Phrase Charniere

a.) Simplicité naturel : phrases courtes, concises Il n'y a qu'un verbe introducteur « dire » → L'art du roman est à la portée de tous Meursault est il cultivé, capable d'avoir une réflexion poussée ? Difficile d'écrire simplement, « écriture innocente » b.) Une écriture « orale » Les temps : Présent, Passé composé, Futur : temps de l'énonciation, de l'oral → Camus écrit comme l'on parle, comme Meursault parle, avec des phrases parfois incorrectes : « Aujourd'hui

laissèrent pas de lui ouvrir les yeux » Les Verbes sont très nombreux et très répétitifs. Le verbe « trouver » montre la découverte de vérité jusqu’alors ignorées, souligné par l’emploi de verbes qui relèvent du champs lexical de la vision. Les phrases complexes illustrent bien la complexité de ses pensée et son acharnement à les décrypter.  C) Cette analyse est pour autant parfaitement intégré à l’intrigue. Il n’y a pas de démarcation typographique entre l’action et l’analyse : cela se fait

1) Thème, question et thèse 2) Structure, exemple : Thèse-Arguments-Objections-Conclusion 3) Formuler problématique 4) Pistes pour la partie critique, ex : Caractère paradoxal de la thèse. FAIRE UN TABLEAU : 1) Numéroter la phrase 2) Déterminer son genre (affirmation, interrogation, négation...) 3) Relever TOUT ce qui est dit. 4) Concepts, mots importants, leurs opposés. 5) Exemples, références, autre arguments. III) Rédaction = 1) Intro : Aller

l'été ou la vie, aspects qu'il regrette ou, plus précisément, qu'il sait qui va regretter. On trouve ici l'idée de « carpediem ». Cette idée est exprimée avec le mot « Adieu », parce qu'il sait qu'un fois il s'en va il n'y aurait pas retour. Ou des phrases comme « en regrettant l'été blanc et torride », c'est une idée de nostalgique vers l'été. Quand il parle de la manquasse de l'amour de la mère, d'une sœur ou d'une amante, de quelqu'un qui a quelque sorte d'affection pour lui, pour faire face à

figures d’opposition L’antithèse. Dans une phrase, un texte, un paragraphe, elle met en rapport des termes aux significations opposées. « Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie. » (Louise LABÉ) L’oxymore. Elle réunit dans une expression deux termes opposés. « Le Soleil noir de la mélancolie. » (Gérard de NERVAL) Le chiasme. C’ est une figure construite autour de la disposition symétrique de deux éléments opposés au sein d’ une même phrase. Et l’on voit de la flamme aux yeux des jeunes

apparaître deux parties distinctes et c’est par ailleurs la ou le dialogue commence. Douglas démarre avec une phrase affirmative et pour lui il est sure que ce sont des hommes, il utilise d’ailleurs l’adverbe « surement »ligne 30 , de plus il s’exclame gage de certitude et d’aplomb face à la situation. Sybil quant à elle lui répond négativement et l’arrête dans sa lancer avec cette phrase « Ne vous emballer pas » C’est une suite de négations qui vont suivre et là va commencer le conflit. D’une part

* le symbole : image référence * l'image filée (ou métaphore filée) : s'étend sur plusieurs éléments * l’hypallage : épithète (adjectif) impertinente constituant une métaphore par le décalage de la relation logique entre les éléments d'une phrase * le cliché : image considérée comme usée * la métonymie : elle remplace un terme par un autre qui a un rapport logique mais qui n'a aucun élément matériel commun. Elle peut substituer le contenant au contenu, le symbole à la chose (les lauriers

au pluriel prolifération d’une réalité ; confère une étrangeté ôte l’idée d’un pont particulier intrigue le lecteur I. Un poème en forme de tableau : la technique de la description A) Le paysage indéfini * 1ère phrase du poème : phrase nominale, pluriel indéfini – articles indéfinis détails ne s’associent pas à un lieu précis * paysage urbain ; éléments naturels * poète sollicite la vue B) Un univers abstrait et géométrique * représentation

couchants » une certaine simplicité musicale. Un poème qui devient proche de la comptine : vers courts, répétitions lexicales (« la mélancolie », v3 et 5, « soleils couchants » aux v4 et 8), parallélismes syntaxiques (les deux premiers quatrains sont des phrases simples, du type sujet-verbe-complément qui reposent sur la même structure syntaxique). Une impression de simplicité qui est donnée également par les rimes : rimes suivant un schéma presque répétitif (rimes croisées, à l’exception des v14-15 – et

l’énoncé : • si l’énoncé est court : chaque mot a son importance et aucun n’est plus chargé de sens qu’un autre : la signification est dans l’ensemble et non dans un élément particulier • si l’énoncé est long, composé de deux ou trois phrases : l’auteur a voulu élucider sa pensée par une sorte d’auto-commentaire pour élargir la portée de son discours et en faciliter la compréhension Ne pas réduire le sujet à un élément saillant qui apparaît à tous d’emblée et qui est isolé arbitrairement