Peut On Voir Sans Regarder

une certaine crédibilité. Il est une certaine manière d’organiser mon champ perceptif, de le structurer et de lui donner une objectivité. Sans autrui, le monde perd toute objectivité. -Autrui me découvre aussi ce que peut être le monde. Il me permet de me rendre compte que le monde peut aussi être effrayant. Le visage d’autrui rend réelles des possibilités dont je n’avais pas conscience : « C’était cela autrui : un possible qui s’acharne a passer pour réel » Tournier -Deleuze, lui voit dans autrui

bouddha car il est au milieu de la photo, puis on peut dire que e question de taille c'est lui qui domine largement même a coté l'homme est petit et enfin le regard de l'homme comme je l'ai dis et vraiment porté sur bouddha. Puis a la particularité de cette photo c'est que dans cette exposition c'est l'une des seules voir la seule ou il n'y a pas de rivière ou de signe de pollution, le seul signe d’être humain qu'il y a sur cette photo est l'homme qui regarde la statue et les maisons en arrière plans.

Tout à commencer par des regards, des sourires... Tu sais dans cette fameuse école , on était assis sur ces marches là, on se regardait puis on riais, pourquoi ? Je n'ai pas la raison. Puis quelques mots échangés, des rires partagés. On ne se regarde pas, on se dévore. On plaît, et on en profite. Puis "juste pour rire" on s'envoient des messages. On se cherche. On se revoie et on se trouve... On fait ça pour s'amuser. Mais à un moment on se rend compte que des véritables sentiments sont en jeu.

Sans les oreilles? PREMIER GARDIEN. - Toi, tu n'as jamais d'idée, c'est pour cela que tu n'entends jamais rien et que tu ne vois rien. DEUXIÈME GARDIEN. - Je n'entends rien parce qu'il n'y a rien à entendre et je ne vois rien parce qu'il n'y a rien à voir. Notre présence ici est inutile, c'est pour cela qu'on finit toujours par s'engueuler. Inutile, complètement; les fusils, les sirènes muettes, nos yeux ouverts alors qu'à cette heure tout le monde a les yeux fermés. Je trouve inutile d'avoir les yeux

propre conscience » ce qui nous laisse entendre qu'à ses yeux les mots « nature » et « conscience » peuvent presque être permutés, ou sont au moins liés, puisque dans son texte il fait volontairement au début, la confusion entre nature et conscience, on peut même en déduire qu'il ajoute donc le terme « nature » à la définition de « vivre » qu'il fait peu après. Il explique que selon lui un « voile » est présent entre nous et notre propre conscience, mais que ce voile est plus ou moins opaque ou intense

long, et très lourd sommeil sentant une couette lourde sur moi avec l'air et la chaleur oppressante. Lentement je sortais ma tête de cette fournaise en accueillant avec joie l'air frais, sentant ma tête me tourner et mon visage bouffi de chaleur. Le regard vitreux je regardais autour de moi, remarquant que j'étais dans ma chambre et dans mon lit me demandant comment j'avais fini la... Mais alors que je me redressais je sentais une présence a coté de moi. Surprise je tournais la tête vers la silhouette

Dauphine (marie Stuart). Il s’agit donc d’un cadre brillant (idéal précieux). Tout semble parfait ainsi qu’en témoignent les termes valorisants « beauté » « air brillant » « admiration » « étonnement » ou encore « louanges ». Le but du bal est de voir et d’être vu. Nous avons ici une mise en scène caractéristique du classicisme, tout semble parfait : ex du soin porté aux parures. B – Une rencontre romanesque théâtrale : Cette rencontre a été préparée : Mme de Clèves a beaucoup entendu parler

montre les préparatifs ; de la ligne 3 à la ligne 13 où nous assistons à la rencontre ; le deuxième paragraphe constitue le troisième mouvement : les deux personnages sont au centre de tous les regards. Projet de lecture : En quoi cette scène de première vue, qui se déroule sous les regards de la cour, scelle d’emblée le destin des deux personnages ? Annonce des mouvements : Nous montrerons tout d’abord que Mme de Clèves se trouve en cette soirée de bal au sommet

cinéma: il peut tout dire, il est très ouvert: ouvert aux modes diverses, aux symboles, aux courants culturels et idéologiques, aux influences artistiques extérieures. Le cinéma importe ainsi des signifiés qu'il emprunte à d'autres langages comme la littérature, le théâtre, le gestus social, les modes vestimentaires... Celui qui veut analyser un film doit d'abord démonter l'importance de ces morceaux étrangers et, ensuite, se dégager de ces interférences codiques; en effet, on ne peut tout étudier

:vertu (force de caractère) gloire); ( homme : courage moral physique, maitrise d eson corp + esprit), société fondée sur le regard . Extrait 1 « Première rencontre » « Il parut alors une beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde, et l'on doit croire que c'était une beauté parfaite, puisqu'elle donna de l'admiration dans un lieu ou l'on était si accoutumé à voir de belles personnes. Elle était de la même maison que le vidame de Chartres et une des plus grandes héritières de france