Phosphorylation oxydative

pression partielle de l’oxygène (PO2) n’est inférieure à 2mm Hg, soit 4 à 20 fois plus que la “PO2 critique“ (Connett et coll., 1984). En effet, dans la cellule musculaire, la PO2 minimale nécessaire pour assurer une activité maximale de la phosphorylation oxydative (filière aérobie) est inférieure à 0,5 voire à 0,1 mm Hg. • Au cours de l'exercice, les concentrations de lactate musculaire s'élèvent alors que dans les veines le pourcentage de saturation de l'hémoglobine en oxygène est encore très important

cycle de Krebs ? • Production d’une seule molécule riche en énergie : un GTP convertible en un ATP • Production de H+ et d’e- transportés par les coenzymes à la chaîne respiratoire qui fournira de grandes quantités d’ATP au cours de la phosphorylation oxydative. • Production d’intermédiaires servant à la synthèse de protéines Chaîne respiratoire mitochondriale • 5 complexes : – CI : NADH-ubiquinone oxydoréductase (ou NADH déshydrogénase) – CII : Succinate-ubiquinone oxydoréductase –

et ainsi se forme du 
NADPH + H+, un accepteur et transporteur d’électrons. Une énergie va être libérée par les transports d’électrons et va permettre la production de l’ATP à partir de phosphate et de l’ADP, c’est ce principe que l’on nomme phosphorylation. Cette phase produit en moyenne la même quantité de molécules d’ATP que de NADPH+H+, ils seront utilisés au cours de la phase sombre. Schéma de la phase claire La phase sombre Cette phase ne nécessite pas la lumière pour avoir lieu mais ne

CONVERSION ÉNERGÉTIQUE (Mitochondries et Chloroplastes)  1. Comparez les propriétés des membranes mitochondriales interne et externe,  l’espace intermembranaire et la matrice.  2. Expliquer brièvement comment le cycle de Krebs joue un rôle crucial entre la  glycolyse et la phosphorylation oxydative.  3. Décrivez comment le passage des électrons dans la chaîne respiratoire permet  de générer un gradient de protons.  4. Énumérez quelques fonctions des mitochondries.  5. Décrivez la structure du chloroplaste. En quoi l’organisation de ses membranes 

plusieurs fois sur une longue période. plusieurs fois sur une période de temps assez longue.En plus de cette régulation au niveau de la transcription, la protéine nitrate réductase est sujette à une modification post-traductionnelle impliquant une phosphorylation réversible. La lumière, les niveaux d'hydrates de carbone et d'autres facteurs environnementaux stimulent une protéine phosphatase qui déphosphoryle un résidu sérine clé dans la région charnière 1 de la nitrate réductase (entre le complexe de

certaines protéines d'origine mitochondriale. La membrane interne forme des invaginations qui apparaissent sous forme de crêtes ou replis au microscope électronique. Ces crêtes augmentent la surface de la membrane et donc la capacité de phosphorylation oxydative. Grâce à cette caractéristique on peut déduire que si une mitochondrie possède beaucoup de crêtes c'est que la cellule a besoin d'une grande quantité d'énergie et donc elle pourra produire plus d'ATP (cellule en activité). On retrouve également

aérobie. La respiration cellulaire aérobie se déroule dans les mitochondries, elle nécessite la présence d'oxygène et fait intervenir une suite de réactions complexes (cycle de Krebs - chaîne respiratoire de transport d'électrons) appelée phosphorylation oxydative. La glycolyse aérobie présente unrendement énergitique très élèvé: 38 molécules d'ATP Il existe trois voies de la régénération de l'ATP La voie anaérobie alactique: régénération de l'ATP grâce à des réaction chimique qui ne nécessitent pas

Les quatre types de système de transport décrits chez les bactéries. p. 57 Figure 12 : Les mécanismes de transport secondaires décrits chez les bactéries. p. 59 Figure 13 : Organisation générale du PTS chez Bacillus subtilis. p. 63 Figure 14 : Phosphorylation d’HPr PEP-dépendante par P-EI ou ATP-dépendante par HPrK/P. p. 65 Figure 15 : Systèmes de transport PTS chez Bacillus subtilis. p. 67 Figure 16 : Modèle de la régulation de l’activité de l’Hpr kinase/phosphatase chez Bacillus subtilis. p. 68 Figure

Membrane cytoplasmique = support des enzymes de la respiratoire - Elle est aussi le siège de la phosphorylation oxydative ATP Transport Protéines H+ H+ Lactose ++++++++++ ------------Na+ Substrat Cytoplasme H+ ADP + Pi 3H2O Respiration 2e2e2H+ H+ H+ NADH 3OH- 2e2e2e- ATP H2O H+ [H+int] 2H+ + 1/2 O2 [H+ext] H+ F1 Membrane ATP-synthétase F0 H+ Phosphorylation 2.1. Respiration circulation d'électrons le long d'une chaîne de transporteurs source

cellulaire: matière organique (ex: pyruvate) O2 mitochondrie ADP Pi (phosphate inorganique). Étapes: glycolyse (dans le cytoplasme) pyruvate déshydrogénase (dans la matrice mitochondriale) cycle de Krebs phosphorylation oxydative (dans la membrane interne des mitochondries. Origine CO2: décarboxylation du pyruvate + cycle de Krebs. Origine H2O: chaîne respiratoire. Bilan énergétique: C6H12O6 + 6O2 → 6H2O + 36ATP + chaleur 5.3) Structure et rôles de l'ATP