Peut On Traiter Des Sujets Graves Avec Légèreté

FRANCAIS Sujet au choix pour le vendredi 22 avril 2011 RL 605 Dissertation: La comédie peut-elle aborder les grands problèmes de société ? Vous discuterez ce sujet à partir des oeuvres étudiées et de vos lectures personnelles. Depuis toujours, le théâtre est une activité qui procure un moment de loisir et de détente. Nombreux sont ceux qui se souviennent avoir ri aux larmes, lors de représentations d'oeuvres comiques, de comédies. La comédie est un genre théâtral cinématographique

nous demander : « Peut-on traiter des sujets sérieux sur un mode léger ? ». Est-il possible d’évoquer des sujets graves sur un ton plaisant ? Pour répondre à cela, nous verrons qu’à première vue, un ton humoristique ne semble pas s’accorder avec des visées sérieuses. Puis, le mode léger apporte certains avantages et peut être agréable à la lecture. Finalement, un sujet traité de façon distrayante peut paraître sérieux. La fantaisie ne semble, à priori, pas adaptée aux sujets sérieux ou tabous

le fait de traiter certains évènements de manière détachée, en plaisantant, permet de mieux les affronter. On remarque en effet que les auteurs des Lumières ont privilégié le ton comique et ironique, alors même qu’ils abordaient des sujets sérieux. Ainsi dans Candide, Voltaire engage une réflexion sur des problèmes graves tels que l’esclavage, la torture, la guerre, le, fanatisme religieux, ou encore l’injustice politique, de façon plaisante. Marivaux, dans La Colonie, choisit la légèreté de la comédie

différemment par chacun d'entre nous. On peut se demander alors, si la comédie n'aborde pas, a travers ses farces et son humour, des questions sociales et culturelles graves, qui permettent de faire réfléchir le spectateur. Comme toute œuvre humoristique, a comédie est une source de rire et de divertissement. C’est pour cela qu’on pourrait d’abord penser que ce type de pièce de théâtre n’a en aucun cas pour fonction d’aborder des questions sociales et culturelles graves. Tout d’abord, depuis l’invention

mode léger pour traiter des sujets sérieux ou grave. Utiliser le mode léger consiste à traiter un sujet en le rendant plaisant, humoristique, tout en développant un point de vue, une critique. On peut donc se demander si traiter un sujet grave, qui fait polémique, sur un ton plaisant et humoristique est un choix judicieux. Pour tenter de répondre à cette question, nous développerons d’abord les arguments contre ce choix, puis nous montrerons que, dans certains cas, le mode léger peut être une arme

Sujet : La comédie n'est-elle qu'un divertissement ? Vous répondrez à cette question à partir du Malade imaginaire de Molière et de lectures personnelles. La comédie, souvent associée à la légèreté et au divertissement, peut-elle vraiment être considérée comme un art profond et stimulant ? Si vous vous référez à des oeuvres comme "Le Malade imaginaire" de Molière, il semble que oui. Cette pièce, qui se moque des médecins modernes et met en lumière les dangers de l'obsession pour la santé, est un

mineur » (référence à une confrontation historique entre Guy Béart et Serge Gainsbourg, en 1986) ?... N’est-elle pas plutôt « le bruit même de notre vie » ? Un moyen pour « célébrer la vie malgré les saccages » ?.. Peut-on « chanter pour ne pas se taire » ?... Bref : une chanson peut-elle être utile ? Cette chanson (Lily) nous apporte le témoignage de l'un de ces chanteurs qui savent pourquoi et pour qui ils chantent. C'est ce qu'on appelle plus communément les « chanteurs engagés » (l'engagement

Vous montrerez qu’une comédie peut être à la fois drôle et dérangeante, voir inquiétante. Le théâtre existe depuis des millénaires, déjà dans l’antiquité deux grands genres de cet art ce distinguaient. La tragédie, faite de fatalité, de destin et d’évènements graves, elle provoque des émotions violentes. La comédie, ce terme a d’abord désigné le théâtre en général ainsi que l’art de l’acteur puis est devenu l’opposé de la tragédie cherchant à divertir, par la légèreté de l’intrigue ou de la peinture

adhère à la loi du plus fort sans plus porter d’intérêt aux plus faibles. Un autre argument vient critiquer les apologues : Peut-on traiter de sujets sérieux sur un ton désinvolte et enfantin comme dans la fable ? Il est vrai que lorsqu’on lit un conte philosophique notre attention est accaparée par les aventures des personnages. Le danger n’est pas de s’en tirer aux sujets (personnages animaux) et d’en oublier le précepte que l’auteur veut faire passer. Exemple le « Petit Prince ou Le vieil homme

très éloignés. L'intérêt est ici seulement historique, sinon anecdotique. Babillage et potinage En revanche, le second article va beaucoup plus loin. Il peut s'entendre comme le commentaire d'une phrase de la Duchesse de Langeais : « Le discours est la partie morale de la toilette, il se prend et se retire avec la toque à plumes. » Balzac y traite en effet du mot à la mode, qui vous pose dans la meilleure société. Car il ne suffit pas, pour en être, d'avoir des rentes et une bonne mine; ni même de