Peut On Vivre Sans Croire

cela comporte, comment peut-on être sûr cependant d’avoir fait le bon choix ? On ne peut justifier un choix qu’en faisant état de ce qui semble essentiel dans la conduite humaine, en faisant état d’un système de valeurs. Le système de valeurs de celui qui pense par lui-même est-il le bon ? Au nom de quoi le justifie-t-il ? * Penser par soi-même, c’est d’abord ne pas penser par autrui. D’ailleurs répéter passivement ce qui se dit ou ce qu’on dit ne peut pas s’appeler penser,

emporté par une violente vague, et il s'écroule et il disparait dans l'eau salée de la mer. L'on peut vivre 100 ans sans vraiment avoir existé, qu'est ce que cela veut dire? Vivre, exister? N'est-ce pas la même chose? Vivre sans exister c'est comme entendre sans écouter, une tache a moitie remplie, un cadeau a moitie ouvert, c'est manger sans déguster, c'est plein de choses, qui nous font croire que l'on existe mais au fait l'on vit, on est un simple individu parmi plein d'autre, suivant le chemin

critique et médecin > il s’agit de produire au moins deux philosophies, matrice à produire des philosophies différentes EX: « esprit de pesanteur » (dans Ainsi parlait Zarathustra ) > est ce qu’on peut voir les choses légèrement ? chercher une perspective de joie dans tout perspective tragique et joyeuse en même temps > Nietzsche est fils de pasteurUn esprit libre > filiation française très clair

est  la cause première. Dans le premier cas l'homme subi des affects et il n'est en rien responsable des actes dont il est l'agent, au sens ou il ne peut ni ne doit répondre  de ce qui est  fait dès lors que ce n'est pas lui qui fait mais les causes qui agissent sur lui: c'est comme ça, le mal est un malheur au même titre qu'un événement naturel peut produire une catastrophe. Dans le deuxième cas, l'homme est totalement responsable, car s'il est cause première, c'est à dire libre, de son acte violent

fictif. Je développerai cette idée en m'appuyant sur un extrait des romans suivant: Pierre et Jean de Maupassant, Le Rouge et le Noir de Stendhal et La joie de vivre de Zola ainsi que sur mes lectures personnelles. Dans un premier temps, je traiterai du réalisme dans le roman et dans un second temps de l'imaginaire dans le roman. 1 Le roman peut-il être le reflet de la réalité ? a) Le réalisme est un attachement à représenter, un environnement particulier. Le roman est un reflet de

signification, leur destinée comporte une leçon, une morale s’en dégage qui ne se trouve jamais dans une destinée réelle toujours contradictoire et confuse. ». Ainsi, François Mauriac donne une définition qui peut convenir à une grande majorité de la production romanesque. Cependant, cette définition peut-elle convenir pour l’ensemble des romans ? Tout d’abord, nous verrons que la thèse de Mauriac est justifiée pour un grand nombre de romans, mais que cependant elle est très réductrice. Enfin, nous donnerons

Éternelle prisonnière de ses fades habitudes, la personne humaine existe souvent sans vivre, aveuglée par des illusions qui la privent de contact avec elle-même. Ces illusions sont de différentes natures: croyances, habitudes, adoption de la conformité comme mode de vie. Pourtant, quand s'impose à l'esprit la lassitude de cette routine, quand l'ennui s'insère dans la pensée ou encore quand ces illusions s'écroulent en raison d'une tragédie, l'humain se retrouve seul face à lui-même. Il prend conscience

inconsciente, moteur de la pulsion de vie »[footnoteRef:2]. Cette force naturelle dirige nos désirs mais certains d’entre eux vont être refoulés toute notre vie, les règles imposées par notre société vient donc créer une résistance en nous. Cette résistance peut aussi être amplifiée ou baser sur des expériences traumatisantes vécues en étant enfant, tel que la perte d’un parent ou un viol. Ce refoulement crée une tension psychique et cela déclencherait même parfois des maladies

car nous ne pouvons ne faire l’expérience. Tout d’abord, la question de la mort est facilement réduite à ce qu’il y a après cet événement. C’est-à-dire à « la vie après la mort ». L’incertitude de l’au-delà ne permet pas aux hommes de vivre en parfaite confiance sur Terre car ils ne savent pas si la mort détermine la fin de leur vie ou si la vie n’est juste que le début de la vie qui s’offre à eux après la mort. Cette question invite à la réflexion mais nous savons en tant qu’humain que

chagrins d'amour que le temps n'efface pas et qui laissent aux sourires des cicatrices imparfaites- Marc Levy - Un sourire coûte moins cher que l'électricité mais donne Autant de lumière- Abbé Pierre - L'enfant se laisse vivre, l'adolescent attend de vivre, l'homme essaye de vivre et le vieillard de survivre- Maurice Chapelan - La maladie de l'adolescence est de ne pas savoir ce que l'on veut et de le vouloir cependant à tout prix- Philippe Sollers - Si les gens ne veulent plus d'enfants, c'est