on choisi âpres réflexion, puisque la volonté est une faculté de l’esprit, de la raison. Ici, il ne s’agit pas de suivre ses impulsions sans contrainte mais de suivre les règles déterminées par la volonté pour atteindre un but. Il peut y avoir contradiction entre ce que je désire impulsivement et ce que je veux de

conscience de soi est-ce devenir étranger à soi ? Pour répondre à cette problématique, nous verrons dans un premier temps que prendre conscience de soi c’est produire une identité mais nous verrons qu’en seconde partie que prendre conscience de soi peut être devenir étranger à soi. Nous allons voir dans une première partie que prendre conscience de soi c'est produire une identité et dans un premier point nous verrons que le « je » est constituif de la personnalité. Dire « je » c’est prendre

mais elle peut aussi l’avoir pour son propre bien-être ou pour celui des autres. La religion n’est donc pas un fondement nécessaire de la morale. Ces deux exemples montrent l’amplitude de la question posée : la religion est le fondement de la morale parce que seule la religion nous oblige à la morale ; mais la religion n’est pas nécessaire à la morale parce qu’elle peut être une qualité de l’individu même et non une qualité imposée par la religion. La religion nous oblige à avoir un comportement

nouvelle revendication par les artistes novateurs inspires par le romantisme, dans le but de contrer ouvertement les ideaux et valeurs de la bourgeoisie, centres sur ''le travail, l'epargne, la moderation, et le puritanisme''. Les critiques et le desir de renouveau quant aux conventions et institutions sociales se font plus radicaux, avec pour principal mentor le culte du ''moi''. Cette culture de la personnalite, la recherche du plaisir, ''vivre avec la maximum d'intensite, suivre ses impulsions