Peut On être Indifférent Au Bonheur

scandalise. Sa force, sa liberté et sa verve suscitent malgré tout l’admiration, l’affection et même un grand amour. En 1910, les habitants du Chenal du Moine vivent paisiblement au rythme des travaux saisonniers, fiers de leur autosuffisance et indifférents au reste du monde. Cette quiétude séculaire sera bouleversée par un inconnu qui, un soir d’automne, vient proposer ses services à une famille du patelin. Sa vitalité et sa franchise plaisent tout de suite au patriarche Didace Beauchemin, qui accepte

c’était de vivre sans toi, et je crois que je le supporterais pas si je devais y repasser. Alors je me pose des questions, des tas de questions, qui restent, pour la plus part, sans réponses. Si tu savais à quel point j’ai peur, peur de revivre un bonheur si pur et de retomber de vraiment très haut après, peur que t’aies tout oublier. J’ai juste tout vécu avec toi ; je passerais ma vie à décrire chaque chose qui me ramène à toi, à nous, t’es partout, vraiment partout, c’est tellement impressionnant

Albert Camus écrivain dramaturge du XXe siècle conçu en 1942 le roman l’étranger. L’extrait étudié est dans la 2e partie au chapitre 4 de l’œuvre. Meursault est assis et reste indifférent à la plaidoirie de son avocat qui fait tout pour essayer de l’innocenter. Nous allons nous demander comment le plaidoyer de l’avocat de Meursault provoque son détachement. Pour cela nous verrons dans un premier temps que Meursault est étranger à son procès. Et pour finir le plaidoyer caricatural (grotesque)

connaissance de moi-même -L’amitié est-elle une forme privilégiée -Est-on d’autant plus libre qu’on est de la connaissance d’autrui ? indifférent au jugement d’autrui ? -Puis-je me mettre à la place d’autrui ? -Autrui est-il une limite ou une condition de ma liberté ? -Sans autrui, puis-je être humain ? -Qu’est-ce qu’un homme seul ? -Puis-je me passer d’autrui ? -Peut-on vivre sans les autres ? -L’expérience de la solitude favorise-t-elle la découverte de soi ? http://www.philocours.com/bac/Sujet/ficheautrui

connaissance de moi-même -L’amitié est-elle une forme privilégiée -Est-on d’autant plus libre qu’on est de la connaissance d’autrui ? indifférent au jugement d’autrui ? -Puis-je me mettre à la place d’autrui ? -Autrui est-il une limite ou une condition de ma liberté ? -Sans autrui, puis-je être humain ? -Qu’est-ce qu’un homme seul ? -Puis-je me passer d’autrui ? -Peut-on vivre sans les autres ? -L’expérience de la solitude favorise-t-elle la découverte de soi ? http://www.philocours.com/bac/Sujet/ficheautrui

dédie au Directoire un libelle dont l’argumentation reste plus actuelle que jamais. Se demandant si «l’état de société… a augmenté ou diminué le bonheur de la race humaine en général», il conclut que la question politique première est de savoir comment rendre la civilisation préférable à l’état de nature aux yeux de la grande majorité des êtres humains. Qui peut douter que ce sera là la question première du XXIe siècle également : comment éviter qu’une partie de l’humanité, rendue d’autant plus pauvre

militaire ? Dans quelle limite devons-nous rester loyale envers nos collègues ? Même si le principe de solidarité occupe une place primordiale dans ce milieu, il n’en demeure pas moins que chaque individu demeure libre d’agir selon ce qui lui semble être juste. De plus, le principe du respect négatif établi par Kant soulève, qu’en plus de devoir éviter d’heurter l’autonomie et la liberté des individus, nous avons l’obligation d’accorder du respect à notre personne et ainsi refuser la domination

met en avant l’intensité de cette horreur que le plus talentueux des écrivains ne peut décrire en y faisant justice. Nous laisser imaginer l’infamie, la monstruosité, la barbarie des camps de concentration, c’est nous laisser peindre notre propre tableau personnel, car un sujet d’une telle brutalité ne peut être réellement traité avec le sérieux qu’il mérite avec un scripte écrit par un indifférent. - Dit, tu dois être bien fier de toi avec un tel discours ! Tu vas me laisser répondre, au moins ?

vivant et plaisant a) La structure du texte Le récit ne présente pas de situation initiale le lecteur pourra imaginer son début. L’élément perturbateur « la femme du lion mourut », il est très court ce qui donne un rythme rapide au texte. Le lecteur va être emporte dans le récit de façon immédiate . Les péripéties montre que toutes les convocations des obsèques « on entendit à son exemple rugir en leur patois messieurs les courtisans » la dernière péripéties est la sentence du cerf. L’ élément de résolution

donné que rien n’a d’importance, puisque la vie est absurde. Après s’être révolté violemment contre les propos de l’aumônier et s’en être pris physiquement à lui, Meursault se retrouve seul dans sa cellule, la nuit précédant son exécution. Problématique : comment, à travers ce monologue intérieur, Meursault accède-t-il à la paix ? Et comment comprendre ce bonheur final ? I) Un passage lyrique A) La quiétude enfin retrouvée En cette fin de roman, Mt semble livrer pleinement ses sentiments et sensations