Philosophie des sciences

né la Philosophie qui a pour objectif d’aller à la recherche de toutes choses, de leurs compréhensions afin de trouver la vérité. C’est une discipline qui veut expliquer la totalité des choses, c’est-à-dire toute la réalité et non une partie, mais une explication purement rationnelle selon l’argument de la raison. Comme dit Aristote, son origine se trouve dans l’étonnement face à ce qu’on ne connait pas et elle est l’effort pour se libérer de l’ignorance. Il y a aussi la théologie, une science qui

 Aujourd’hui ! La philo, pourquoi faire ? Pour le commun des mortel la philosophie représente bien souvent cette espèce de refuge auquel l’on a recourt l’orque l’on est aux prises avec les difficultés de la vie . Mais jamais si l’on viendrai a l’idée que le philosophe peut être outil d’exception pour ‘’ dénouer l’écheveau que représente la complexité du monde’’ Ainsi la philo passe respectivement du ‘blabla’ a l’examen des problèmes les plus complexes .en réalité la philo

INTRODUCTION A LA PHILOSOPHIE Damien Theillier www.nicomaque.com 1° La situation de la philosophie aujourd’hui a) Philosophie et histoire La philosophie est la moins utile des sciences, contrairement aux autres connaissances scientifiques et techniques, elle ne comporte pas d’applications notables, ni de véritable progrès. Les sciences, en tant qu’elles libèrent des nécessités naturelles paraissent contribuer plus efficacement que la spéculation philosophique à la libération effective de l’humanité

par cœur du Coran, à laquelle s'ajoutent la grammaire, la poésie, les mathématiques et l’apprentissage de l’écriture. Averroès étudie avec son père le hadith et le fiqh, puis, plus tard la philosophie et les sciences. Averroès élargit l’activité intellectuelle de son milieu familial en s’intéressant aux sciences profanes : physique, astronomie, médecine. À l’issue de sa formation, c’est un homme de religion féru de savoirs antiques et curieux de connaître la nature. Le calife Abu Yaqub Yusuf lui

Qui vient du latin : « scientia » et qui signifie : « connaissance ». La science c’est ce que l'on sait, ce qu’on a appris, ce que l'on tient pour vrai, c’est l'ensemble des connaissances, des études d'une valeur universelle, caractérisées par un domaine et une méthode spécifique, et fondés sur des relations objectives (sans jugements personnel,impartial) et surtout vérifiables. Les communautés savante, garante des sciences, produisent des expériences scientifiques à partir de méthodes d'investigation

contenue dans les significations déjà disponibles. III. Les conséquences touchant la philosophie phénoménologiqueLa phénoménologie est déjà philosophie : la philosophie doit réfléchir sur la conception de l'objet et du sujet tels qu'ils apparaissent à la révélation phénoménologique au lieu de leur substituer le rapport de l'objet au sujet tel conçu dans une philosophie idéaliste de la réflexion totale (sujet comme conscience constituante transparente devant

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La science peut-elle tenir lieu de la sagesse? La science, c'est l'activité qui consiste à étudier et analyser les lois qui régissent de phénomènes nous entourant. C'est l'ensemble des connaissances , permettant la prévision. C'est un ensemble de vérités établies à l'aide de déductions et vérifiées par l'expérience. La sagesse quand à elle est l'expérience de l'act et la maitrîse de plusieurs techniques, c'est la connaissance, la vertu et un comportement juste et raisonnable qui permet à l'homme

parallèlement ses activités d'enseignant et sa carrière littéraire, les deux lui apparaissant indissociables. En tant qu'écrivain, il se sent en effet investi d'une mission pédagogique au meilleur sens du terme. Pour Jostein Gaarder, enseigner la philosophie aux enfants et aux jeunes gens est une nécessité urgente. C'est seulement si nous situons nos brèves vies dans la perspective globale de l'humanité que nous pouvons supporter l'idée de la mort. Il tente de combattre cette idéologie qui consiste

activité, dans laquelle il s'est lui-même illustré, en remontant à ses origines. Fille de l'étonnement, la philosophie se distinguerait, selon lui, des autres activités par sa liberté, en tant qu'elle serait à elle-même sa propre fin. Nous verrons, après avoir étudié l'argumentation d'Aristote, la justesse mais aussi le caractère trop abrupte peut-être d'une telle conception de la philosophie.   On comprend qu'Aristote soucieux, à la suite de Platon, de promouvoir l'activité philosophique, se soit