Peut On Traiter L Etre Humain Comme Un Objet

jugements qui sont à la fois synthétiques et a priori : en d'autres termes, l'attribut y ajoute une notion nouvelle à la notion du sujet, et ils ne reposent pas sur l'expérience. Comment sont-ils possibles? Telle est la question que traite tout l'ouvrage. Kant commence par traiter de l'esthétique transcendantale ou analyse de la sensibilité, et il montre, dans l'espace et le temps, les formes a priori de toutes les données empiriques. Pour travailler sur ces premières données, l'entendement se sert de notions

du problème Être un sujet, c'est « dire Je ». « Dire on », c'est se soustraire à la responsabilité de « dire Je ». C'est se mettre à l’abri car cela permet de se cacher derrière une foule indéterminée, anonyme, de sorte qu'en disant on, le sujet n'est pas lui-même et même n'est plus personne. Personne ne peut être interpellé dans le « on » contrairement au « nous ». « Dire Je », c'est se mettre à distance de l'indistinction, c'est affirmer son identité, se poser soi-même comme sujet et avoir

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de savoir avec exactitude qui je suis ? Ce qui confère au sujet humain une certaine dignité particulière. La conscience de soi ouvre le sujet à des ambitions qui le transcendent. Mais la conscience n'est elle que connaissance de soi? Sans doute un enfant peut-il, à partir d'un certain âge répondre spontanément à la question "Qui suis-je?" (en fait suscitée par un "Qui es tu?") et va énumérer un certains nombres d'informations comme son âge , sa taille, sa couleur préféré, ses loisirs,... Mais il

la polarité = identité culturelle particulière. Depuis le 16ème 17ème : culture occidentale dominante sur les autres cultures. Extension : résultat, expression d’une certaine nécessité historique. La culture occ a eu tendance à se considérer comme la forme culturelle qui devait l’imposer aux as. La notion de pouvoir est aussi le résultat de la façon dont la culture occ s’est construite au fil du temps. Cette forme culturelle particulière induit une sorte de représentation, du pouvoir qui en

sont des réalités comme les autres. On sait que l'objet cumule des critères qui répondent à de multiples questions comme le critère génétique, comment un objet existe t-il? Comment est-il fabriqué?, le critère générique, à qu'elle catégorie l'objet appartient-il?, le critère fonctionnel, à quoi sert l'objet? Ou encore un critère institutionnel, qui décide du statut de l'objet? On se pose d'abord la question sur la signification de l'oeuvre d'art à savoir qu'elle apparait comme un objet fabriqué par l'être

limites et de bien le définir. Avoir le « Je » dans la représentation de soi est un acte assez primitif, qui n'impose pas au premier abord une réelle réflexion. Dire « Je » est un acte très naturel, non réfléchi et bien plus que spontané. Ainsi, cela peut paraître surprenant d'admettre que le « je » ne représente rien, qu'il ne signifie rien, et que dire « je » ne veut pas dire quoi que ce soit. La question suscite donc ici tout un débat relatif à la consistance du sujet, à ce qui fonde son identité

de philosophie Collège de Chicoutimi Hiver 2004 1 LE DÉBAT ÉTHIQUE DU CLONAGE THÉRAPEUTIQUE Il y a de cela quelques semaines à peine, on nous apprenait qu’un groupe de chercheurs de l’université de Séoul avait réussi à cloner un embryon humain. Cette foisci, l’annonce était véridique, l’embryon a même été conservé durant une assez longue période de temps. Suite à cette nouvelle avancée de la biotechnologie, le débat sur le clonage thérapeutique reprend de l’ampleur. Les pays réagissent

2004 concernant les matériaux et objets destinés à entrer en contact avec des denrées alimentaires et abrogeant les directives 80/590/CEE et 89/109/CEE LE PARLEMENT EUROPÉEN ET LE CONSEIL DE L’UNION EUROPÉENNE, (4) vu le traité instituant la Communauté européenne, et notamment son article 95, vu la proposition de la Commission, vu l’avis du Comité économique et social européen (1), statuant conformément à la procédure visée à l’article 251 du traité (2), considérant ce qui suit: (1)

du Traite de la peinture. Le titre est «Traite de la peinture». L’auteur est Léonard de Vinci les destinataires visées sont les peintres et les personnes riches et nobles qui s intéresse a la peinture. Le contexte est Au 15eme siècles suite a l’ exploration du nouveau monde, un ensemble de nouvelles approches, de nouveau courant intellectuels et politiques permettent de remettre en question la vision du monde des habitants. L’idée générale de l’ extrait et de montrer sur ce que doit être la