Physiopathologie

organisations Sciences de gestion Langue vivante 1 Langue vivante 2 Éducation physique et sportive Réf. FR40 HG41 MA41 ED41 MO41 GE48 (1) (1) EP00 Première ST2S Enseignements obligatoires Français Histoire-géographie Mathématiques Biologie et physiopathologie humaines Sciences et techniques sanitaires et sociales Sciences physiques et chimiques Langue vivante 1 Langue vivante 2 Éducation physique et sportive Réf. FR40 HG40 MA40 BG40 AS40 SP40 (1) (1) EP00 Premières ST2S - STMG Langues : LV1-LV2

fibrino-cruorique migré d'une veine thrombosée, en général des membres inférieurs.   La fréquence est, en France, d'environ 100 000 par an avec 20 000 décès. Le nombre de thromboses veineuses profondes est estimé environ à 600 000 par an.   La physiopathologie est celle de la thrombose veineuse profonde (cf.). L'embolie pulmonaire elle-même est à l'origine de perturbations des échanges gazeux avec essentiellement une hypoxémie ; si l'embolie est sévère, il se produit une hypertension artérielle pulmonaire

chez des travailleurs du bâtiment. On a suggéré que le levage et l’utilisation d’outils lourds provoquant des vibrations du système main-bras étaient à l’origine de ce type d’arthrose. Les mécanismes et facteurs de risque de la maladie La physiopathologie de la tendinite de l’épaule La dégénérescence tendineuse est souvent le facteur prédisposant au développement d’une tendinite de l’épaule. Une telle dégénérescence peut être due à une anomalie circulatoire dans le tendon responsable d’une atteinte

musculaire) - trouble mentaux iotrogènes Évolution si 6 8 ans mais il existe des formes précoces ou tardives. Le patient devient gravataire dépendant jusqu’à la mort. Licence 1- Semestre 1 4/11 psychopathologie : les démences IX.Étiologie et physiopathologie alzheimer= pathologie neurodégénérative 2 lésions: dégénerescence neurofibrillaire (DNF) plaque béta amiloïde atrophie cérébrale= perte conséquente des neurones. Les stigmates se voient sur les IRM dans la DTA, il y a une progression de la symptomatologie

Activité Interdisciplinaire 2011-2012 Problématique : Comment se déroule le don d’organes en France ? Objectif : Approfondir un thème sanitaire et/ou social, en lien avec la Biologie et Physiopathologie Humaine, la Physique-Chimie, et la Sciences Techniques Sanitaires et Sociales. NOM Prenom SOMMAIRE Introduction (page 3) I- Qui participent au don d’organes ? (page 4 à 6) 1-Les donneurs : -Morts -Vivants

Voies de colonisation des cathéters Contamination du liquide perfusé Colonisation Exogène Pavillon (intraluminale) Flore Cutanée Peau Vaisseau Hématogène CEPI - 2011 Colonisation (externe) le long du trajet souscutané ILC : Physiopathologie (1) Colonisation par le liquide perfusé: exceptionnelle Colonisation du cathéter à partir d’un foyer profond dans Jugulaire > Fémoral) Choix du cathéter → polyuréthane ou élastomère de silicone Ne pas remplacer systématiquement des VVC à intervalle

l’accouchement. Incidence C’est une pathologie relativement fréquente de la primipare (7 %). Facteurs favorisants Nulliparité, grossesses multiples, surcharge pondérale, âge > 40 ans, diabète, maladies auto-immunes, néphropathie chronique. Physiopathologie Défaut de vascularisation de l’utérus pendant le développement du placenta responsable d’une ischémie placentaire entraînant d’une part une hypoxie foetale chronique et d’autre part des lésions diffuses de l’endothélium vasculaire maternel responsables

Chapitre 14 Item 262 – UE 8 – Lithiase urinaire Paul Meria Olivier Traxer Pierre Bigot I Introduction II Épidémiologie III Physiopathologie : formation des calculs IV Diagnostic V Évolution VI Traitement VII Suivi des patients VIII Cas particuliers ______________________________________________________________________________ __ ______________________________________________________________________________ __ Objectifs pédagogiques Diagnostiquer une lithiase urinaire. Argumenter

Contamination accidentelle : Greffe de moelle, transfusion de leucocytes, transplantation d'organes, professionnelle (personnel de laboratoire : risque d'inoculation cutanéomuqueuse_parasitémies symptomatiques, malgré une immunité antérieure) Physiopathologie Chez le patient VIH, souvent réactivation de kystes restés à l’état latent – Rarement primo-infection – CD4 < 200/mm3 (en moyenne à 50) – De plus en plus rare depuis la trithérapie ARV – Si ARV et CD4 > 200/mm3 : 0,1 cas/100 Personnes-années

Malheureusement, des inconvénients existent : la méthode se présente sous forme d’une suite logique de tâches à accomplir ce qui lui fait perdre une certaine adaptabilité dans certaines situations où des paramètres qui y sont intégrés viennent à manquer (physiopathologie par exemple). selon les modules de la formation, la méthode nécessite des infrastructures en nombre suffisant et des effectifs d’encadrement conséquents tant en personnels logistiques qu’en facilitateurs et en étudiants simulateurs de malades