Philippe IV le Bel

Urbain II lance les croisades, 1095 II- Le Moyen-âge Deux états important France et Angleterre. A- Philippe II Auguste Lutte contre l’Angleterre, L’Angleterre vole des territoires à la France (2 tiers) , Pavage des rue de Paris avec un caniveaux central, création des marchés, Murail de Paris. 1214 : Bataille de Bouvines, contre les anglais et les allemands B- Louis IX et Philippe IV Louis IX (dit Saint Louis) gouvernement très juste, fin des croisades, il y meurt. L’armé ramène une

Au XIIe siècle ( Le roi de France est – puissant et – riche que son vassal de Normandie = danger potentiel pour la dynastie capétienne. Le grand royaume capétien ( de 1180 à 1328 Particulièrement sous les règnes de Philippe Auguste, Saint Louis et Philippe le Bel = apogée du royaume capétien. ← + haut degré de l’expansion commencée avant l’an 1000 ← Fin du danger Normand XIIIe siècle = un monde plein (= forte expansion démographique) + expansion économique + expansion

Les progrès de la monarchie française de la fin du Moyen-âge à l’époque moderne Les progrès de la monarchie depuis le Moyen-âge et ses obstacles : Depuis les grands capétiens du XIIIe siècle (Philippe Auguste, saint Louis et Philippe le Bel), le roi de France est « empereur en son royaume ». Il tire un immense prestige de son sacre à Reims. Il est le « roi très chrétien ». Mais la monarchie a subi de dures épreuves, comme la guerre de Cent Ans (1337-1453) et les guerres de religion (1559-1598)

sommet du système féodale. A la fin du XIIème siècle en 1180, Philippe-Auguste monte sur le trône, avec lui s’ouvre une nouvelle phase dans la construction du pouvoir capétien tous ces prédécesseurs ont travaillé à s’imposer comme le suzerain et on passe d’un pouvoir qui s’est imposé au sommet de la hiérarchie féodale à un pouvoir qui va construire un état royale Section 3 : La construction de l’état royale (XIII-XV) Du règne de Philippe-Auguste à celui de Charles XIII La France comme la plupart

anticipé du fils d’Hugues Capet, la couronne est toujours passée de plein droit au fils aîné du roi défunt. Associé au trône et sacré du vivant de son père il apparaissait comme l’héritier naturel. Ce principe était si bien ancré dans les mentalités que Philippe Auguste n’éprouva même plus le besoin de recourir au sacre anticipé pour son fils. La règle de primogéniture ainsi établie, permit à la couronne d’être transmise sans heurt, assurant donc la continuité et la permanence de l’Etat. La question de la

car l’Empire romain avait aussi une vocation universelle donc cette conception est confortée. Cette reconnaissance de l’Eglise par l’autorité politique romaine a suscité quelques interrogations et problèmes. Les problèmes apparu avec le roi Philippe Le Bel (13ème et 14ème Siècle), problèmes qui s’expliquent par la conception chrétienne du pouvoir. A]. La conception Chrétienne du pouvoir Dans le monde romain païen, la question des rapports entre pouvoir politique et religieux ne se posait

la région. 18eme dynastie - Capitale Thèbes ; * Premiers heurts avec les Hittites et les Mitanniens.   -1520 * Chine des Shang   -1500 * les Olmèques   -1450 * Destruction de Cnossos capitale de la crète   -1372 * Aménophis IV Tente de supprimer le culte d’Amon pour le remplacer par le culte d’Aton. * Il change son nom en Akhénaton (fondateur du monothéisme il serait le fondateur de la grande fraternité blanche dont les chevaliers templiers et les rosicruciens se veulent

soit protestants, soit ultra catholiques (période de guerres de religions) qui considéraient comme légitime la révolte contre un roi se comportant en tyran et ne respectant pas la loi divine. Cela aboutira à l'assassinat d'Henri III en 1589, et d'Henri IV en 1610. Au 17ème siècle, il y a la Fronde. C'est la période de la minorité de Louis XIV. Tout à la fois les nobles, mais également parlementaires, hommes de loi ont prétendus jouer un rôle dans le gouvernement du royaume. Au 18ème siècle, il y a

prend la titulature de roi de France en 1340, dans la tourmente de la guerre de Cent Ans (1337-1453). En effet, il est, par sa mère Isabelle de France, le petit-fils Philippe le Bel, dont le dernier fils, Charles IV, est mort en 1328 sans héritier direct. Édouard conteste donc l’accession au trône de Philippe VI, neveu de Philippe IV par son frère, Charles de Valois, se déclarant plus légitime car issu de la branche directe de la filiation capétienne. En 1377, la Guyenne, et notamment Bordeaux,

en déshérence^2. Les Capétiens savent utiliser à leur profit les règles du droit privé : les mariages, les donations à la couronne, les achats permettent d'accroître le domaine royal. Ils utilisent également la force, c'est à dire les guerres. Philippe Auguste (1180-1223) entame le processus : l'étendue du domaine royal triple pendant son règne. Il confisque au roi d'Angleterre (Jean, déclaré félon dans une question matrimoniale) une partie de ses terres (Normandie, Anjou, Acquitaine) et étend