Phillips Academy

essaye de tendre vers le modèle de la physique mais, pb => on ne peut pas faire bcp d’expérimentation pour vérifier les lois. - En éco il n’y a pas vraiment de lois ( car elles ne sont pas vérifiées), on parle plutôt de paradigmes (ex : la courbe de phillips était une relation vérifiée entre 2 données, mais juste sur 10 ans) Qu’est-ce que la microéconomie ? Contrairement à la Macro qui s’intéresse aux grandes données (croissance , conso, l’I et l’emploi) , la Micro étudie la décision des individus, leurs

l’objet de développements propres. Une autre lacune que l’on vise à combler est l’hypothèse de prix fixes caractérisant les premiers modèles IS-LM. L’introduction de la courbe de Phillips permet de la combler. Le pas supplémentaire, accompli ultérieurement par Samuelson et Solow, sera d’affirmer que la courbe de Phillips offre un menu de politique économique, l’économiste pouvant faire valoir à l’homme politique que des augmentations de l’emploi sont possibles pour autant qu’en contrepartie un certain

. . . . . 2 La Courbe de Phillips 2.1 Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2 Inflation, Inflation anticipée et chômage : microéconomie de la Courbe de Phillips . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.3 La courbe de Phillips . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.3.1 La courbe de Phillips originelle : les années 60 . . . . . . . . 2.3.2 Les modifications apportées à la Courbe de Phillips : les années 70 . . . . . .

modèles et à la dynamique de création et de maintien d'institutions essentielles, comme les marchés, la monnaie. Partie de relations très simples, à l'image du modèle IS/LM reliant le marché des capitaux et celui de la monnaie ou de la courbe de Phillips reliant inflation et chômage, la macroéconomie a évolué vers la construction de modèles économiques complexes incluant à la fois des relations supposées entre variables et des relations comptables servant à définir les agrégats. Très utilisés pour

simultanément ces résultats, mais dans la vision keynésienne l'État est capable de faire des miracles. Implications À partir de ce carré se dégagent deux relations importantes en macroéconomie : * La relation entre l’inflation et le chômage (courbe de Phillips). Si le taux de chômage est faible, le taux d'inflation sera élevé et vice-versa. * La relation entre la croissance économique et le chômage. Invariablement, plus la croissance est forte et plus le chômage baisse (loi d'Okun). Cependant, ces

cas particulier de la théorie néoclassique : c’est la naissance du modèle IS-LM. Dans cette interprétation, la pensée keynésienne est réduite à un ajustement par les quantités plutôt que par les prix, à une offre de monnaie exogène, à la courbe de Phillips, à une validité qu’en période de sous-emploi. Cette interprétation a été à l’origine des politiques menées dans les pays développés de la fin de la Seconde Guerre mondiale jusqu’aux années 70. L’origine

part de marché à l’exportation et augmentation de la pénétration des importations => effets néfastes sur système productif et sur l’emploi du pays. - Augmentation du taux des prêts à taux variable. - Inflation et chômage, la courbe de Phillips : À CT : dilemme inflation-chômage pr les gvts.  Les gouvernements s’appuient sur les idées développées par les keynésiens, une réduction du chômage entraîne une accélération des salaires nominaux et une augmentation de l’inflation. Obtenir

 Brefs rappels sur la Courbe de Phillips La relation de Phillips Introduction Dans les dernières décennies, les analyses économiques se sont largement préocupées du problème de la recherche du plein-emploi et de la stabilité des prix (absence d’inflation). Les politiques économiques inspirées du cadre IS-LM ont supposé au départ que les prix pouvaient être considéré comme

nous allons donc étudier ici les effets d’une politique inflationniste à court terme sur l’économie Tout d’abord, il existerait une relation décroissante empirique entre taux de chômage et inflation. Cette relation est traduite par la courbe de phillips mise en évidence, à partir des travaux de ce dernier sur l’effet produit par la variation des taux de salaires nominaux sur le chômage, par Samuelson et Solow. Ainsi alors que le taux de chômage en France (9.3 au dernier trimestre) par exemple est

modèles et à la dynamique de création et de maintien d'institutions essentielles, comme les marchés, la monnaie. Partie de relations très simples, à l'image du modèle IS/LM reliant le marché des capitaux et celui de la monnaie ou de la courbe de Phillips reliant inflation et chômage, la macroéconomie a évolué vers la construction de modèles économiques complexes incluant à la fois des relations supposées entre variables et des relations comptables servant à définir les agrégats. Très utilisés pour