Philippe Magnan

Partie 1 : La bataille de France. En mai 1940, l’Allemagne attaque la France. La France n’a pas une optique offensive, mais défensive. Ce que n’accepte pas De Gaulle. En effet, celui-ci prône l’offensive et l’utilisation massive des chars. De Gaulle affronte les allemands, le 17 mai 1940, avec ses chars mais se fait battre, par manque de soutien aérien. Les chars français sont la proie des avions allemands, les Stuka (avion allemand, dont les pilotes, surentraînés et insensibles à la pression

1 EVALUATION    HISTOIRE  CM   Nom  :  …………………………….   Date  :  …………………………….   ……  /1   ……  /1   ……  /1   ……  /1   La  deuxième  guerre   mondiale   NOTE  : ……  /1   ……  /1   ……  /1   ……  /1   ……  /1   ……  /1   ……  /1   ……  /1   ……  /1   ……  /1   1  –  Qui  dirige  l’Allemagne,  dès  1933  et  veut  dominer  l’Europe

Les différents pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire sont entremêlés et ne sont pas indépendants. L’opposition est tolérée ou bannie et les droits de l’homme ne sont pas respectés. Le 11 juillet 40, Philippe Pétain promulgue trois actes constitutionnels. Le premier charge Philippe Pétain, maréchal de France, d'assumer les fonctions de chef de l'Etat français. Le deuxième donne les pleins pouvoirs au chef de l'Etat français. Quant au troisième, il ajourne jusqu’à nouvel ordre, le Sénat et

du nazisme. II ) De Gaulle prenant les reines de la résistance 1 ) La création du Conseil de Défense de l'Empire Annoncé comme l'organe de la France libre Sa composition : Général (Georges Catroux, Edgard de Larminat) Colonel (Philippe Leclerc), Gouverneur (Félix Éboué), René Cassin. 2 ) Des citoyens appelaient au combat et au sacrifice De Gaulle fais appel à tous les français hommes et femmes pour défendre la France de l'envahisseur. La récompense en vue étant la

Aurore Serrand L1 histoire Devoir du XXème s pour le 29/03/12 Exposé : LES FRANÇAIS SOUS L’OCCUPATION : Le général de Gaulle, à son entrée à Paris en août 1944, déclare «Vichy fut toujours et demeure nul et non avenu ». En effet, celui-ci refuse symboliquement de proclamer le rétablissement de la république comme-ci le gouvernement de Vichy n’avait

1000. Depuis le mariage de la reine de la France, Aliénor d'Aquitaine et du roi d'Angleterre, Henri II, ce dernier contrôle tout le sud-ouest de la France. Mécontent de cet acte, Philippe Auguste, roi de la France reconquiert la plupart de ces territoires de 1180 à 1214. Pour apaisir cette tension, le petit fils de Philippe, Saint Louis, signe la paix en 1259 avec Henry III d'Angleterre en restituant au royaume d'Angleterre la suzeraineté sur le Limousin, le Périgord, la Guyenne, le Quercy, l'Agenais

La crise du parlementarisme sous la IVème République La Quatrième République est le régime politique de la France d'octobre 1946 à octobre 1958. Elle s’inspire de la IIIème République, qui a été emporté par la défaire 1940. La rapidité de l’effondrement de la France succédant à un optimisme stupide ouvrit une crise morale profonde. Le pays avait le sentiment de payer les erreurs et les lâchetés d’un système incapable de gouverner, de prévoir et préparer la guerre, de lui insuffler l’énergie indispensable

antiques, et les décors de la seconde École de Fontainebleau, dont il assimile le style. C'est la réellement sa première école. Il essaye à deux reprises de se rendre à Rome, mais il échoue. Il retourne donc sur Paris où il fait la rencontre de Philippe de Champaigne et travaille par la suite avec lui. Il participera en particulier à la décoration du Palais du Luxembourg. Il effectue différents et brefs séjours dans les ateliers d'autres peintres. Il gagne sa vie avec ses quelques commandes. Il

replier pendant qu'il est encore temps, mais pour cela, il leur faut renoncer à l'honneur. Or, depuis plusieurs semaines Cantinier réclame au nom d'une France libre, un combat exemplaire. Un duel sur les ondes opposent Maurice Schumann pour Londres et Philippe Henriot pour Vichy. Pour l'honneur, Anjot décide de se battre même si il sait ce combat désespéré, il veut sauvegarder l'honneur en épargnant le plus de vie possible. Le combat débute alors. Le 25 mars, les chalets de Monthiévret sont détruits

qu’il faut cesser le combat. L’armistice est signé le 22 juin à Rethondes. Entre-temps, le 17 juin, le général de Gaulle, s’était envolé vers Londres, d’où il lance le lendemain un appel à continuer le combat. Face au désastre, Charles de Gaulle et Philippe Pétain incarnent donc deux conceptions opposées de la France dans la guerre. De Gaulle ne veut pas d’une France abattue, mais une France qui se bat et c’est dans cette conception là qu’il se différencie de Pétain. Ainsi, de Gaulle, lors de son discours