Peut On Vivre Seul

social accentue. Ainsi ne voyons-nous pas, ne disons-nous pas, ne saisissons-nous pas l’individualité de l’être. L’épreuve du texte nous invite à le comprendre. Sommes-nous dans une impasse, tout occupé de vivre, d’agir, de communiquer, de nous représenter les choses ? Sommes-nous2 condamnés à vivre à l’écart de l’individuel, loin du voir ? Ou bien le philosophe et l’artiste indiquent-ils un autre rapport possible au monde, une présence ? I - a De3 quelle limitation souffre notre rapport au monde

Silveira Ramos Telma Commentaire de texte :Pascal, Pensées, fragment 693Tout être humain a conscience de son éphémérité. Nous savons tous que nous sommes des êtres mortels. Pourtant nous continuons à vivre, bien que nous ne sachions pas pourquoi nous vivons. Comment faisons-nous pour ne pas subir notre ignorance face à notre existence ? Comment faisons-nous pour jouir de la vie tout en sachant qu’elle est limitée ? En effet, si nous nous laissions aller à ces interrogations et à la préoccupation

philosophique du terme, à la liberté de l’homme. Chacun agit non seulement sous une contrainte extérieure, mais aussi d’après une nécessité intérieure. » A. Einstein Pour chaque action que nous effectuons nous avons une motivation. Cette motivation peut être d’ordre intérieur, c’est-à-dire qui vient de nous, ou d’ordre extérieur, c’est-à-dire qu’elle vient de facteurs qui se trouvent dans notre environnement. D’après Albert Einstein ces motivations, qu’elles soient intérieurs ou extérieures, entravent

Ebner-Eschenbach * Il se mit à étudier comme un homme se serait mis à boire, pour oublier.Valéry Larbaud * Etudiez comme si vous deviez vivre toujours ; vivez comme si vous deviez mourir demain.Saint Isidore de Séville * La haine, c'est la colère des faibles !Daudet * La tolérance est la vertu du faible.Sade * La faiblesse est le seul défaut que l'on ne saurait corriger. La Rochefoucauld * Assurons-nous bien du fait avant de nous inquiéter de la cause. Fontenelle (Bernard

Chaque être humain a sa propre perception, c’est peut-être ce qui le rend unique. Ainsi, sa vérité n’est pas forcément celle de l’autre. Mais cette vérité, qui est la sienne, n’est souvent que pure illusion pour l’autre. Cette illusion reflète alors une vérité toute subjective. La vie semble donc osciller entre la réalité des perceptions humaines, que l’on qualifie de vérité, et l'illusion que l’on s’en fait souvent comme prétexte à un moyen de mieux vivre. Mais notre vérité se modifie aussi tout au

interpelle. Cet homme qui avait tout pour vivre heureux a vu un jour sa vie basculer. Sophie, la femme dont il était éperdument amoureux le quitte et c’est là que commence sa descente aux enfers. Il commence à boire, il perd son travail, ses amis et par la suite son logement. Il se retrouve donc à la rue comme de nombreuses personnes à Paris. La galère et la misère deviennent son quotidien. Ainsi que pour « ses potes de galère » comme Titi, qui meurt seul dans le métro parisien face à l’indifférence

inhumaine. Un jour, il reconnait parmi les gardes du camp un homme nommé Ulli Räte avec qui il avait passé « tant de bons moments » lorsqu’ils étudiaient à la Capitale. Les récits du camp prouvent que tout homme, même le plus ordinaire en apparence, peut devenir un bourreau sadique : « l’homme est un loup pour l’homme ». Le lecteur ressent les humiliations infligées à Brodeck, et les déceptions qui sont siennes lorsqu’il s’aperçoit que même ceux qu’il considère comme ses amis sont capables de le trahir

avec la nature. L’éthique d’Epicure est la conséquence de cette physique. L’univers épicurien est composé pour Epicure d’atomes innombrables, invisibles. Un jour, ces atomes se sépareront et se regrouperont ailleurs, différemment. L’univers épicurien peut donc se définir comme une pluie d’atomes dans un espace infini. Il en ressort que la pensée épicurienne est fondamentalement matérialiste, contingente. Il n’y a dans cet univers aucun dieu, aucun démiurge. Pas de création, pas de créateur. Il n’y a

recherché. La différence spécifique qui définit l'homme ou encore ce que l'homme est le seul à posséder désigne le propre de l'homme. La question « le travail est-il le propre de l'homme? » est paradoxale puisque l'homme n'est pas le seul être vivant qui puisse travailler, on pourrait même le comparer aux fourmis qui travaillent de manière collective. Toute fois, cette question est justifiée vu que l'homme est le seul à posséder une conscience et donc survit grâce aux capacités et au savoir-faire qu'il

Gabrielle Gretener / Gymnase de Morges/ A.-C. Dhaud" «La grande affaire et la seule quʼon doive avoir, cʼest de vivre heureux.» Voltaire Dans le film Into the Wild écrit et réalisé par Sean Penn, lʼacteur principal, Christopher McCandless joué par Emile Hirsch, qui vient dʼobtenir son diplôme décide de tout quitter du jour au lendemain pour partir seul à lʼaventure. Il dit que cʼest un moyen dʼatteindre le bonheur, un aboutissement de son existence. Tout au long du film il rencontre hommes et femmes