Philosophie L Art Nous éloigne T Il Du Réel

_ 8 création est le fruit d ’un travail (Niet zsche) __________________________________________ 9 créateur selon la psychanalyse (Freud) ______________________________________________10 création art istique est un acte de communication ______________________________________11 création et la réception art istiques s elon Nietzsche _____________________________________11 II. Les fins de l’art _________________________________________________________ 12 Introduction : La diversité des sentiments

l’art ne doit pas être ethnocentriste entre 2000 et 8000 av. J-C • Au commencement : - L’art naît avec la naissance de l’homme. - L’homme manifeste très tôt le besoin de faire et produire de l’art. - L’art = Reproduction du réel. • Les 1ères manifestations du géni humain qui soient parvenues, étaient pour la plupart, pierre. • On parle des pierres taillées et des pierres polies. Pierre taillée = simple galets aménagés, c'est-à-dire

recélaient pas une vérité humaine suffisante dans la dénonciation des erreurs du temps. Elles manquaient surtout de la force d'indignation ou d'enthousiasme, leur enlevant tout éclat pour leur permettre de durer et de continuer à nous émouvoir. En fait le réel est souvent absurde et sans beauté. L'art lui donne un sens. L’ironie de Voltaire volontiers simplificatrice vient piquer notre intelligence. D’abord amusés, puis révoltés par tant de sottise, nous ne pourrons plus oublier les malheurs de Candide dans

En février 1759: date de publication ( 20.000 exemplaires vendus) Critique des injustices et des excès de son époque Sujets traités: théologie, philosophie, morale, politique, art, etc.... Conte philosophique qui tient aux effets de la satire, de la parodie et de l'ironie. Dans Candide, Voltaire préfère provoquer le rire ( au lieu de l'émotion) pour dénoncer les travers de ses contemporains. Ce conte philosophique s'interroge sur la question de l'Homme face aux catastrophes naturelles, aux guerres

  Le réalisme (1848-1865) caractérise une attitude de l’artiste face au réel. Il définit un type de littérature qui veut représenter le quotidien, au plus près du vécu, en puisant dans les choses vues sans omettre le banal. Il existe des formes artistiques et littéraires de réalisme dès l’Antiquité. Ainsi, le mouvement réaliste qui débute à partir de 1848 n’est qu’une tentative parmi tant d’autres de traduction du réel. Il est historiquement fondé sur la volonté d’affronter le contemporain, le

t- il quelque chose que le langage ne puisse dire? Peut-il y avoir une pensée sans langage? Un ineffable ne pouvant être exprimée par des paroles et possédant cependant un contenu psychique réel? En somme, qu'elle est la valeur de l'ineffable? La fonction essentielle du langage est selon Hegel dans La Philosophie de l'Esprit de tirer l'esprit du monde complexe et confus que lui présente la perception brute et de le faire accéder à un monde plus intellectuel, purifié , celui des mots. Il défendra contre

L’Art INTRODUCTION :  Le concept d'art a évolué au cours des siècles :  étymologiquement, « art » renvoie au latin « ars », traduction du grec « technê » qui désigne l’ensemble des productions humaines, artificielles. L’art regroupe donc à la fois l’artisanat, la technique et les beaux arts. Il est l’ensemble des activités de production par lesquelles l’homme s’oppose à la nature. On peut alors se demander ce qui distingue l’artiste de l’artisan : l’artiste n’est-il qu’un technicien ? L’artisan

PHILOSOPHIE. UNE ŒUVRE D’ART EST-ELLE UTILE ? Folcher Lenka. TL. ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- I. L’Art est inutile d’un point de vue fonctionnel. A. La société à la recherche de l’utilité. L’art ne sert à rien. Il n’a aucune fonction utile, c’est la société qui le rend utile, qui le veut utile

tient à bonne distance du monde réel empêtré dans de belles – ou moins belles – paroles qu’il énonce en vain. « Philosophie platonique », une espèce de pléonasme pour beaucoup. Platon aurait, le premier et définitivement, scellé le sort de la philosophie. Et nous le voyons, errant dans le ciel des Idées, telle une ombre, fidèle en cela à nos idées reçues – du langage. Enseigner Platon, c’est alors lui redonner corps – et par là redonner corps à toute la philosophie : refuser de le faire errer parmi

1) Les distinctions traditionnelles entre le désir et le besoin L'homme n'est pas complètement « auto-suffisant », il peut lui manquer des biens ou des plaisirs. On oppose souvent le besoin comme nécessaire, naturel, objectif, déterminé, réel, au désir qui serait superflu, artificiel (luxe), subjectif, indéfini (insatiable), imaginaire (on peut même désirer des choses impossibles). Mais on peut aussi désirer ce dont on n'a pas besoin, voire ce qui est nocif (indigestion, épuisement)