Phedre Le Regard

I/ Présentation du mythe Le mythe de Phèdre raconte l’histoire d’un personnage féminin qui se nomme Phèdre qui est la fille du roi de Crète Minos et de Pasiphaé. Elle est l’épouse de Thésée qui lui est un héros de l’attique, il est le fils d’Égée et d’Éthra et il est roi d’Athènes. Hélios, le grand père de Phèdre est touché par une malédiction envoyé par Vénus et qui va s’abattre sur toute la famille en commençant par Pasiphae la soeur de Phèdre qui tombe amoureuse d’un taureau et accouche du

Elle est désespérée et tente de se justifier - Construction de l’alexandrin 3-3//4-2 = empressement de Phèdre à avouer, motif du temps, de l’urgence (elle agonise)-On note aussi un recours à l'impératif avec "Écoutez moi ". Elle se dénonce brutalement avec l'accusatif "c'est moi" -Groupe Nominal avec attribut du sujet « moments chers » et allitérations M ;

Séquence 5 : Phèdre de Racine Correction du contrôle de lecture : Phèdre est un personnage de l'antiquité que Racine reprend au XVIIe siècle. Phèdre épouse du roi Thésée, roi d’Athènes, est amoureuse de Hippolyte, son beau-fils. Cet amour est une malédiction qui lui a était envoyée par Vénus à cause de son grand-père (le soleil) qui a éclairé les amours illégitimes entre Mars et Vénus. Donc Vénus se venge sur la famille de Phèdre. Phèdre est représenté pour la première fois en 1677. Phèdre est une

«  Echec et aveu dans Phèdre » Membre du groupe : Diecko Rica Meye Orith Flavia Mugunde Mbine Princess Issembe Lincey Professeur: Hallnaut ENGOUANG Plan détaillé Introduction I. L’échec des personages 1. L’échec de Phèdre 2. L’echec d’Hippolyte 3. L’echec d’Oenone II. L’aveu des personages 1. L’aveu de Phèdre à sa gouvernante 2. L’aveu de Phèdre à Hippolyte et à Thésée 3. L’aveu

> privilége du héros tragique] Avant même qu'elle ne paraisse sur scène, Phèdre se profile comme la victime exemplaire d'un silence imposé. Théramène, le premier, y fait allusion devant Hippolyte: «Phèdre, atteinte d'un mal qu'elle s'obstine à taire» (I, 1, v. 45). Plus loin, Œnone confie à ce même Hippolyte: «Elle meurt dans mes bras d'un mal qu'elle me cache» (I, 2, v. 146)2. Tout au long de la pièce, Phèdre hésite entre le mutisme et la confession. Au gré des événements et des pressions

Phèdre, Jean Racine (Acte IV, scène 6) INTRODUCTION Racine est le plus grand tragédien français avec Corneille. Après un premier succès avec Andromaque, il s’affirme contre le vieux Corneille qu’il supplante avec d’autres tragédies (Britannicus, Bajazet, Mithridate, Iphigénie en Aulide) : Phèdre constitue l’apogée de sa carrière dramatique. Vers la fin de sa vie et sur demande, il écrira encore deux tragédies bibliques, Esther et Athalie. Phèdre, écrite en 1677, est la tragédie la plus célèbre

de texte – PHEDRE Texte 3 : Phèdre avoue sa flamme à Hippolyte Introduction : Phèdre est une tragédie classique parue en 1677. C’est la dernière tragédie profane (qui n’a pas de sujet chrétien) de Racine. Ce texte se trouve à la scène 5, acte 2 entre les vers 671 et 711. Dans l’acte 1, Panope vient annoncer la mort de Thésée à sa femme Phèdre. Oenone pousse donc Phèdre à déclarer sa flamme à Hippolyte. Ici, C’est la déclaration d’amour de Phèdre à Hippolyte. En quoi l’audace de Phèdre la rend-elle

Analytique de l’acte III, scène 3 de Phèdre (v. 857 – 912) Introduction Nous sommes dans la scène où le coup de théâtre tragique, le nœud, va entraîner une culpabilité supplémentaire dans le cœur de Phèdre : Oenone, au début de la scène 3, au vers 3 (au centre exact de la pièce  = III, 3,3) annonce que Thésée n’est pas mort. Il va paraître très rapidement, dans la scène suivante, comme le héros qu’il est, mais aussi comme un juge capable de punir. Phèdre est donc en proie à un accablement qui

Texte 1 : Oral français PHÈDRE : Mon mal vient de plus loin. À peine au fils d’Égée Sous les lois de l’hymen je m’étais engagée, Mon repos, mon bonheur semblait être affermi ; Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s’éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient

Racine, Phèdre Acte II scène 5 (V670-711) Cette scène est le 2eme aveu s’adressant à Hippolyte après le texte précédent qui était pour Oenone. Cette scène est située dans la pièce apres fausse mort de Phèdre. Dans un premier temps nous traiterons l’aveu à Hippolyte puis ensuite la gradation de se souffrance. I) Aveu à Hippolythe. *tonalité douloureuse => -”injonctif “Ah..” (V671) -ponctuation énumératif. *exagération => “Cruel” (V671) * discourt lucide=> ”tu mas trop entendu”