Philosophiæ doctor

chaire de mathématiques. En 1672, il entre à la Royal Society de Londres suite à la fabrication d'un télescope à miroir sphérique dépourvu d'absurdité chromatique. Il publie plusieurs ouvrages comme Opticks, en 1675  mais son œuvre majeure est le Philosophiae naturalis principia mathematica paru en 1687, qui marque le sommet de ses pensées et les Principia marquent les débuts de la mathématisation et de la physique. Ses exemplaires traitent l’égalité de l'action et de la réaction, le principe d'inertie

ouvrage envoyé à Edmund Halley en 1684. En français : Du mouvement des corps, Gallimard, coll. « Tel », Paris, 1995. De gravitatione et equipondio fluidorum. En français : De la gravitation, Gallimard, coll. « Tel », Paris, 1995. Philosophiæ Naturalis Principia Mathematica, Londres, 1687, 2e éd. 1713, 3e éd. 1726. Opticks, Londres, 1704. Il s'agit d'un ouvrage majeur dans l'histoire des sciences, traitant de la lumière et de sa composition. En français : Optique, Christian Bourgois

Émilie du Châtelet (1706-1749 ) Émilie Le Tonnelier de Breteuil, plus tard marquise du Châtelet, naît à Paris le 17 décembre 1706. Figure singulière du «Siècle des Lumières», première femme au monde à se vouer aux sciences, Émilie appartient à la riche noblesse de robe. Son père lui donne, fait rare, la même éducationqu'à ses garçons Elle vit quelque temps à Semur-en-Auxois dont son époux est gouverneur, et y rencontre le mathématicien Marcel de Mézières Elle s'initie par ailleurs aux travaux

serviront souvent de base aux scientifiques. Ses livres et publications Son œuvre maîtresse parut en 1687. Il publie les « Principes mathématiques de philosophie naturelle ». Le scientifique britannique rassemble toutes ses recherches dans ses "Philosophiae naturalis principia mathematica". Parmi les nombreuses études qu’il y décrit (principe d’inertie, mouvement des fluides…), il y expose sa très célèbre théorie de l’attraction universelle, décrivant la gravitation comme une force responsable de

à la géométrie de trouver l’expression de l’accélération θ g Figure 2.2 – Projection de l’accélération sur le plan incliné. a = g sin ◊. 2.2 (2.1) Les deux premières lois de Newton La figure 2.3 présente un extrait des Philosophiae Naturalis Principia Mathematica de Newton 1 où il présente ses trois lois du mouvement. Les deux premières lois peuvent se résumer ainsi : Première loi ; si aucune force résultante ne s’exerce sur un corps, la vitesse de ce corps ne peut pas

même force. Newton explique par cette même théorie le phénomène des marées, comprenant que celles-ci sont dues à l'attraction de la lune et du soleil. Toutes ces découvertes, Newton les publie en 1687 dans un ouvrage devenu célèbre: "Philosophiae Naturalis Principia Mathematica" (Principes mathématiques de philosophie naturelle). Troisième partie : Influence Newton a inflencé le developpement des sciences physiques. Durant 2 siecles suivant la publications des Principia, les scientifiques

universitaires, et en 1669 l'élève succède au maître à la chaire de mathématiques. En 1672, il entre à la Royal Society de Londres suite à la fabrication d'un télescope à miroir sphérique dépouvu d'aberration chromatique. L'oeuvre majeure de Newton est le Philosophiae naturalis principia mathematica paru en 1687, qui marque le sommet de la pensée newtonienne. Les Principia marquent les débuts de la mathématisation de la physique. Ils comportent tous les fondements principaux de la mécanique classique : égalité

derniers examens universitaires, et en 1669 l'élève succède au maître. En 1672, il entre à la Royal Society de Londres suite à la fabrication d'un télescope à miroir sphérique dépourvu d'aberration chromatique. L'œuvre majeure de Newton est le Philosophiae naturalis principia mathematica paru en 1687, qui marque le sommet de la pensée newtonienne. Les Principia marquent les débuts de la mathématisation de la physique. Ils comportent tous les fondements principaux de la mécanique classique : égalité

reflexion qu'il a appeler telescope de Newton. Il crai beaucoup de chose, en mecanique comme les trois lois universelles du mouvement, en mathematique: le théoreme du binome qui permet de trouver une racine Il ecrit un ouvrage qui sappelle : Philosophiæ Naturalis Principia Mathematica qu'il ecrit en 1686 et qui est considéré comme une œuvre majeure dans l'histoire de la science.* Newton découvrit la loi universelle de la gravitation ou de l'attraction universelle en tant que cause des mouvements

l’invention d’une branche des mathématiques nommée calculus (calcul différentiel et intégral, également développé par le mathématicien Allemand Gottfried Wilhelm Leibniz). Newton a exposé ses idées dans plusieurs publications, et deux d’entre elles, Philosophiae Naturalis Principia Mathematica (Principes mathématiques de la philosophie naturelle, en 1687) et opticks (traité d’optique, en 1704) sont considérées parmi les plus grands travaux scientifiques jamais réalisés. Les contributions révolutionnaires