Philosophie naturelle

UE 1.3 Concept en philosophie et éthique Philo vient du grec aimer Sophia vient du grec sagesse Les soignants doivent sans cesse repenser leurs pratiques afin de s’améliorer. Il faut penser sa pratique pour être responsable de ses actes. «Je soigne 1 personne et non 1 des organes » Soi-niant# humain Le soignant doit penser par lui même afin de ne pas agir comme une machine On doit rendre le patient conscient

I / L’apologue, dans un sens, est une forme d’argumentation efficace. 1) Les avantages de la fiction =>plaire au lecteur, c’est un récit simple et naturel. =>l’éloignement temporel et spatial permet de confronter des points de vue étranger. =>grâce à la fiction le lecteur ne se sent pas directement visé lorsque l’auteur cherche à le critiquer. C’est un moyen de ne pas indigner le lecteur. En ce sens l’apologue est libre de critiquer ou de se moquer de la société dans laquelle on vit, ce

éviter la souffrance il faut éviter les sources de plaisir qui ne sont ni naturelles ni nécessaires. Il ne prône donc nullement la recherche effrénée du plaisir, comme beaucoup le pensent à tort. Cette vision erronée, favorisée il est vrai par des personnes comme Horace, qui se définissait lui-même comme un « petit cochon du jardin d'Épicure », a été soulignée par l'Église catholique, qui rejetait le matérialisme de cette philosophie. Pour les stoiciens il ne faut pas désirer pour être heureux dans

convaincante, malgré le fait que nous puissions à notre tour en donner une et faire avancer le débat, contre ceux qui, comme Chihara, voudraient le clore en faisant taire le point de vue de Wittgenstein. Aux §§ 1096-1097 du volume 1 des Remarques sur la philosophie de la psychologie on trouve une discussion fort intéressante, datant de 1947, de l’article « On Computable Numbers with an Application to the Entscheidungsproblem » de Turing (Turing 1936-7), avec en prime une allusion à A. G. D. Watson : 1096

fanatisme, guerre, hommes, jésuites, juif, ignorance, inquisition, liberté, martyrs, miracles, philosophie, providence, religion, style, superstition, supplice, tolérance, tragédie. Au nom de la raison et de la tolérance, l'auteur dénonce la métaphysique d'école, l'absurdité des religions, l'historicité des livres saints, les abus politiques et sociaux, les erreurs judiciaires, et défend la «loi naturelle» et le déisme comme les seuls fondements de l'humanité. Condamné en 1765 par le Parlement et

DIALECTIQUE ET DIALOGUE Author(s): Ch. Perelman Source: Les Études philosophiques, No. 3, LA DIALECTIQUE: Actes du XIVe Congrès des Sociétés de Philosophie de Langue française (Nice, 1-4 septembre 1969) (JUILLET-SEPTEMBRE 1970), pp. 333-338 Published by: Presses Universitaires de France Stable URL: http://www.jstor.org/stable/20845813 . Accessed: 24/01/2014 16:20 Your use of the JSTOR archive indicates your acceptance of the Terms & Conditions of Use, available at . http://www.jstor.org/page/info/about/policies/terms

Exposé sur les Tarahumaras. I. Espace 1. Place de l'espace dans la philosophie / mode de pensée des Tarahumaras : Pour les Taharumaras : Espace = matérialisation naturelle des signes c-a-d : les choses naturelles sont des signes matérialisés c-a-d : Voir les choses, c'est voir les signes or chaque signe fait appel à l'infini car il fait appel à une abstraction pour évoquer une part de la réalité conclusion : « Voir les choses, c'était voir l'infini » p33 Le rite du Peyotl. Donc, quelle est la place

est pour Candide l’illustration des leçons de Pangloss, dont il utilise le lexique pour analyser ce qu’il voit : « le meilleur des mondes » l.158, « la raison suffisante » l.160, « des effets et des causes » l.166. La philosophie cautionne la guerre, celle-ci est dans l’ordre naturel des choses II. Une pause pathétique 1) Les victimes : une vision réaliste de l’horreur - Impression de chaos : « mort », « mourants », « mourir », « donner la mort » l.167 à 174 - Des participes

s’imposant irrémédiablement à l’homme. Au sens commun, le fatalisme désigne par conséquent la croyance en la détermination des événements (prédéterminisme) par des causes indépendantes de la volonté humaine, qu’il s’agisse de Dieu, de la nécessité naturelle ou des lois gouvernant l’histoire. En une moindre mesure et dans un registre moins philosophique, peut être fataliste celui qui se sent voué à l'échec, qui laisse le destin suivre son cours, abandonne un combat, quitte une situation délicate, se

est un exercice bien particulier (typiquement français et assez ancien) qui répond à des règles précises qu'il faut bien sûr connaître et s'efforcer d'appliquer… Ceci exige avant tout la maîtrise d'une méthode (il n'est donc jamais question en philosophie d'être inspiré ou non par un sujet, il s'agit toujours de l'application plus ou moins maîtrisée d'une méthode). C'est un exercice avant tout formel, ce qui signifie qu'on y juge des qualités d'expression, de construction et d'argumentation,