Phospholipase C

(dégradation de protéines, dégradation des structures cellulaires et tissulaires de l'hôte, dégradation du système immunitaire). Leur expression dépend du pH, de la localisation de C. albicans et de sa forme morphologique6. C. albicans possède encore des phospholipases (A, B, C et D) et des lipases (1 à 10). Traitements utilisés contre C. albicans Les antifongiques utilisés actuellement ont de nombreuses cibles: la paroi cellulaire, la membrane plasmique, la sythèse de l'ergostérol, l'ADN, l'ARN... Ces antifongiques

WRKY). Protéases comme SAG12 chez Arabidopsis :Protéase à cystéine Chlorophyllase : impliquée dans la dégradation des chlorophylles Phospholipase (SAG 101) libère de l’acide oléique à partir de trioléine. La désorganisation des membranes pendant la sénescence résulte en partie de la dégradation des lipides membranaires par différentes enzymes comme la phospholipase D, la lipoxygénase. Cette dernière enzyme donne lieu à la formation de radicaux libres : oxygène singulet, radical superoxyde très

protéine-G devient activée. La molécule GDP est phosphorylée: on lui rajoute un groupement phosphate. Elle devient donc GTP. Elle et la sous-unité α se dissocient alors du reste de la protéine-G (la sous-unité βγ) et vont se fixer à une protéine nommée phospholipase C. Cette protéine devient alors activée et prend des molécules de Phosphatidyl inositol 4,5-bisphosphate (PIP2) pour les scinder. Cette dissociation libère du diaglycérol ainsi qu'un messager, l'inositol 1,4,5-trisphosphate (IP3). L'IP3 est un

ailleurs se développer dans de nombreux aliments cuits et mal réfrigérés, les conserves de pommes de terre et de légumes, la viande hachée, les saucisses, les poudres de cacao, les potages etc... et y excréter une phospholipase C. La choline phosphorylée résultant de l’action de la phospholipase est à l’origine, après consommation de l’aliment dans lequel elle a été formée, des signes cliniques de la toxiinfection. On peut alors supposer qu’il existe un grand nombre de bacilles dans l’aliment (plus

la MCLR ou de la MC-YR (10 μg.kg-1) ont été observées chez le rat (Milutinovic et al. 2003). Les effets sont en général plus importants avec la MC-LR qu’avec la MC-YR. Les altérations de la physiologie rénale semblent impliquer les voies de la phospholipase A2 et de l’acide arachidonique (Nobre et al. 2003). Des souris femelles BALB/c âgées de six semaines ont reçu pendant 18 mois 20 μg.L-1 de microcystine-LR dans l’eau de boisson. La quantité moyenne ingérée a été estimée à 35,5 μg par souris. Aucun

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2010). De même, elle peut être induite de facon réversible, par un traitement du parasite par l’éthanol, déjà connu pour induire la sécrétion des micronèmes. La cascade d’induction qui conduit à l’extrusion du conoïde passe par l’activation de la phospholipase C, la libération de calcium intracellulaire par des canaux sensibles au phosphatidyl inositol (3) phosphate. Les filaments d’actine ainsi que la myosine du parasite mais pas ses microtubules sont mobilisés. A l’inverse, l’extrusion du conoïde peut

diamètre varie de 0,05 à 0,5 µm et qui contiennent environ 40 enzymes hydrolytiques différentes responsables de la digestion intracellulaire des macromolécules. Il s'agit en fait d'hydrolases acides (protéases, nucléases, glycosidases, lipases, phospholipases, sulfatases et phosphatases) emballées par la membrane lysosomale à l'écart des macromolécules cytoplasmiques. Ces hydrolases requièrent un environnement acide pour que leur activité lytique soit optimale. C'est ainsi que les lysosomes maintiennent

facilitent la libération d’hydrolases lysosomiales par les cellules de l’épithélium ovarien. L’ovulation fait intervenir des composés impliqués dans les réactions inflammatoires: - La bradykinine qui stimule la synthèse de PGF2α en activant une phospholipase A2. - Les leucotriènes (métabolites de l’acide arachidonique) - L’histamine Le mode d’intervention des leucotriènes et de l’histamine n’est pas connu. La décharge ovulante de LH/FSH induit à la fois la rupture du follicule, l’ovulation et

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