Phrase Charniere

d’écrit, ce sont de simples mots accordés les uns autres, formant des phrases, parfois des vers et des rimes. Inscrit sur le papier, elle a le droit et le devoir d’être lu. Cependant elle a été crée pour être jouée, être mise en scènes devant les spectateurs qui voudrons bien s’y plonger. Mais ce n’est pas son seul mode d’emploi, elle peut aussi être admirée par un seule et unique spectateur, le lecteur. Une personne lisant ces phrases insérée au papier, peut elle aussi crée sa propre scène. Les acteurs

l'indéfini " on "). - étudier les temps et les modes verbaux présents dans les texte (ex : commenter le présent de vérité générale, le présent de narration ; étudier la valeur de l'imparfait, etc.). - étudier la syntaxe de certaines phrases (ex : identifier une phrase nominale et commenter son effet). - relever et étudier les champs lexicaux présents dans le texte. - repérer et commenter les images du texte (ex : quelle image est-elle utilisée pour décrire tel personnage ?). - relever et commenter

continue plus » -> seul rime en [u.] 3 destins tout tracés, 1 s'arrête : à cause de la mort Mais tout continu comme avant : les affaires, le tricot... => conscience du personnage en moins -> tragédie silencieuse (rien est dit sur leur peine) 2 phrases interrogatives = ritournelle, fantaisie verbale, connivence (complicité) avec le lecteur. 2) SATIRE SOCIALE : * référence au titre : Adjectif féminin, personnage indéterminés (le, la) : aucune caractéristique -> Famille type : idéale bourgeois

la panique gagna les rues » (l.6 à 7). Il utilise une répétition de mot pour rythmer la phrase, il a utilisé l’anaphore pour souligner un mot, une obsession. Et pour finir, le narrateur décrit la furie des guerriers, il utilise des figures de styles comme la métaphore et la comparaison. Comme « son visage était un cratère de chair » (l.40) ; « Libiko, comme un démon » (l.18). Il utilise ces types de phrases pour décrire, la sauvagerie des hommes. Pour la métaphore que le narrateur emploie, il

l'auteur nous transmet les sentiments du bateau. Tout d'abord, le lien entre la mer et la musique est prouvé par la comparaison de la phrase une avec le comparant ''comme'' du vers 1 : « La musique souvent me prend comme une mer » Ici l'auteur nous oblige à identifier la musique et la mer. Les deux mots principaux se trouvent aux extrémités de la phrase se qui les rassemblent. Ils sont reliés par l'élément comparatif ''comme'' au milieu du vers et cadrés par le point d'exclamation. Les deux

différentes parties de la lettre) | Avant tout(tout) d’abordensuitede plusenfin | Avant tout je dois vous expliquer…Tout d’abord je vous remercie de…Ensuite en ce qui concerne…De plus, je dois préciser que…Enfin, il me semble que… | Présenter dans la même phrase * 2 idées * une alternative | D’une part… D’autre partSoit… soit | D’une part il faudrait fixer une date, d’autre part nous devrions…Soit vous acceptez, soit vous renoncez à... | Récapituler | De toute façonQuoiqu’il en soitBref | De toute façon

va insister sur la loyauté de l’entourage : La fidélité des domestiques. - L’évocation du vol du ruban : * Acte sans autre signification que celle d’un simple caprice. Acte sans grande importance. Usage de la parataxe dans tout ce paragraphe 2 : phrases qui s’enchainent par simple juxtaposition. Succession rapide d’action * La mention de la perte du ruban, son usure ainsi que la subordonnée causale : ‘Comme je ne le cachais guère » minimise la gravité du vol. - L’enquête et la dénonciation : *

Discours de la servitude volontaire Etienne de la Boétie Edition : Folio plus Philosophie Relever les phrases clés 1. « Pour le moment, je ne voudrais que tâcher de comprendre comment il peut arriver que tant d’hommes, tant de bourgs, tant de villes, tant de nations endurent quelquefois un tyran seul, qui n’a de puissance que celle qu’ils lui donnent, qui n’a pouvoir de leur nuire que tant qu’ils en manifestent la volonté; qui ne saurait leur faire du mal que lorsqu'ils aiment mieux l'endurer

sang-froid » est comparable à un pléonasme . On pourra donc remarquer que si Vautrin regarde « comme un juge sévère » les habitants de la maison Vauquer , cela revient a inversement des rôles des êtres humains dans la société . Les deux dernières phrases du texte le percent à jour , en effet , ses mœurs sont variées : si les verbes « sortir » et « revenir » appartiennent au langage courant , en revanche le verbe « décamper » , lui , plus familier , s’applique bien à un bandit , à un forçat évadé

Le jeu des échos négatifs est utilisé dans le même but de dénonciation : Deux phrases se répondent et se calquent, la première positive : « qui vendiez autrefois aux terrasses des cafés […] » et l’autre négative : « qui dormez aujourd’hui de retour au pays ». Rouge : outil relatif, orange : verbe à la 5è personne, bleu : adverbes de temps opposés. L’écart qui se fonde entre ces deux phrases pareillement structurées accentue la dimension atroce, et touche ainsi le lecteur de plein