Peut On Vivre Selon La Nature

actes, nos relations, ... Dans ce texte le philosophe se demande à quel point sont lié notre comportement et nos agissements à notre conscience et nos sens; Pour ce faire l'auteur se demande aussi ce qu'il y a entre nous et notre propre conscience. Selon lui, il y a un «voile» entre nous et notre conscience, mais surtout il nous laisse entendre que la perception que nous permettent nos sens et notre conscience n'est pas complète mais suffisante à l'Homme qui vit pour le coté utile des choses; Cependant

autre chose que le bonheur. Il associe à l'acte même de philosopher le bonheur, le bien être. Il enlève ainsi tout âge à l'acte et en un ( le ? ) moyen de parvenir au bonheur. A la manière de Cicéron qui nous disait « [qu']Il y a des Dieux car la nature en a imprimé la notion dans toutes les âmes », Epicure admet ensuite l'évidence de l'existence des Dieux. Il aspire tout de même à l'idée qu'ils ne sont en rien semblables à ce que les « multitudes » en pensent. Les Dieux n'influent pas sur le destin

Lecture de « apprendre à vivre » notes. Chapitre 1) Edgar Poe : poème (Irréversibilité de l'existence) Epictète : Stoïcien (crainte de la mort, « jamais plus ») [mais tentative de dépasser cette crainte de la mort] Montaigne : Stoïcien (philosopher c'est apprendre à mourir) [idée de Platon au départ] Kant : [Kant n'est pas un Stoïcien, mais il est cité ici] (que nous est il permis d'espérer?) ---------------------------------------------------------------------------------------------

Commentaire HDD séance 6.2 : « Etre naturaliste, c’est penser que la nature n’a pas d’autre explication qu’elle même « , citation de André Comte-Sponville, philosophe français du XXe-XXIe siècle. Cela reflète bien la philosophie d’Aristote qui considère la nature comme droit supérieur à celui des hommes. D’autant plus que cette dernière constitue un point central dans ces ouvrages, « Politiques » consacre à la nature un droit qu’elle n’a besoin de justifier, bien au contraire, une conception

de la nature, selon ROUSSEAU, n'a aucune notion du temps : chaque jour est le seul dont il ait connaissance ; le jour présent est le seul dont il puisse avoir connaissance. Pour lui ni l'avenir ni le passé n'ont d'existence. Sa vie s'écoule dans un perpétuel présent ; tout lui est toujours nouveau et inconnu. Mais, selon notre philosophe, cet homme de la nature n'est pas autre chose qu'un animal mieux organisé. Vivre au présent serait revivre, vivre de nouveau le même, sans espoir de vivre à nouveau

Le Lien social ne peut-il reposer que sur l’intérêt ? Le lien social désigne l'ensemble des relations qui unissent des individus faisant partie d'un même groupe social et qui établissent des règles sociales entre individus ou groupes sociaux différents. De plus, l’intérêt est un sentiment de curiosité, de bienveillance à l’égard d’une personne ou d’une chose. Nous avons pu voir que les hommes acceptent d’échanger et de collaborer par intérêt. Ce qui constitue comme peut le dire Platon l’origine

participent d'un Tout (qu'il nomme parfois L'Un, Dieu, Nature, Substance, Loi, Raison). Nous, les hommes, sommes des parties de ce Tout. ·                         Nous devons vivre selon la Nature, c'est-à-dire en suivant la Loi de la Nature et celle-ci procède de la Providence, donc tout ce qui arrive est nécessaire et utile au monde universel, dont tu fais partie (Livre II). ·                         Cela veut dire aussi vivre en conformité avec la Nature de l'homme qui est raisonnable et sociable. Il

Le fondement de la nature politique de l'homme est son langage. En effet, grâce à lui, il peut communiquer et donc constituer avec d'autres individus une communauté que l'on appelle cité, ou pour Aristote, polis. Pour Aristote, l'homme est un animal politique. Cela veut dire qu'il ne vit que pour être en cité. Sa fin est de vivre parmi les hommes. Cette nature politique est ancrée dans la nature même de l'homme pour Aristote. Ce qui veut dire qu'il est obligé de vivre par contrainte de lui-même

l’apparition d’un régime politique fondé sur le débat : la démocratie. A. L’émergence de la raison 1. Du mythe à la raison C’est avec l’école de Milet au 6ème siècle avant J.C et le fameux Thalès, qu’on peut dater le début de la philosophie. Avant Thalès, les penseurs fonctionnaient selon les mythes, la poésie, la croyance en des dieux à forme humaine, l’explication de l’univers se faisait au moyen de récits imagés (Adam & Eve…). Celui qui fait autorité à l’époque est le conteur de récits

mais effectué dans la nécessité et le besoin : c'est la peine que l'on prend pour faire quelque chose. Il devient une nécessité pour vivre. Une obligation morale est ce qu'on doit faire car on pense que c'est une bonne chose. Le devoir est le contraire de la contingence. Il existe également les obligations sociales qui, elles, varient d'un individu à l'autre selon la catégorie sociale à laquelle il appartient. Pour traiter ce sujet nous allons donc pouvoir nous demander s le travail est une condition