Philippe IV le Bel

un préjudice de la loi Salique. La loi Salique est la loi des anciens Francs Saliens ( Ve siècle ). C'est un ensemble de règles de droit privé. Le principe de masculinité a été reconnu dans le royaume au début du XIVe siècle. A la mort de Philippe le Bel, il n'y a pas de fils pour succéder. On exclue les femmes puis l'exclusion des parents par les femmes. Cette règle on a cherché à lui donner une autre justification. Pierre Lescot a retrouvé le texte de la loi Salique en 1358. On a pris une

crises ont été nombreuses, la royauté a connu des alternatives de force et de faiblesse. L’institution royale s’est beaucoup accentuée depuis le XIVème siècle. Dès lors, l’accroissement du domaine royal s’accélère malgré des reculs passagers. Sous Philippe le Bel, la Champagne lui est incorporée. L’acquisition du Dauphiné par Charles V l’étend en terre d’Empire. Peu à peu d’autres terres s’acquièrent en terre d’Empire et au début du XVIème siècle s’y adjoint la Bretagne, l’un des derniers grands fief.

« lever deniers et espèce sur ses sujets ». Cette question de laisser au Roi la liberté de lever l’impôt est vivement contester au cours de l’histoire de la royauté française, notamment au cours du conflit de la décime entre Boniface VIII et Philippe le Bel, ou lorsque les Etats Généraux considère que le Roi se doit de demander l’avis du peuple avant de leur faire payer quel impôt qu’il soit. Le rôle de Roi implique également le pouvoir de « commander la guerre contre d’autres seigneurs souverains

pauvreté, d'obéissance et de chasteté. Ils abandonnent toutes leurs possessions et héritages. Les chevaliers Templiers partagent leur existence austère entre la prière et la guerre. Tragique fin de l'Ordre des Templiers Le 13 octobre 1307, Philippe le Bel fait arrêter tous les Templiers du royaume de France. Il s'agit d'une opération de police. Le 22 novembre 1307 le pape Clément V ordonne à son tour l'arrestation de tous les Templiers de la Chrétienté. L'accusation est mise sur pied par Guillaume

Fils de Philippe d’Artois, seigneur de Conches-en-Ouche, et de Blanche, fille du duc Jean II de Bretagne, tous deux descendants des lignées capétiennes. Il n'a que onze ans quand son père meurt le 11 septembre 1298 des suites des blessures qu'il a reçues à la bataille de Furnes le 20 août 1297 contre les Flamands. La disparition précoce de son père sera une des causes indirectes de sa mise à l'écart de la succession du comté d’Artois. Après la mort de son grand-père Robert II d'Artois à la

France l'année 1314 marque une année catastrophique. Les mauvaises récoltes commencent, la politique financière (les caisses sont vident) notamment fiscale du roi Philippe le Bel laisse mécontent ses sujets, tel que les grand seigneurs et les bourgeois. Ce dernier, veut accroître ses ambitions personnelles. Analyse: Le roi Philippe le Bel, fait assembler à Paris des membres du clergé, de la noblesse et des bourgeois. Il prend la parole pour faire part à ses sujets que la guerre mené contre la Flandres

ne plaisait bien sûr pas à tout le monde, surtout que l’ordre devenait de plus en plus riche au fil du temps. L’ordre serait bientôt assez puissant pour pouvoir bouleverser et influencer l’organisation du moyen âge. C’est pour cette raison que Philippe Le Bel, envieux des richesses des Templiers et de leurs puissance, a cherché à les dissoudre. Les templiers étaient devenus trop puissant et ils étaient sous le point de détrônée les rois. Il tenta de devenir le maître des Templier tout en restant le

sur ordre de Philippe le Bel, qui accuse les Templiers d'hérésie et de pratiques obscènes. Après quelques hésitations, le pape Clément V et les autres souverains chrétiens ne le soutiennent pas. À la suite d'un procès peu équitable, Jacques de Molay est exécuté en mars 1314 sur un bûcher dressé sur l'île aux Juifs à Paris. La fin dramatique de Jacques de Molay a inspiré légendes et fictions tournant en particulier autour de la malédiction qu'il aurait lancée contre Philippe le Bel et Clément V

l'exercice du pouvoir. Au Moyen Âge tardif, les mutations économiques induisent la création d'États modernes que l'Église n'a plus les moyens d'assujettir culturellement. Sur le terrain politique, cela se traduit par l'affrontement du roi de France Philippe le Bel et du pape Boniface VIII qui cherchent à affirmer la primauté absolue de leur pouvoir. En Italie, les luttes du Pape et de l'Empereur débouchent sur l'affrontement entre Guelfes et Gibelins du XIIe siècle au XIVe siècle. Ces tensions et conflits

France, c’est l’État qui fait les choses. Sur cet embryon d’État, dès le début du XIVème, on va trouver des légistes autour de Philippe le Bel dont le plus célèbre est Guillaume de Nogaret. Ce sont ces derniers qui vont forger certains principes juridiques dont «le roi est empereur en son royaume». Est aussi, à la même époque, créé un embryon de cour des comptes (sous Philippe V), et en 1322 une élite de financiers et de comptables, qui va être très utile. Administration purement parisienne jusque sous