Peut On être Indifférent Au Bonheur

qu'aujourd'hui il est associé à la notion de bonheur. L'ancienne citation , « l'argent ne fait pas le bonheur » est maintenant suivie de « mais il y contribue ». Ce changement peut ainsi nous amenés à nos poser la question suivant : Le bonheur dépend-t-il de l'argent ? Afin d'y répondre nous nous interrogerons dans une première partie sur le rôle de l'argent dans la quête du bonheur pour , dans une deuxième partie en déduire la possibilité d'une illusion du bonheur donné par l'argent. Enfin dans une dernière

que : « chaque personne cherche naturellement à préserver sa vie », à la prescription où loi d'après laquelle : « chaque personne doit chercher à préserver sa vie ». On passe ainsi directement de l'observation d'un fait psychologique (dont on peut dire qu'il est « naturel ») à la formulation d'une obligation morale précise. Le raisonnement en question est très séduisant, probablement parce que tant la prémisse que la conclusion contiennent un élément important de vérité ; mais il n'est

d’une obligation (qui peut-être religieuse, éthique, sociale, etc.). Cette définition requiert d’être analysée. Dire que le devoir est un impératif est équivalent à dire qu’il est un ordre : en ce sens, il instaure une relation de commandement et d’obéissance. L’instance qui commande, ici le devoir, doit être dans une position « transcendante » par rapport à celui qui obéit ; elle doit s’imposer à lui et en aucun cas se confondre avec lui. Ce n’est qu’ainsi que le devoir peut se distinguer des simples

Corpus sur le bonheur… Un corpus sur le bonheur…pour les classes de Première Réalisé par Annelyse Mandon texte 1. Madame du Châtelet, Discours sur le bonheur, publié en 1779. Le Discours sur le bonheur d’Emilie du Châtelet pourrait être simplement l’exercice de grande intelligence d’une femme du XVIII° siècle éprise de connaissances, de sciences, traductrice de Newton, férue de mathématiques et de philosophie, ce qui déjà serait précieux, dès lors qu’il s’agit de l’entrée des femmes sur

- Une aspiration universelle : L'ensemble des hommes aspirent au bonheur , qui semble etre le bien supreme ; le bonheur semble dependre de la fatalité ou du hasard , ce qu'on appelle aussi la "fortune".De nombreux philosophes ont cherché a definir ce qui constitue ce bien supreme afin de decouvrir les moyens d'y acceder. L'accord est pratiquement unanime: le bonheur c'est un etat durable de complete satisfaction,d' harmonie avec soi-même et avec le monde .Les divergences surgissent lorsqu'il

abondamment développé, c'est l'affirmation d'une asymétrie essentielle entre le plaisir et la peine : le bonheur n'est jamais ressenti comme tel. Pourquoi cela ? Parce qu'un plaisir devenu quotidien n'est justement plus plaisant ; en d'autres termes, l'habitude fait décroître la jouissance. Un plaisir qui s'installe dans la durée devient une exigence normale de la vie, dont la présence ne procure plus de bonheur, mais dont la privation éventuelle se révèle douloureuse : celui qui s'est habitué à un train de

Doit-on rechercher le bonheur? La recherche du bonheur semble être universelle : tous les Hommes aimeraient le trouver, accéder à cet état de plénitude, de joie intense. Mais le définir reste complexe, cette notion est abstraite, si bien que l'on peut s'interroger sur sa recherche, le fait que les Hommes mettent tout en œuvre pour l'atteindre, alors que sa réalité même est contestée. N'est on donc pas à la recherche d'une utopie ? Le bonheur est il un devoir pour l'Homme? En effet la

bruits du jour mêle de saints concerts. Mais à ces doux tableaux mon âme indifférente N'éprouve devant eux ni charme ni transports; Je contemple la terre ainsi qu'une âme errante: Le soleil des vivants n'échauffe plus les morts. De colline en colline en vain portant ma vue, Du sud à l'aquilon, de l'aurore au couchant, Je parcours tous les points de l'immense étendue, Et je dis: -Nulle part le bonheur ne m'attend.- Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières, Vains

l'esclave de son délire. Mais pourquoi est-il délirant de prétendre qu'être libre, c'est voir tous ses désirs exaucés ? Le propre des désirs, c'est qu'ils peuvent être fort « téméraires » et s'écarter beaucoup de ce qui est raisonnable. Un homme qui voudrait s'élever dans les airs en battant des bras et qui se plaindrait de ne pas être libre, parce qu'il n'y parvient pas, ne serait effectivement pas libre, mais de sa propre faute ; un homme qui voudrait que les circonstances soient telles ou telles

le visage de Mlle Breil un air de satisfaction » ; « attendre avec une sorte d’impatience la louange qu’il me devait, et qu’il me donna en effet si pleine et entière et d’un air si content, que toute la table s’empressa de faire chorus »…etc. L’on peut aussi voir que tous les regards se concentrent vers le Valet, le narrateur est en effet au centre des regards, tout un champs lexical se fait autour de la vue : « pour la première fois je vis » ; «  mais ayant jeté les yeux sur moi » ; « il vit » ;