Physicalisme

au fait divers et détourne la pensée de la connaissance de soi-même, détourne l’âme de la considération de sa seule intériorité. Le Physicalisme est une thèse (soutenue, entre autres par Quine) selon laquelle toute entité existante est de nature physique, c'est-à-dire qu'il n'y a rien en dehors des choses dites physiques. En philosophie de l'esprit, le physicalisme admet que le mental est une réalité physique ; il s'agit donc d'une forme de matérialisme et de monisme, qui peut être mis en parallèle

des changements dans êtres vivants au cours du temps. De plus, la matière vivante possède plusieurs caractéristiques : homéostasie, auto-organisation, duplication et évolution. Ceci lui confère une unicité, que l'on peut opposer à un certain « physicalisme », tout étant régit par des lois physiques modélisables à partir de mathématiques. Semestre 2 – 2011 45 

la matière du délit, matériel, matérialiste, une matière à option, la table des matières Atome : Anti-particules : Energie : Force : Idéalisme : Immatérialisme : Matérialisme : Molécule : Particules élémentaires : Physicalisme ou physicisme : Quanta : Réductionnisme : Rupture épistémologique : Sciences cognitives : Structure :

less loss of simplicity (caeteris paribus), than would acceptance of the abstract objects. The other objection, insofar as it champions sense data in the sense of concrete sensory events (as against recurrent qualities), is an objection at most to physicalism and not to nominalism. But no matter; the likely rejoinder to the objection is independent of whether the subjective sensory objects envisaged are events or qualities. It is that no sufficient purpose is served by positing subjective sensory objects

l’étude de la littérature à une langue destinée à la science physique, de baser ses postulats sur des données quantitatives et sur les règles qui en découlent, et d’avancer des modèles de science relevant plutôt du monisme, du réductionnisme et du physicalisme. Il signale enfin que les théories de la traduction s’appuyant sur de telles approches ne contribuent pas au développement des connaissances littéraires et qu’elles ont plutôt revêtu des intérêts qui ne contribuaient pas à la formulation adéquate

Zola, entre une démarche d'inspiration scientifique et la création littéraire elle-même : le naturalisme de Zola est en accord avec les recherches de la physique de son époque, dont il se nourrit et constitue la projection fictionnelle ; c'est "un physicalisme réussi" (op. cit., p. 22). 3.3 La question du style Débat particulièrement important à la fin des année 1880, au moment de l'avènement du symbolisme, la question du style a divisé les écrivains naturalistes eux-mêmes. Deux tendances se sont

une série de réactions, comme une résultante de chaînes de causalité où l'homme est plus passif qu'actif. Par voie de conséquence, les principes qui guident les conduites humaines peuvent être dérivés de l'étude d'organismes plus simples. Le physicalisme a largement exercé son impérialisme sur les sciences humaines et a causé de grands torts que maints spécialistes dénoncent de nos jours 1. Nous pouvons fort bien établir que, de ce que nous en observons, les sciences de l'homme se sont très largement

comme une série de réactions, comme une résultante de chaînes de causalité où l'homme est plus passif qu'actif. Par voie de conséquence, les principes qui guident les conduites humaines peuvent être dérivés de l'étude d'organismes plus simples. Le physicalisme a largement exercé son impérialisme sur les sciences humaines et a causé de grands torts que maints spécialistes dénoncent de nos jours ( Nous verrons qui et en quoi, plus loin.). Nous pouvons fort bien établir que, de ce que nous en observons

philosophie, Paris, Gonthier (Médiations), 1971, pp. 1718. Omar Aktouf, Méthodologie des Sciences sociales et approche...(1987) 134 principes qui guident les conduites humaines peuvent être dérivés de l'étude d'organismes plus simples. Le physicalisme a largement exercé son impérialisme sur les sciences humaines et a causé de grands torts que maints spécialistes dénoncent de nos jours 1 . Nous pouvons fort bien établir que, de ce que nous en observons, les sciences de l'homme se sont très largement

certitude sera donc celui des sciences expérimentales, de préférence susceptibles d'opérer une mathématisation de l'expérience, comme c'est le cas, avant tout, de la physique. En ce sens il n'est pas excessif de prétendre que le positivisme est un physicalisme. En conséquence, lorsque naissent les sciences sociales, va être couramment désignée comme «  positiviste », dans notre tradition intellectuelle, l'option qui consiste à faire dépendre l'accès de ces disciplines à la scientificité de leur capacité